Soupirail

Axe 1 : Etude des éléments du tableau et de la scéne :  1.Traitement du décor, du lieu :  On se retrouve avec ce texte devient le soupirail d'une boulangerie, où 5 petits sont assis . Le décor extérieur n'est pas ou peu identifié. On ne pourra qu'imaginer un trottoir. D'autre part, on verra un treillage qui ferme l'accès à la cave chaude. De ce soupirail s'émane un souffle rouge " chaud comme le sein " .L'intérieur de cette cave est occupé par le boulanger. L'endroit est formé de " poutres

peut observer un autre effet de clair-obscur, fondé sur le contraste entre l'obscurité environnante et la lumière émanant du soupirail d'abord, du four ensuite. On trouve d'abord l'opposition (soulignée par l'emplacement à la rime) entre "brume" (v.1) et "allume" (v.2). Le soupirail est successivement évoqué par les expressions : "le soupirail qui s'allume" (v.2), "le soupirail rouge" (v.14). La gueule du four est décrite comme "un trou clair" (v.9). Toutes ces qualifications sont porteuses d'une idée

essayer de faire pour lui et particulièrement Philippe, car c’est lui qui a ce rôle. D’abord pour les décorateurs, vous prenez note ? Donc… le décor est double. Il doit y avoir, a priori, une cuisine sombre comme dans une cave, dans laquelle il y a un soupirail où l’on voit uniquement des pieds de passants marcher. À l’étage, il y a des salons clairs, et dans celui du milieu, un portrait d’une dame qui porte une robe d’apparat est exposé. Personnellement, j’imagine un portait semblable à celui de « La Grosse

Et foire A.R. Les EffarésNoirs dans la neige et dans la brume, Au grand soupirail qui s'allume, Leurs culs en rond,A genoux, cinq petits - misère! -Regardent le boulanger faire Le lourd pain blond...Ils voient le fort bras blanc qui tourneLa pâte grise, et qui l'enfourne Dans un trou clair.Ils écoutent le bon pain cuire.Le boulanger au gras sourire Chante un vieil air.Ils sont blottis, pas un ne bouge,Au souffle du soupirail rouge Chaud comme un sein.Et quand, pendant que minuit sonne,Façonné, pétillant

Les effarésNoirs dans la neige et dans la brume,Au grand soupirail qui s’allume,Leurs culs rond,à genoux, cinq petits,-misère !-Regardent le boulanger faire Le lourd pain blond…Ils voient le fort bras blanc qui tourne La pâte grise, et qui l’enfourneDans un trou clair.Ils écoutent le bon pain cuire.Le boulanger au gras sourire Chante comme un vieil air.Ils sont blottis, pas un ne bouge,Au souffle du soupirail rouge,Chaud comme un sein.Et quand, pendant que minuit sonne,Façonné, pétillant

: Axe 1 : Etude des éléments du tableau et de la scène : 1.Traitement du décor, du lieu : On se retrouve avec ce texte devient le soupirail d'une boulangerie, où 5 petits sont assis . Le décor extérieur n'est pas ou peu identifié. On ne pourra qu'imaginer un trottoir. D'autre part, on verra un treillage qui ferme l'accès à la cave chaude. De ce soupirail s'émane un souffle rouge " chaud comme le sein " .L'intérieur de cette cave est occupé par le boulanger. L'endroit est formé de " poutres

On finirait bien par s'apercevoir de ma disparition et on me chercherait. Je m'assis sur le sol et me mis à regarder le ciel à travers le tout petit soupirail qui s'ouvrait sur l'extérieur. Le temps passait mais personne ne venait me délivrer. Je pensai à tous ceux qui étaient enfermés et qui, comme moi, fixaient cette lumière qui tombait du soupirail. Comme eux sans doute, je laissai vagabonder mon esprit. Je n'étais plus prisonnier de ces lieux ténébreux et poussiéreux, je parcourais de vastes espaces

symbole. Axe 1 : Etude des éléments du tableau et de la scène : 1.Traitement du décor, du lieu : On se retrouve avec ce texte devant le soupirail d'une boulangerie, où 5 petits sont assis . Le décor extérieur n'est pas ou peu identifié. On ne pourra qu'imaginer un trottoir. D'autre part, on verra un treillage qui ferme l'accès à la cave chaude. De ce soupirail émane un souffle rouge " chaud comme le sein " .L'intérieur de cette cave est occupé par le boulanger. L'endroit est formé de «  poutres

Rimbaud nous dépeint une scène si précise que le lecteur peut la visualiser. Recroquevillés dans la neige, cinq petits enfants regardent éblouis la confection du pain qui se déroule devant leurs yeux à travers le soupirail : « Noirs dans la neige et dans la brume, / Au grand soupirail qui s’allume, / Leurs culs en rond, / A genoux, cinq petits (…) ». Ils observent, ils écoutent, immobiles : « Ils sont blottis, pas un ne bouge ». La précision de l’auteur est telle que l’heure n’est point omise :

: un bal/des bals bal - carnaval - cérémonial - chacal - choral - un chacal/des chacals festival - récital - régal - étal • - Quelques noms terminés par -ail ont leur pluriel un émail/des émaux en -aux : bail - corail - émail - soupirail - travail - un travail/des travaux vantail - vitrail. - Les autres noms en -ail prennent -s au pluriel. un rail/des rails un détail/des détails B. Certains noms sont nettement différents au singulier et au pluriel. Ex. : un œil