Sourire

heureux. Te voir sourire, t'épanouir. Tu vois c'est pas compliqué. J'aimerais me réveiller le matin à tes côtés. Et m'endormir contre toi. Je veux te chuchoter des mots doux quand le soleil se lève pour que tu t'éveilles avec douceur. Et voir tes lèvres esquissait un sourire parce que tu te sens bien. Je veux t'emmener avec moi , qu'on se roule dans l'herbe, voir tes cheveux ébouriffés à cause du vent. Rire jusqu'à en pleurer, jusqu'à en avoir mal au ventre. Te voir me sourire. Je souhaite juste

pas toute seule tout à fait, c’est-à-dire dans le désert, chose que je n’ai jamais pu supporter – à la longue. (Un temps.) C’est ce qui me permet de continuer, de continuer à parler s’entend. Tandis que si tu venais à mourir – (sourire) – le vieux style ! – (fin du sourire) – ou à t’en aller en m’abandonnant, qu’est-ce que je ferais alors, qu’est- ce que je pourrais bien faire, toute la journée, je veux dire depuis le moment où ça sonne, pour le réveil, jusqu’au moment où ça sonne, pour le sommeil

qu'il aie une personnalité organisée et solide. Ces trois organisateurs arrive entre 0 et 2 ans : L'apparition du sourire, à environ 3 mois. Le sourire est intentionnel, avant ces 3 mois, il y a un stade indifférencié : ( pas de distinction entre somatique et psychique pour le bébé, pas de distinction non plus entre le moi et le ça ). A partir de trois mois, le bébé est capable de sourire en face d'un visage humain souriant, c'est la première perception visuelle, correspondant à une relation avec un

montre du doigt ce qu’elle a besoin. Elle manifeste par des attitudes ou des expressions du visage lorsqu’elle a envie d’aller se promener ou autre. Son mal être se manifeste par des attitudes provocatrices, des plaintes, des pleurs, des cris, des sourires ou des rires moqueurs. Il semble que tout cela ait pour but d’attirer l’attention et de la monopoliser. Plus on lui porte d’intérêt, plus on essaie de la ramener au calme, plus elle en fait. Son attitude a quelque chose de théâtral; au début elle

Seurp traversait Paris à une vitesse impressionnante.D’abord Brise il se fit ensuite tornade. Alors qu’il aller prendre appuie sur un autre toit pour se projeter il se stoppa net, surpris de sentir un Elan presque aussi puissant que le siens. Un sourire carnassier se dessina sur son visage squelettique. « Alors il existe vraiment ? »  Sa voix froide laissait transparaitre un certains respect pour l’Entité qui approchait. Cela promettait de corser un peu ses plans. Aussi jouissiffe soit cette

qui résonne dans ma tête.. Le prénom qui me rend heureuse. Ma Meilleure Amie quoi ! Celle avec qui je partage tout. Celle avec qui je donnerais ma propre vie. <3 Malgré que je suis obligé de te partager.. Malgré que je ne suis pas la seul. Ton sourire me fait avancer. Parce que j’aime tellement t’entendre rire.. , Parce que j’aime tellement ta petite taille :p <3 Depuis 2oo4 ... Il sen est passé des choses depuis maintenant. On a grandit ensemble et on a su ce que c’était être « Meilleure Amie »

une chemise blanche. Il trouva son camarade debout devant la vitrine des trophées absorbés par la contemplation d’une photo, au centre le visage rayonnant de joie et un grand sourire au lèvres se tenais le blond la tête coincée sous le bras d’un garçon légèrement plus grand, au cheveux noir ébène et à la peau pâle un sourire énigmatique au lèvres. Des souvenirs du passé menacèrent de refaire surface dans l’esprit du blond, comme à chaque fois qu’il repensait à « lui ». Il les refoula avant de rompre

nouait spontanément, au point de vouloir pleurer, par pur caprice. A l'école, je m'efforçais d'écouter en classe, et je ramenai de bonnes notes, même dans les matières ou je pêchai (notamment en français...). Et un soir donc, ma mère, avec un grand sourire et une main cachée derrière le dos, me demanda : "Est-ce que tu as bien travaillé?" Je lui répondis automatiquement que oui avec enthousiasme, voulant savoir ce qu'elle me réservait, en espérant dur comme fer que c'était ce que j'attendais depuis

retourneront un autre jour mais Alicia n’aime pas attendre et veut passer devant tout le monde mais Alicia s’en va. Un autre jour Alicia l’accompagne de nouveau et Lil admire la ressemblance entre les hommes et les figurines. Lei Tchang, lui admire le sourire de Lil mais n’apprécie pas sa façon d’être. Il trouve que c’est une enfant gâtée et qu’elle est trop prétentieuse. Lil troque avec le vieil homme. Une miniature l’intéresse, c’est un enfant qui dort dans un landau. Elle fabrique des rideaux de taille

sombre ! N'ayant pu la sauver, il a voulu mourir. Sois béni, toi qui, jeune, à l'âge où vient s'offrir L'espérance joyeuse encore, Pouvant rester, survivre, épuiser tes printemps, Ayant devant les yeux l'azur de tes vingt ans Et le sourire de l'aurore, A tout ce que promet la jeunesse, aux plaisirs, Aux nouvelles amours, aux oublieux désirs Par qui toute peine est bannie, A l'avenir, trésor des jours à peine éclos, A la vie, au soleil, préféras sous les flots L'étreinte