Sourire

comblent, d’autres affirmeront, que d’être populaires ou connu, les rendent heureux. Moi, j’affirme, que toutes ces choses-là sont superficielles. Le bonheur se qualifie, par un vrai sourire sur un visage, pas celui qu’on fait pour ne pas inquiéter certaines personnes, ou pour cacher un mal-être, non par un sourire sincère, par des yeux qui pétillent, par le cœur léger. Il faut le vivre au moment présent, des choses toutes banales, on peut le trouver dans un fou-rire, dans un baiser de celui qu’on

à Florence que la toile a été réalisée. Elle met en scène une jeune femme, représentée à mi-corps, dans une loggia. Vêtue avec une grande simplicité, elle adopte une pose de trois quarts, dirige son regard vers le spectateur et esquisse un léger sourire. Sa silhouette se détache sur un fond de paysage brumeux, à l'arrière plan son caractère est irréel, au premier plan on perçoit des rochers, une route sinueuse et un petit pont. La place occupée par le paysage est inhabituelle pour l'époque elle démontre

belle. DE LOUIS : J’arrive dans 5 minutes, je ne suis pas loin :)) Ouais, 5 minutes… Toujours est-il qu’il est en retard. A le voilà, enfin ! Il se gare et te fais son plus beau sourire, comme pour se faire pardonner. -Tu montes où tu as décidé de rester sous la pluie ? -Je monte. Dis-tu avec ton grand sourire. -Un câlin à son meilleur ami ? dit-il en ouvrant les bras -Non, j’suis trempée ! Je ne veux pas mouiller tes jolies marinières mon petit ! dis-tu en rigolant -Ma marinière ne

des musiques qui nous rappellent quelqu'un, des corps qui s'unissent, des amitiés plus fortes que tout, des amours éternels, des lèvres qui brûlent, des souvenirs étincelants même avec le temps, des moments plus beaux que dans un rêve, des sourires magiques, des larmes de joie, des coeurs qui s'emballent, des coeurs déchirés, des larmes de peine, des mains qui se cherchent, des rêves oubliés, des promesses envolées, des questions sans réponses, des amitiés gâchées, des souvenirs douloureux

Que cherchait-elle ? Personne ne le savait. Personne même ne la connaissait. Pourtant, dans ces rues là, il valait mieux être connu, sans quoi, on y passait. Elle fut donc prise en chasse. Deux hommes, plus grand qu’elle, se mirent à la suivre, un sourire gras plaqué sur leur visage usé. La jeune fille, sûrement adolescente, continua pourtant de marcher à allure normale, loin d’être terrifié. Peut être n’avait-elle pas idée de ce qui allait suivre. Peut-être ne savait-elle pas qu’elle allait mourir

poitrine, la solitude qui sert la gorge quand on rentre chez soi, dans une maison vide, quand on regarde un téléphone qui n'a pas sonné depuis des jours. La solitude qui brûle les yeux quand on voit les gens s'aimer, rire, s'amuser, se disputer, se sourire, boire, faire la fête ensemble, et qu'on se rend compte qu'on aimerait bien faire tout ça mais qu'on ne sait pas avec qui. La solitude qui donne l'impression d'être handicapé, d'avoir une jambe en moins, d'être lépreux. La solitude qui paralyse, qui

serait folle de joie. — Alors d’accord. Ça fera plaisir à mes parents. Il me caresse les cheveux. Plus heureuse, ce n’est pas possible. — Bon, on a décidé où. Maintenant, quand ? — Tu devrais quand même poser la question à ta mère, non ? Le sourire de Christian s’efface. — Je lui laisse un mois, pas plus. J’ai trop envie de toi pour t’attendre plus longtemps. — Christian, tu m’as déjà. Tu m’as depuis un bon moment. Mais va pour un mois. J’embrasse sa poitrine, d’un baiser doux et chaste,

Lui glissa sa mère au creux de l’oreille. « Allez-vous vous taire ?! » trancha un villageois. « S’ils ne sont pas utiles à la survie de notre espèce, je ne vois pas pourquoi nous devrions les laisser vivre… » Finit par murmurer son compère, un sourire au coin des lèvres. La foule frémissait tandis que des larmes coulaient silencieusement sur les joues de la petite. Les poings serrés elle se releva péniblement sous la pression incessante de ses interlocuteurs. Les jambes flageolantes, les yeux

l’entente, la participation et la complicité. La culture provoque un rire qui a une signification spécifique, par exemple un japonais a apprit tout jeune à sourire tout le temps dans toute circonstance ce qui peux rendre ce sourire gênant aux yeux des occidentaux. D’ailleurs, les occidentaux dans le milieu mondain ont plus tendance à sourire qu’a rire alors que dans le milieu paysan, le rire est spontané, abondant et bruyant car il y a une différence de classe sociale qui fait que dans un milieu

d'ailleurs "très aimable". L'auteur use d'une antithèse pour accentuer l'amitié de Claire pour Florent: " Quand il passait, dans les gros mots des ses voisines, elle lui souriait". Une caractèristique qui dépeint bien Claire est son sourire: "doux rire [...] sans cesser de sourire [...] souriant toujours ...". Emile Zola précise la douceur de cette femme qui est beaucoup contrastée avec celle de sa soeur. En effet, nous savons que Louise Méhudin est une femme en chair. Pourtant, ce trait ne s'apparente