Spike Lee

remarquer avec la sorti en salle du film She's gunna have it, ce réalisateur n'est autre que Spike Lee. Ce film raconte l'histoire d'une jeune femme ce couleur noir libéré, Nola, qui a comme particularité d'avoir 3 amants avec lesquels elle alterne lorsque l'un d'eux l'ennuie. Le film se conclut avec le choix de Nola qui préfère continuer de vivre sa vie et de faire ce qu'elle veut de son corps, avec ce film Spike Lee parle d'un tabou encore jamais évoqué auparavant : la sexualité des femmes afro américaines

Fast and Furious (2001) - Le comique incompétent : Men in Black 2 (2003) 3/ Dénonciation et promotion des afro-américains au cinéma - Les films engagés du réalisateur Spike Lee - Les films sur les grandes figures noires américaines - Portrait d’une figure ordinaire : analyse de l'affiche du film «Precious» de Lee Daniels La représentation des Afro-américains dans l'industrie Hollywoodienne Les États-Unis se sont construit grâce aux vagues d'immigration successives qui ont permis

000 employés dans le monde. Le premier athlète sponsorisé par la marque fût Ilie Năstase, joueur de tennis professionnel Roumain. Par la suite la marque deviendra le sponsor des plus grands sportifs comme par exemple Carl Lewis, Micheal Jordan et Spike Lee. Suite au scandale de 1997 puis de 1999 avec, respectivement, la photo de l’enfant pakistanais cousant des ballons et le film de Micheal Moore, The Big One, où l’on voit le dirigeant de l’époque justifier le travail d’enfant de 14 ans. Elle

1994 de Annie Porter -La proposition en 2009 de d’Anne fletcher DON CHEADLE -Hors d’atteinte en 1998 de Maurice Miller -Ocean’s eleven en 2001 de Basher Tarr MATT DILLON -Mary à tout prix en 1998 de John McNaughton -Malcolm X en 1992 de Spike Lee JENNIFER ESPOSITO -Souviens-toi…l’été dernier 2 en 1998 par Danny Cannon William Fichtner -Pearl Harbor en 2001 par Michael Bay -The dark knight en 2008 par Christopher Nolan Terrence Howard -Ray en 2004 par Taylor Hackford

Ethan et Joël COEN Barton Fink 1990 Joel COEN The big Lebowsky 1997  Joel COEN O'brother 2000 George CUKOR Indiscrétions 1940 Milos FORMAN Amadeus 1984  T. GILLIAM et T. JONES Monty python (4 épisodes) 1974 - 1983 Sacha GUITRY La poison 1951  Spike JONZE Dans la peau de John Malkovitch 1999  Stanley KUBRICK Docteur Folamour 1963 Emir KUSTURICA Chat noir, chat blanc 1998  Georges LAUTNER Les Tontons flingueurs 1963  Joshua LOGAN Arrêt d'autobus (Bus stop) 1956 Mike NICHOLS Le lauréat 1967

chronique, je vous filerai à la fin le lien d’une mixtape à télécharger qui vaut le détour. La mixtape du jour regroupe des démos et quelques remix de Michael Jackson. Ciao ! http://skeudsleblog.20minutes-blogs.fr/archive/2010/08/29/j-period-spike-lee-present-michael-jackson-tribute-mixtape-r.html = lien pour mixtape Michael Jackson

billboard (11)Et j'ai emmené mes potes dans mon sillonJe demande à Ty Ty (12) "comment ça va ? ", toujours en train de siroter un Mai-Tai (13)Assis dans les tribunes, les Knicks et les Nets (14) me tapent dans les mainsNigga, Je deviendrai comme Spike Lee (15), mais je peux toujours faire trébucher un arbitreTu peux deviner de quelle ville je viens rien qu'en observant mon attitude(Alicia Keys)A New York,Jungle de béton où les rêves se construisentIl n'y a rien que tu ne puisses pas faireMaintenant

homme simple raconte l’histoire de l’Amérique du seconde XXème siècle) -Alan Parker, Mississippi burning, 1988 (sur le racisme envers les noirs) -Oliver Stone, JFK, 1991. - Georges Clooney, Good Night, and good luck, 2006. (sur le maccarthysme) - Spike Lee, Malcom X, 1992 ( sur le leader afro-américain du mouvement noir) Sur la guerre du Vietnam Francis Ford Coppola, Apocalypse Now, 1979 Michael Cimino, Voyage au bout de l’enfer, 1979 Oliver Stone, Platoon, 1986 Stanley Kubrick, Full metal jacket

issues de l’immigration en semblent définitivement exclues. Car contrairement au modèle américain, qui a depuis longtemps réussi à favoriser une certaine diversité (le Nouvel Hollywood, Will Smith, Samuel L. Jackson, Morgan Freeman, Jackie Chan, Spike Lee, Halle Berry, Whoopi Goldberg), la France use toujours d’un traitement très réducteur avec les composantes colorées de son cinéma. Non pas que celles-ci soient inexistantes, mais plutôt restreintes à un formatage de rôles prédéfinis par un inconscient

du visible Le film de Spike Lee est un ouvrage ethnographique sur la culture américaine et occidentale des années 80, un milieu en transformation à cause du processus migratoire et de l’apparition dans les quartiers périphériques de la troisième et quatrième génération d’immigrés qui affolent les banlieues, avec des problèmes de connivence et de vivre ensemble. Un focus important sur le film est le concept de visibilité et la nécessité de développer, comme a bien fait Lee, une analyse des identités