Sourcil

personnage. On donne son âge ou bien ses dates de naissances et de mort. On peut aussi donner sa nationalité. 2 - Le portrait physique : On donne des éléments qui se rapportent : - à l’allure, - au visage(forme, teint, cheveux, front, yeux, sourcils, regard, nez, lèvres, menton, oreilles...), - à la voix, - aux gestes, - au corps, - aux vêtements... Il faut essayer de suivre un ordre logique, comme si l’oeil du lecteur se baladait méthodiquement sur le personnage. 3- Le portrait

qu’elle va se rendre à l’école avec le maître pour une durée de 30 minutes et que c’est moi qui vais l’accompagner. Je lui demande de se préparer pour partir à l’école. Elle me regarde et me fait un signe de la tête de gauche à droite, fronce les sourcils et pousse un petit cri. Je lui demande une nouvelle fois d’aller se préparer. Il lui faut plusieurs minutes pour qu’elle parte d’elle-même avec son fauteuil chercher ses affaires trousse et cahier d’école qui se trouve dans son casier au côté de

glace révèle son air horrifié : sa bouche bée, son oeil noir écarquillé et son sourcil relevé. Mais c’est surtout son nez anormalement long et ses longues oreilles poilues qui ressemblent à celles d’un âne qui s’imposent à nous .C’est un enfant dont le visage coloré en rouge donne l’impression qu’il éprouve une vive émotion. Il n’a pas l’air content du reflet que lui renvoie le miroir ainsi que le suggère également son sourcil relevé tracé avec un trait gras. Il ouvre de grands yeux : sa pupille paraît

le témoignage. La chute de Du Bellay lorsqu’il sort de chez lui (sonnet 25) situe le voyage sous le signe d’un destin funeste. Au retour, le poète roule des pensées qui lui font « plus bas enfoncer le sourcil » (sonnet 28) : c’est rappeler que la Mélancolie est souvent caractérisée par son « sourcil enfoncé » (sonnets 8, 21 et 180), sa lenteur (sonnet 21), son irrésolution, que manifestent les divers balancements présents dès le premier sonnet (« Soit de...soit de » / « Je me plains...je me ris »)

elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l’ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait en plis nombreux». Il décrit Madame Arnoux avec des adjectifs pour que l'on puisse s'en faire une représentation, il commence par décrire le chapeau puis les rubans, es bandeaux, ensuite il passe au visage avec ces sourcils et sa figure, et enfin il fini par sa robe. Il décrit ce que

tous nous veuille absoudre ! », créant un rythme chanté, et un effet de plainte lancinante. Champs lexicaux dominants, thèmes (Q.5) Champ lexical de la souffrance : « notre mal » (9), « les yeux cavés » (23), « arraché la barbe et les sourcils » (24), « plus becqueté d'oiseau que dés à coudre » (28). Champ lexical de l'affection : « n'ayez les cœurs contre nous endurcis » (1), « pitié » (3),« merci» Champ lexical de la moquerie : « De notre mal personne ne s'en rie » «Avoir dédain » « ici

contentions. Elle a besoin d'une aide pour se lever et se déplacer. Suite à l'agravation de sa maladie d' Alzheimer, elle ne parle plus mais semble comprendre lorsqu'on lui parle et lui demande quelques chose: exprime son désaccord par un froncement de sourcil. C'est une dame sourillante et calme. Elle est prise en charge à 100% par la sécu pour sa aladie d' Alzheimer et à également une mutuelle. Le prix d'une journée est de 102 €. Elle est évalué GIR 2 et son fils finance l'hebergement. Matin: toilette

Il a pour pont levis les mouvantes paupières  » la l’œil est considérer comme le château lui-même, ayant un pont levis le protégeant des agressions extérieur. «  Le cil pour garde-corps, les sourcils pour remparts  » le cil et les sourcils deviennent des éléments que l’ont retrouve dans un château. Ce quatrain est composé du champ lexical du château ou la forteresse, pour symboliser la fragilité de l’œil qui a besoin d’une protection tel qu’un château.

de...» Le tout évoque de manière claire une célébration. 2) L’énumération progresse selon un ordre bien établi : Vers 1 à 5 : début un peu désordonné (chevelure, taille...) Vers 5 à 14 : le visage et la tête (bouche, dents, langue, tempes, sourcils...) Vers 15 à 24 : les bras (des épaules aux doigts) Vers 25 à 29 : les jambes (des mollets aux pieds) LECTUTRE ANALYTIQUE LECTUTRE ANALYTIQUE Vers 30 à 50 : le tronc, avec successivement les seins, le ventre, le dos, la nuque, les hanches

source. L’Arabe n’a pas bougé. Malgré tout, il était encore assez loin. Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l’air de rire. J’ai attendu. La brûlure du soleil gagnait mes joues et j’ai senti des gouttes de sueur s’amasser dans mes sourcils. C’était le même soleil que le jour où j’avais enterré maman et, comme alors, le front surtout me faisait mal et toutes ses veines battaient ensemble sous la peau. A cause de cette brûlure que je ne pouvais plus supporter, j’ai fait un mouvement