Sous-espèce

associés aux milieux aquatiques, en particulier des fonctions biologiques qu'ils assurent : corridor de déplacement de la faune, zones préférentielles de reproduction, d'alimentation, d'abris ou de repos pour de nombreuses espèces animales terrestres, milieux de vie des espèces aquatiques. La « loi pêche » de 1984 [1], la « loi sur l’eau » de 1992 [2], la « Directive Cadre Européenne sur l’Eau (DCE) » de 2000 [3] et la loi sur l'eau et les milieux aquatiques de 2006 [4] ont enrichi cette approche

RESPONSABILITE HUMAINE EN MATIERE DE SANTE ET D'ENVIRONNEMENT chapitre 1: Biodiversité, alimentation et activités humaines. DEFINITIONS: Alimentation: Biodiversité: Diversité des espèces du monde vivant. Milieux de vie: Déséquilibres: Ressources alimentaires: Développement durable: Comportements: Responsable: RESPONSABILITE HUMAINE EN MATIERE DE SANTE ET D'ENVIRONNEMENT chapitre 1: Biodiversité, alimentation et activités humaines. S'INFORMER: EXPLOITATION DES

l’heure de la journée Comparez ensuite avec la variation de l’activité des abeilles a l’extérieur de la ruche. Rédigez un petit texte expliquant la répartition des abeilles dans l’environnement. |LIEU |SOUS BOIS |CLAIRIERE | | | | | |

en décembre 1831, il compte à son bord un jeune naturaliste fraîchement diplômé : Charles Darwin. VOYAGE ? Suite a son voyage, il a en 1838, formulé l'hypothèse selon laquelle toutes les espèces vivantes ont évolué au cours du temps à partir d'un seul ou quelques ancêtres communs grâce au processus connu sous le nom de sélection naturelle. Théorie plus ou moins apprécier par les gens de son époque comme par certains savants ou par l’Eglise. Il décédera le 19 avril 1882 à l’age de 73 ans, en laissant

Darwin est né en 1809 à Shrewsbury et mort en 1882 à Downe .Ces un naturaliste anglais, ces travaux sur l’évolution des espèces vivantes qui ont révolutionné la biologie. Il a été célèbre pour son travail et ses recherches géologie. Son hypothèse est : « Toutes les espèces vivantes ont évolué au cours du temps à partir d’un seul ou quelques ancêtres communs grâce au processus connus sous le nom de « Sélection naturelle ». Sa théorie de l’évolution a été accepter par la communauté scientifique et le grand

ne renferment qu'un seul exemplaire des chromosomes de l'espèce tandis que les femelles sont diploïdes, leurs cellules possédant une paire de chacun de ces chromosomes. B- CLASSIFICATION L'ordre des Hyménoptères est divisé en 2 grands ensembles (sous-ordres) : * les Symphites chez lesquels l'abdomen fait directement suite au thorax (pas d'étranglement) * les Apocrites, chez lesquels l'abdomen est bien distinct du thorax du fait d'un étranglement, le premier segment abdominal ou propodéum

considère à plusieurs niveaux : diversité des gènes (diversité invisible qui est à l'origine des gènes) diversité des espèces (dont l'espèce humaine) diversité des écosystèmes (dont ceux abritant une forte biodiversité endémique et menacée Diversité des gènes (lien :canadianbiodiversity.mcgill.ca) Diversité des espèces (lien :docsciences.fr ) Diversité des écosystèmes (lien : delegfrance-unesco

sept tergites sur le péréon (ou sept péréonites) et cinq tergites sur le pléon (ou cinq pléonites). Une paire de pattes ou péréopodes est insérée sur le coté ventral de chaque segment du péréon. Les péréopodes ont six articles (voir dessin).     Sous le pléon sont insérés 5 paires de pléopodes. Chaque pléopode est composé d'un exopodite qui sont des branchies captant l'oxygène à travers une fine pélicule d'eau et d'un endopodite qui ont des fonctions notamment dans la reproduction. Les exopodides

années 1980 et désigne la variété du monde vivant. La notion de biodiversité peut s’étudier selon trois niveaux : LA BIODIVERSITÉ DES ESPÈCES ou BIODIVERSITÉ SPÉCIFIQUE (les individus d’une même espèce peuvent se reproduire entre eux : ils sont interfertiles et se ressemblent plus ou moins) LA BIODIVERSITÉ GÉNÉTIQUE ou BIODIVERSITÉ DES ALLÈLES au sein d’une même espèce LA BIODVERSITÉ DES ÉCOSYSTÈMES présents sur la Terre ÉCOSYSTÈME : Ensemble constitué par un milieu et les êtres vivants qui l’habitent

est une espèce à 2n = 46 Le muntjac d’Inde est une espèce à 2n = 6+1. Il possède en effet trois chromosomes sexuels (dont 2 Y). Il possède moins de chromosomes que le muntjac de Chine, mais ils sont nettement plus grands. Cela explique que leur nombre de gènes soit très proches (des chromosomes ont dû fusionner chez le muntjac d’Inde), et qu’ils se ressemblent morphologiquement. L’absence de reproduction peut s’expliquer par un nombre différent de chromosomes entre les deux espèces (impossibilité