Spinoza Traité Politique

siècle et rassemble des individus qui ne partagent pas les mêmes idées (Voltaire est contre l'instruction du peuple, Diderot en est partisan). C'est la diversité, cependant il est possible de retracer les étapes du développement des Lumières, puis les traits majeurs de la pensée des Lumières, et les moyens par lesquels les idées nouvelles se diffusent. I) Les étapes du développement des Lumières Ce mouvement des Lumières ne naît pas "ex-nihilo", il a des origines que l'on peut retrouver dans la crise

où le même Descartes traite de Dieu, des preuves de son existence, de sa nature, et ainsi de suite, par exemple dans les Méditations, puisqu’il ne s’agit pas alors de vérités révélées, mais bien de vérités rationnelles, donc accessibles au philosophe. Autrement dit, la religion et indirectement le passage ci-dessus traitent du “Dieu des religions”, alors que c’est du “Dieu des philosophes” que Descartes affirme certaines propriétés. Prenant un exemple de vérité révélée, Spinoza va plus loin : « Quand

développement de l’éthique séculière moderne est illustré dans De jure belli ac pacis (« Sur le droit en temps de guerre et en temps de paix », 1625) de Hugo Grotius. Bien que son œuvre adhère à certaines doctrines de saint Thomas, elle traite des devoirs politiques et civils de l’Homme dans l’esprit de l’ancienne loi romaine. Grotius avançait que le droit naturel fait partie de la loi divine et qu’il est fondé sur la nature humaine, dans laquelle il voyait un désir d’association pacifique avec les

grands philosophes : Socrate, Platon et Aristote. Socrate est le premier philosophe à être né et à avoir exercé à Athènes qui est, à cette époque, la capitale culturelle du monde grec. Il est considéré comme l’inventeur de la philosophie morale et politique. A partir de 450 avant Jésus Christ, les sophistes choisissent de s’intéresser à l’homme et à sa place dans la société. Ils soutenaient qu’il n’y a pas de normes proprement dites pour le vrai et le faux et que ce qui se fait et ce qui ne se fait

Histoire de la pensée po : La republique et l'Etat. Deux notes : - W à domicile - Partiel Jean Touchartd, "Histoire des idées politiques". Collectif au Edition Studirama, Bellaganba, de Harbe, Portolani, Reverso, "Histoire des idées politiques" collection panorama du droit. Autres documents : these. A noter qu'elle prennent toutes point de vu. Ne doit pas etre une description des grands mouvments. N'est pas l'histoire des doctrines car histoire de la pensée po ne doit pas s'interesser

de la citoyenneté : à quelles conditions le renouvellement peut-il être associé avec profit à la gestion des affaires publiques ? * Annonce du plan : si la citoyenneté est un idéal unissant des droits civiques et politiques à des devoirs de contribution effective à la vie politique que nos démocraties risquent de remettre en cause (1), les nouvelles formes d’engagement citoyen doivent être favorisées, encadrées et coordonnées par les pouvoirs publics afin de revivifier notre démocratie (2)

meilleure maîtrise de la nature, voire à une exploitation marchande des travaux scientifiques ( des OGM aux bio-technologies) ; la vérité d'une proposition scientifique ne servirait au fond que des intérêts secondaires (techniques, marchands voire politiques). Mais c'est faire peu de cas de la plurivocité de la vérité et du vrai comme objet de recherche, d'examen, de travail critique. Si la recherche de la vérité commande effectivement la démarche scientifique fondée sur une méthode, la construction

car où serait pour lui le motif d’agir ? Dieu lui-même est sensible, puisqu’il agit » (Deuxième dialogue). «  La seule raison pour laquelle on agit n’est point active » (Emile, V). Ainsi, dans la continuité de Descartes (Passions de l’âme) et Spinoza (L’éthique), Rousseau dresse un tableau systématique des sentiments ; deux couples de principes opposés : - avant la raison : amour de soi* et pitié* - après la raison : conscience morale* et amour propre* L’amour de soi est le sentiment absolu

faire l’économie d’une réflexion sur ce qui est désirable, sur la société où il ferait bon vivre : une société dite policée. Mais si l’on demande ce qu’est qu’une société policée, on saura qu’elle appelle la mise en oeuvre d’une construction politique qui rende possible la paix et la tranquillité, mais aussi le déploiement d’une vie sociale qui favorise la politesse et les bonnes moeurs, et puisse affronter les désordres et les maux de toute sorte avec intelligence et humanité. Il nous faut

3- L’amour et la science Le cerveau Les hormones Partie II L’amour dans la société 1- Le désir d’amour 2- Manipulation de ce désir amoureux pour : L’argent Les médias Les sites de rencontres La st valentin Les sectes Le pouvoir Politique Manipulation au sein du couple Conclusion Bibliographie Annexes L’Amour INTRO L'amour est un sentiment incontournable. Il s'étale à la une de nos médias, il accapare nos conversations