Spinoza Si Dans Une Cité Les Sujets

va codifier de façon technique pour en faire une règle de droit. Ex: Le droit pénal n’est pas par définition un produit politique. La 1er des règles qui structure la société, c'est une règle morale et religieuse mais si on ne croit pas en dieu pourquoi suivre la règle. Si on déroge aux règles, la société va tomber dans un état anarchique. Ex: La prohibition de l'inceste, c'est aussi une règle politique avant d'être morale car on connait les problèmes psychologique et cela peut détruire une

qui peut revêtir un caractère déplaisant. 8 La métaphysique désigne par ce terme ce qui existe en une chose de façon contingente et aléatoire. 9 Un accident désigne aussi ce qui peut être modifié, disparaître sans entraîner la destruction d’un sujet ou d’une chose. 10 Le terme désigne enfin ce que fait un être, ou ce qui lui arrive, indépendamment de son essence. | acquis | Ce qui n’est pas donné immédiatement. 11 L’acquis s’oppose à ce qui est inné, à ce que l’on possède dès la naissance

De la cité au corps politique : La signification de l’État comme pouvoir souverain La notion de cité et de polis est une référence à la Grèce. Si ça amuse certains de traduire Athènes ou la cité d’Athènes par l’État d’Athènes, ça peut entrainer une confusion conceptuelle. Dans la notion de cité, la communauté humaine et la communauté politique sont distinguées mais elles ne sont pas séparées. Autrement dit, on peut dire que la cité est la communauté humaine, sociale et politique. Mais ce n’est

; Gabrielle Radica ; Olivier Remaud ; Anne-Lise Rey ; Camille Riquier ; Jean-Marc Rohrbasser ; Maxime Rovere ; Philippe Sabot ; Pascal Severac ; Guillaume Sibertin-Blanc ; Mathieu Triclot ; Lorenzo Vinciguerra Coefficient : 3 Durée : 6 heures SUJET : « Pourquoi punir ? » Cette année a été particulière pour l’épreuve commune de philosophie à l’écrit, qui est entrée dans la BEL (banque d’épreuves littéraires qui regroupe des écrits des candidats préparant l’ENS LSH et l’ENS-Ulm). Une première

pouvoir se considèrent par ailleurs comme les seuls propriétaires de l’Etat à qui le droit romain, confère des prérogatives absolues. C’est aussi la tendance d’une certaine pensée politique représentée par des philosophes comme Machiavel, Hobbes, Spinoza qui encouragent et justifient cette orientation. Du point de vue de ces auteurs et philosophes, la souveraineté était une puissance suprême et absolue. Elle était la puissance absolue et perpétuelle d’une République. C’était une politique centralisée

de l’avarice 2.18 XVII. De la cruauté et de la clémence, et s’il vaut mieux être aimé que craint 2.19 XVIII. Comment les princes doivent tenir leur parole 2.20 XIX. Qu’il faut éviter d’être méprisé et haï 2.21 XX. Si les forteresses, et plusieurs autres choses que font souvent les princes, leur sont utiles ou nuisibles 2.22 XXI. Comment doit se conduire un prince pour acquérir de la réputation 2.23 XXII. Des secrétaires des princes 2.24

par soi-même", l'expression signifie-t-elle penser tout seul, penser "sans" ou "contre" les autres, ou bien exercer son esprit critique, son jugement personnel, faire preuve d'indépendance et d'originalité ? Est-il possible de penser par soi-même, et si oui, à quelles conditions ? A-t-on le droit de penser par soi-même ? Est-il légitime de le faire ? Répondre non à ces deux questions, n'est-ce pas accepter l'impossibilité de déjouer les conditionnements idéologiques ou autres, tels que la publicité

et c'est par la violence et la ruse qu'ils font valoir l'un contre l'autre leur différence. » Hegel (Friedrich-Georg-Wilehelm) 1770-1831 :, Propédeutique philosophique, extrait de principes de la philosophie du droit. On pose la question de savoir si l'homme est par nature moralement bon ou mauvais. Il n'est ni l'un ni l'autre, car l'homme par nature n'est pas du tout un être moral, il ne devient un être moral que lorsque sa raison s'élève jusqu'aux concepts du devoir et de la loi. On peut cependant

pas 19 IV. Liberté et morale 21 A. Tu dois donc tu peux (Kant) 21 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre) 21 C. La liberté : un mythe nécessaire ? 22 Conclusion 22 Annexe 23 Quelques idées supplémentaires 23 Quelques illustrations 26 Sujets de dissertation 27 Introduction La liberté… Quel joli mot ! La liberté est un idéal. En fait, nous désirons la liberté avant même de savoir ce qu’elle signifie. LIBERTÉ : c’est un de ces détestables mots qui ont plus de valeur que de sens ;

Je vois pas mal de sujet fleurir un peu partout, avant le printemps attendu, sur le thème de la conscience, du moi, sur la signification de l'être. Je vais me mettre à l'actualité, une fois n'est pas coutume, et tenter d'élucubrer sur la question. Je me suis documenté et ai trouvé quelques trouvailles qui valent, selon moi, le coup... Après notre discussion longue et périlleuse sur l'utopie et autres on peut dire que le désir fondamental de l'homme, de tout homme, est d'être heureux, la quête