Spleen Laforgue

Certes la poésie peut naitre de la souffrance a)Chanter sa souffrance 1-La douleur vécue (Rechercher deux exemples de poèmes où l'auteur exprime sa peine en lieu avec un événement vécu) 2- Le spleen du poète (dans les poèmes de Beaudelaire, de Verlaine ou de Jules Laforgue) b)Chanter la souffrance (exemples de poèmes dans lequels les poètes parviennent à émouvoir le lecteur qui se reconnait dans l'expression des sentiments universels. La mélancolie dans Beaudelaire ou Lamartine)

LE SPLEEN BAUDELAIRIEN Introduction I-Biographie de Baudelaire II-Le poète parnassien : Pourquoi Baudelaire se réclame-t-il dans l’école parnassienne ? III-Le poète symboliste : Dans quelle mesure Baudelaire appartient-t-il à l’école symboliste ? IV-Origine & définition du spleen baudelairien Le syndrome Œuvres illustratives du spleen V-Conclusion * Introduction Charles-Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et

se lire selon un ordre, comme un roman, puisque les textes sont disposés selon un sens. Le recueil commence par "Bénédiction" et finit par "La Mort", il suit le cour de l'existence humaine ; "Au lecteur" est considéré comme une sorte d'apologue. Spleen et Idéal : Partie la plus longue (poèmes 1 à 85), thématique : double postulation : enfer, détresse/ ciel, idéal, bonheur : conscience du poète, qui oscille entre ces deux pôles. Il y a plusieurs cycles à l'intérieur de la section : premiers poèmes

l'amour n'est pas la seule cause de son désarroi. Il s'agit parfois d'un mal plus abstrait, plus profond : le spleen. C'est un état d'insatisfaction générale de l'âme, une sensation de vide, d'inachèvement. Au XIXème siècle, de nombreux poètes ressentent un manque essentiel, un besoin d'idéal ou d'ailleurs qu'ils ne peuvent exprimer qu'à travers la poésie. Baudelaire évoque ainsi dans Spleen les "longs ennuis" et "l'Angoisse atroce", qui qualifient son mal-être, son mal de vivre. En plus de ce dégoût

l'amour n'est pas la seule cause de son désarroi. Il s'agit parfois d'un mal plus abstrait, plus profond : le spleen. C'est un état d'insatisfaction générale de l'âme, une sensation de vide, d'inachèvement. Au XIXème siècle, de nombreux poètes ressentent un manque essentiel, un besoin d'idéal ou d'ailleurs qu'ils ne peuvent exprimer qu'à travers la poésie. Baudelaire évoque ainsi dans Spleen les "longs ennuis" et "l'Angoisse atroce", qui qualifient son mal-être, son mal de vivre. En plus de ce dégoût

charment et égarent au matin de la vie (dernier feuillet de Sylvie de Gérard de Nerval • Parce que toute tentative d’échapper à sa condition est vouée à l’échec. Dans le poème «  Soir d’automne au Luxembourg » de Laforgue, le tableau enchanteur est parcouru de fissures qui disent le spleen. L’image rêvée n’abolit ni temps ni la douleur. Alors la parole poétique ne serait-elle une manière comme le proclame Rimbaud dans le poème « Adieu » « d’étreindre la rugueuse réalité ». • Dire le monde

l'amour n'est pas la seule cause de son désarroi. Il s'agit parfois d'un mal plus abstrait, plus profond : le spleen. C'est un état d'insatisfaction générale de l'âme, une sensation de vide, d'inachèvement. Au XIXème siècle, de nombreux poètes ressentent un manque essentiel, un besoin d'idéal ou d'ailleurs qu'ils ne peuvent exprimer qu'à travers la poésie. Baudelaire évoque ainsi dans Spleen les "longs ennuis" et "l'Angoisse atroce", qui qualifient son mal-être, son mal de vivre. En plus de ce dégoût

l'amour n'est pas la seule cause de son désarroi. Il s'agit parfois d'un mal plus abstrait, plus profond : le spleen. C'est un état d'insatisfaction générale de l'âme, une sensation de vide, d'inachèvement. Au XIXème siècle, de nombreux poètes ressentent un manque essentiel, un besoin d'idéal ou d'ailleurs qu'ils ne peuvent exprimer qu'à travers la poésie. Baudelaire évoque ainsi dans Spleen les "longs ennuis" et "l'Angoisse atroce", qui qualifient son mal-être, son mal de vivre. En plus de ce dégoût

l'amour n'est pas la seule cause de son désarroi. Il s'agit parfois d'un mal plus abstrait, plus profond : le spleen. C'est un état d'insatisfaction générale de l'âme, une sensation de vide, d'inachèvement. Au XIXème siècle, de nombreux poètes ressentent un manque essentiel, un besoin d'idéal ou d'ailleurs qu'ils ne peuvent exprimer qu'à travers la poésie. Baudelaire évoque ainsi dans Spleen les "longs ennuis" et "l'Angoisse atroce", qui qualifient son mal-être, son mal de vivre. En plus de ce dégoût

mystique. Baudelaire vécu une vie de dandy (opium et alcool). Poussé par le besoin d'argent il se lança dans la critique d'art et il traduisit les œuvres de Edgar Allan Poe. Il écrivit entre autres Les Fleurs du mal et Le Spleen de Paris (Les petits poèmes en prose). Le spleen baudelairien est le condensé de profonds sentiments de découragement, d'isolement, d'angoisse et d'ennui existentiels que Charles Baudelaire exprime dans plusieurs de ses poèmes dans son recueil Les Fleurs Du Mal. Charles