Sous Les Arbres Victor Hugo

 XIX°s: Victor Hugo"Il y a deux manières de passionner la foule au théâtre: par le grand et par le vrai. Le grand prend les masses, le vrai saisit l'individu". Victor Hugo"Le théâtre est un point d'optique. Tout ce qui existe dans le monde, dans l'histoire, dans la vie, dans l'homme, tout doit et peut s'y réfléchir, mais sous la baguette magique de l'art." Victor Hugo“Le théâtre est une tribune.” Victor Hugo, Les Burgraves"Le théâtre doit faire de la pensée le pain de la foule".  Victor Hugo, extrait

Victor HUGO Odes et ballades - « À une jeune fille » (1826) Vous qui ne savez pas combien l'enfance est belle, Enfant ! n'enviez point notre âge de douleurs, Où le cœur tour à tour est esclave et rebelle, Où le rire est souvent plus triste que vos pleurs. Votre âge insouciant est si doux qu'on l'oublie ! Il passe, comme un souffle au vaste champ des airs, Comme une voix joyeuse en fuyant affaiblie, Comme un alcyon sur les mers. Oh ! ne vous hâtez point de mûrir vos pensées ! Jouissez

qui fis ces hommes saintement !… – Il est un Dieu qui rit aux nappes damassées Des autels, à l'encens, aux grands calices d'or ; Qui dans le bercement des hosannah s'endort, Et se réveille, quand des mères, ramassées Dans l'angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir, Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir ! Le Mal, Arthur RIMBAUD, 1870 Arthur Rimbaud est un jeune poète prodige de la fin du XIXème qui quitte le logis familial à 16 ans et croise la guerre en 1870 qui

« Bâtir dans la nuit mes féeriques palais… » Documents A – Victor Hugo, « Rêverie », Les Orientales, 1829. B – Charles Baudelaire, « Paysage », Les Fleurs du Mal, « Tableaux parisiens », 1857. C – Jules Supervielle, « San Bernardino », Débarcadères, 1922. D – Saint-John Perse, « Le mur », Éloges, « Images à Crusoé », 1911. m Vous répondrez d’abord à la question. ■ Question (4 points) Comment s’exprime, dans chaque poème, le désir d’ailleurs ? m Vous traiterez ensuite un de ces trois

Anthologie poétique sur l’Hiver L'hiver L'Air paraît tout obscur ; la clarté diminue; Les arbres sont tous nus ; les ruisseaux tous glacés ; Et les rochers affreux, sur leurs fronts hérissés, Reçoivent cet amas, qui tombe de la Nue. Tout le Ciel fond en eau ; la grêle continue ; Des vents impétueux, les toits sont renversés ; Et Neptune en fureur, aux Vaisseaux dispersés, Fait sentir du Trident, la force trop connue : Un froid âpre et cuisant, a saisi tous les corps ; Le

couleurs et les sons se répondent » En faisant allusion à ces sens, le poète transporte le lecteur vers son monde idéal. Le parfum joue un rôle d’envoutement et entraine également l’exil vers un ailleurs. «  Une île paresseuse ou la nature donne des arbres singuliers et des fruits savoureux » Il imagine une île mystérieuse de façon a s’élancer dans l’idéal, il ne se base plus sur la réalité pour oublier. Néanmoins il présente quelques allusions a des endroits réalistes : «  Je vois un port rempli de

reconstruisent le mal, Si pour le bestial tu chasses l’animal, Si tu ne sais, dans l’ombre où ton hasard se vautre, Défaire un empereur que pour en faire un autre ? Victor Hugo L’Evadé Il a dévalé la colline Ses pas faisaient rouler les pierres Là-haut entre les quatre murs La sirène chantait sans joie Il respirait l’odeur des arbres Avec son corps comme une forge La lumière l’accompagnait Et lui faisait danser son ombre Pourvu qu’ils me laissent le temps Il sautait à travers les herbes

entre eux. Sommaire : Après la bataille Victor Hugo Le dormeur du Val Arthur Rimbaud 1854-1891 Waterloo avant la bataille J.Cl. Brinette Waterloo après la bataille J.Cl. Brinette Poème sur la guerre Brandon McGee 7e année, St. Pius X London (Ontario) La Lettre Didier Venturini Le cauchemar Jules Delavigne Le jeu Esther Granek Les fusillés Victor Hugo Poème sur la guerre 1914-1918 Maurice de Vlaminck Après la bataille Victor Hugo Mon père, ce héros au sourire si doux, Suivi

donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux ; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers1, Qui circule dans l’air et m’enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers2. Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857. 1. Arbres exotiques

mêmes ambitions, la même aversion pour le désordre et l’émeute Son profil : haute administration, déjà par la naissance, baron, il naît dans les beaux quartiers 55 fg saint honoré à coté de l’Elysée dans un hôtel particulier Secrétaire de préfecture, sous préfet de la Haute Loire, d’Ariège, Préfet du Var, de l’Yonne, de Bordeaux. En 1851, il reçoit Louis Napoléon à Bordeaux, ce qui lui attire les bonnes grâces. Ils se connaissent depuis 1849, (rencontre à l’Elysée) Nommé préfet de la Seine en Juin