Souffrances Morales Des Poilus

cette vie quotidienne sont à l’image de cette bataille particulièrement éprouvante. Les soldats doivent affronter me froid, la boue, la chaleur, l’absence d’hygiène (les rats et les poux insupportables). Cette situation situation leur vaut le nom de poilu. Ayant duré près de 10 mois, cette bataille aura un coût humain effrayant, au total elle causera 700 000 victimes, 30 000 morts et 400 000 blessés, sans procurer un avantage et une victoire décisive. Avec la bataille de la Somme qui se déroule

bataille de la Marne en septembre 1914. C’est une guerre de position. Aucune armée ne parvient à s'imposer, et, début 1915, les fronts se stabilisent. Les troupes s'enterrent dans des tranchées. La vie dans les tranchées est inhumaine. Les soldats ("poilus") vivent dans la boue, l'humidité et le froid. La peur ne les quitte jamais. Les grandes offensives destinées à briser le front adverse sont très meurtrières (Verdun en 1916 fait 400000 morts en 6 mois) et se soldent par des échecs. En 1917, des

partout, au front et à l’arrière afin de participer à l’effort de guerre. En 1919, 500 000 ouvriers sont ramenés. Notons également que des prisonniers de guerre, des réfugiés sont mobilisés. Les civils de l’arrière ne sont pas épargnés. Comme « les poilus » qui tentent de survivre dans les tranchées, eux aussi sont victimes des difficultés quotidiennes : ils sont durement touchés par les pénuries alimentaires, le coût de la vie chère, les réquisitions et le rationnement, sans oublier le travail excessif

bataille de la Marne en septembre 1914. C) Une guerre de position. Aucune armée ne parvient à s'imposer, et, début 1915, les fronts se stabilisent. Les troupes s'enterrent dans des tranchées. La vie dans les tranchées est inhumaine. Les soldats ("poilus") vivent dans la boue, l'humidité et le froid. La peur ne les quitte jamais. Les grandes offensives destinées à briser le front adverse sont très meurtrières (Verdun en 1916 fait 400.000 morts en 6 mois), et se soldent par des échecs. En 1917, des

l'oeuvre Die krieg connu sous le nom le triptyque est une peinture impressionniste d'otto dix . Il la realise entre 1929 à 1932 soit la periode entre deux guerres . L'oeuvre est a relier avec la premiere guerre mondiale 14 18 et a ses consequences morale et humaine . Elle est la premiere guerre industrielle . L'usage de nouvelle armes tres meurtriere a traumatise Otto Dix . Il s'agit pour l'artiste de peindre les angoisses de son exprience dans les tranchees . Cete œuvre et un triptyque et d'un predelle

soldats , ont causés des souffrances atroces. D’une guerre de mouvement , on passe à une guerre tranchée où l’on se terre . En plus de cette mort a portée de vue Durant des jours et des jours , les soldats plus communémenet appelés “poilus” ont une vie insoutenabe. Ils doivent dormir , lorsqu’ils le peuvent , à côté des cadavres ou de leur camarade bléssés n’ayant pas accés a des soins digne de ce nom. Le froid , la boue , les parasites , la faim , l’épuisement , le moral sappé , et l’éloignement

1. Histoire: 18 points  Sujet n°1: Les Français dans la première guerre mondiale  Questions (8 points)  1. Document 1 Les soldats au front doivent subir toutes sortes de souffrances : en dehors du fait qu’ils doivent résister au feu ennemi, ils font de longues marches fatigantes, sont très fatigués, mal habillés et attendent avec impatience les permissions. 2. Documents 2 et 3. La guerre a modifié la vie quotidienne des civils puisque les femmes doivent travailler, pour remplacer

personnelle du front, a été longuement mûri et pensé en première ligne pendant vingt-deux mois dans les tranchées de décembre 1914 à 1916. Barbusse tout au long de l'année 1915 tient un carnet de guerre où il note des expériences vécues, les expressions des poilus, et dresse des listes diverses et variées. Ce carnet servira de base à la composition de son roman dont l'essentiel de l'écriture l'occupera durant le premier semestre 1916 alors qu'il est convalescent à l'hôpital de Chartres puis à celui de Plombières

temps et circulaire (puisqu’il fait écho à « L’Aube ») qui permet à fois d’entrer dans la première guerre et dans le livre tout en dépassant ce cadre-là. La dimension apocalyptique de la guerre donne à l’écrit de Barbusse une dimension universelle et morale. Le Feu est un titre qui prend tout son sens : la guerre, c’est la vision du feu, d’un feu qui consume terres et guerriers depuis la Bible. Si Le Feu évoque la première guerre mondiale, son titre, ses premier et dernier chapitres inscrivent le roman

les avais écrits hier…J’ai vraiment honte… » (22 janvier 1944). Elle écrit tous les détails de la vie quotidienne à l’intérieur et élargit son champ de vision en s’instruisant, en s’informant sur les événements du dehors : les bombardements, les souffrances, les malheurs, de même que la politique des autres pays. Deux aspects apparaissant bien marqué dans le journal. De façon naturelle et spontanée nous fait connaître une personne qui parfois désarmée, profondément découragée ne perd pas pour autant