Splendeurs Et Misères Des Courtisanes

Maison Nucingen (1838) Les Secrets de la princesse de Cadignan (1839) Béatrix (1839) Illusions perdues (I, 1837; II, 1839; III, 1843) La Rabouilleuse (1842) Modeste Mignon (1844) La Cousine Bette (1846) Le Cousin Pons (1847) Splendeurs et misères des courtisanes (1838) ; Werdet (1844-1846) Furne  (1847) Ursule Mirouët (1842) ; Souverain (1843) Balzac emploie une méthode que Marcel Proust appelait « l’éclairage rétrospectif »  : le passé d’un personnage n’est révélé que longtemps

l’ « heureux » possesseur de la peau de chagrin, son camarade Emile, et deux courtisanes, Aquilina et Euphrasie. Celles-ci, comme pour annoncer l’analepse qui suivra – et qui aura pour titre « la femme sans cœur – évoquent les caractéristiques de leur existence sans avenir. Pour définir le statut de ces deux femmes et leur discours fataliste, nous allons mettre en valeur dans un premier axe l’hédonisme désespéré des courtisanes, puis dans un deuxième temps, nous remarquerons que Balzac utilise une écriture

Le Père Goriot, Balzac fait revenir Rastignac qui était déjà présent dans La Peau de chagrin et que l’on retrouvera notamment dans La Maison Nucingen (1838) ; Lucien de Rubempré est le héros d’Illusions perdues (1837 et 1843) et de Splendeurs et misères des courtisanes (1838 et 1843). - Le projet de ce qui deviendra La Comédie humaine naît probablement dans les années 1830 : en effet, Balzac réunit alors plusieurs de ses œuvres sous le titre Études de mœurs au XIXe siècle. Mais c’est entre 1842 et

dans six livres de La Comédie Humaine de Honoré de Balzac : Le père Goriot, Illusions perdues, Splendeurs et misères courtisanes, Le député d'Arcis, La cousine Bette et Le contrat de mariage. On apprend qu'il a été condamné à vingt ans de prison pour un faux meurtre commis par un autre. Puis dans Illusions perdues, il est devenu prêtre sans qu'on sache comment. Dans Splendeurs et misères des courtisanes on apprend de quelle façon il est devenu un prêtre : il a tué un moine et a modifié son propre

Comédie humaine Les personnages dans Splendeurs et misères des courtisanes Les personnages entre « type » et « caractère » Remarques analytiques sur les personnages principaux dans Le Père Goriot et dans Splendeurs et misères des courtisanes Conclusion Appendice Bibliographie 4 7 10 2.0 3.0 16 25 4.0 4.1 35 42 5.0 48 53 Sigles utilisés CH Comédie humaine IP Illusions perdues SetM Splendeurs et misères des courtisanes PG Le Père Goriot 1.0 Introduction

Splendeurs et misères de courtisanes (Balzac) Un jeune homme anonyme comme dans la Peau de Chagrin I) Un incipit énigmatique présentant un jeune Dandy en quête d’identité 1. Un incipit descriptif et réaliste CCT (l1), CCL (l3) L’année situe historiquement l’action L’adjectif « dernier » (l1) = lien implicite avec le lecteur ; paradoxe du dernier bal/début du livre Présence de la 3p.s, nombreux adj. l9 et 7 =, énumération l13, 14 Imparfait descriptif l3, 10 = verbe d’état. 2. Un

de Nucingen, et c’est un des deux ou trois hommes d’État enfantés par la Révolution de juillet ; mais le pouvoir l’ennuie quelquefois, et il vient rire avec nous... » On le retrouve également dans les romans suivants : * Splendeurs et misères des courtisanes * Melmoth réconcilié * Ursule Mirouët * Les Secrets de la princesse de Cadignan * Autre étude de femme * La Cousine Bette * La Maison du chat-qui-pelote * Béatrix * Le Député d'Arcis Article

sont des Parisiens, et les romans se déroulent souvent dans la ville elle-même. Balzac a également écrit un certain nombre de romans qui se concentrent spécifiquement sur la vie dans la ville, notamment "Le Père Goriot" ainsi que "Splendeurs et misères des courtisanes".Gustave Flaubert est connu pour son roman "Madame Bovary", qui se déroule principalement dans la campagne française, mais il a également écrit sur Paris dans ses nouvelles et ses romans. Son roman "L'Éducation sentimentale", publié

pas car il le freine dans ses espoirs de réussite. Il lui préfère donc le nom noble de sa mère, de Rubempré. Il essayera d’obtenir ce changement de nom auprès du roi. Il ne l’obtiendra pas dans Illusions perdues mais, plus tard, dans Splendeurs et misères des courtisanes, roman dans lequel il devient Lucien de Rubempré, un personnage lâche et sans scrupules, marionnette de Vautrin, le prêtre rencontré à la fin des « Souffrances de l’inventeur ». Il représente un idéal de beauté, qui devient, puisque

d’Arthez dans les Secrets de la princesse de Cadignan, Autre étude de femme, Splendeurs et misères des courtisanes, et bien d’autres encore. Il est la représentation de l’écrivain passionné et travailleur, comme l’était Balzac, mais il est aussi un homme généreux, un ami sincère et un grand intellectuel. Lousteau, de son coté, qui est apparu essentiellement dans La Muse du département et Splendeurs et misères des courtisanes, représente le monde du journalisme douteux et corrompu et se présente comme