Spinoza Comme La Vraie Fin Des Lois

........................................... 7 Liberté et société.......................................................................... 8 Choix et liberté .......................................................................... 10 La liberté comme libération ...................................................... 12 Liberté et déterminisme ............................................................ 13 Liberté et responsabilité ............................................................ 15

musulmane", non plus que "mythologie occidentale". Veux-tu nous dire que les religions que je viens de citer (dont celle des "droits de l'homme" pour l'Occident), serait dépourvues de toute "mythologie" ou bien privilégies-tu l'aspect "légende" (comme ddans la célèbre collection "Mythes et légendes" chez Hachette) des récits des religions disparues ? Voici ce que je comprends dans cette dichotomie : les religions du passé, ce sont des légendes, tandis que les nôtres, ce sont de "vraies" religions

époques tout entières : à propos de tout ce qui se crée, il s'informe de l'offre et de la demande, "afin de fixer pour lui-même la valeur d'une chose". Cette attitude érigée en caractère déterminant de toute une culture, élaborée jusqu'à l'illimité comme jusqu'au plus subtil, imposant sa forme à tout vouloir et à tout pouvoir : voilà ce dont vous serez fiers, hommes du siècle à venir: si les prophètes de la classe commerçante ont raison de vous en promettre la possession ! Mais j'ai peu de foi en ces

déterminé? La liberté (Liberté) "On a toujours la liberté que l'on mérite et dont on est capable" (Liberté) L' école développe-t-elle un esprit critique ? (Liberté) L'homme est-il plus libre en obéissant aux lois de la cité qu'en obéissant a lui seul? L'homme est-il plus libre en obéissant aux lois de la cité qu'en obéissant a lui seul? "Pas de liberté pour les ennemis de la liberté" (Liberté) "Liberté, que de crimes on commet en ton nom". Peut-on tout justifier au nom de la liberté? La liberté selon

science est communément définie comme la connaissance des lois de causes à effets qui régissent le réel. La science est un savoir, savoir qui permet de comprendre, de maîtriser, d’anticiper le réel. Même s’il nous semble en faire quotidiennement l’expérience, le hasard nous apparait comme un phénomène sans but, inconnu, imprévisible, inattendu qui produit des effets que la science ne peut que constater. Or, les définitions de chacune de ces notions peuvent se voir comme antinomiques ou complémentaires

traitées : ~ en priorité : conscience, inconscient, liberté, interprétation ; ~ de manière secondaire : autrui, morale, perception, désir, vérité… 1) La conscience de soi est au fondement de la connaissance sur soi. a) La conscience perceptive comme moyen d’explorer son intériorité. Chaque homme développe au contact avec la réalité la faculté de se représenter non seulement ce qui l’entoure (cette table, cet homme…) mais aussi ce qui le traverse : sensations, sentiments, pensées, tendances

UN TERME PROBLEMATIQUE • Psychologie et logique. • un usage commun : ce qui fait obstacle, parce que jeté devant soi. • un usage logique : exposition en vue d’une démonstration (Euclide, Spinoza), une proposition et ce qui la rend croyable, d’où un fait question comme interrogation, une quête, une recherche à propos d’un sujet d’enquête (Aristote). Le problème laisse le choix entre le oui et le non, d’où la problématique qui est l’expression d’une contradiction qui

La morale est ce que nous nous imposons naturellement comme étant conforme à l’idée que nous nous faisons de l’humanité ; c’est un choix qui n’est pas dicté par une aversion à un risque quelconque comme aller en prison ou par l’avis des autres, le « qu’en dira-t-on ». Il s’agit de se soumettre personnellement à une loi qui nous parait valoir pour tous, mais la morale ne se pratique qu’à la première personne du singulier, si c’est pour les autres, alors on est juste moralisateur. Elle ne se démontre

Qu'est-ce qui fait la valeur d'une valeur morale? Les valeurs morales, idées qui guident le jugement d'un individu à l'appui d'un « code moral », ou système de référence éthique, semble s'imposer à la conscience individuelle comme aspiration à un idéal, ce dernier relevant au premier abord du « bon » ou du « juste ». Si l'étude sociologique ou anthropologique est susceptible de révéler la transmission d'une valeur morale par une idéologie singulière, une religion, une société humaine, l'homme

conventionnelles, une sorte d’auto-organisation. On parvient à se poser la question suivante : l’individu évolue-t-il grâce à l’Etat ? Ou bien est-il au contraire, capable d’évoluer indépendamment de celui-ci ? Dans une première partie, nous évoquerons l’Etat comme l’objet d’une organisation sociale où s’insère l’individu, dans une deuxième partie, nous verrons que l’individu se construit ou doit se construire contre l’Etat et enfin, dans une troisième partie nous montrerons que l’Etat est indispensable à l’évolution