STMicroelectronics

 Caractérisation de la situation Qui sont les acteurs ? Mme BERTOLINA, chargée RH chez STMicroelectronics Eléonore, jeune diplômée BTS Assistant de manager Quel est leur position l’un par rapport à l’autre ? Mme BERTOLINA et Eléonore ont une relation sans pouvoir hiérarchique mais avec cependant une différence de statut Quel est l’objet de leur rencontre ? Eléonore recherche un emploi comme assistante. De son côté, Mme BERTOLINA doit s’assurer qu’elle trouvera le bon candidat pour le poste. Une

sur votre boite mail et évitant les problèmes de stockage ou de perte de données. Notre réseau de distribution est long car il comprend plusieurs intermédiaires. Nous faisons sous traiter la production de nos cartes mémoire, par l’entreprise STMicroelectronics, pour ensuite les vendre aux grandes surfaces ou à Darty par exemple qui par la suite, vendent le produit aux clients. Nous avons également décidé de vendre nos cartes mémoire 3G aux opérateurs téléphoniques Orange et SFR afin qu’ils puissent

établissements et plus de 13 700 emplois, l’électronique est un secteur qui compte en région Centre, porté par un tissu industriel diversifié. La région accueille, en effet, sur son territoire des leaders mondiaux de l'électronique tels que STMicroelectronics, Thalès Avionics et Gemalto, de nombreuses PME-PMI, des laboratoires et centres de Recherche et Développement ainsi que le pôle de compétitivité S2E2, « Sciences et Systèmes de l'Energie Electrique ». Les entreprises de la région ont développé

de voix rapides entourent le site. L’aire urbaine est donc bien reliée et n’est pas située dans une zone souffrant de l’effet tunnel. Il faut également noter que le pôle de compétitivité a un poids important dans le secteur ouvrier, l’usine STMicroelectronics emploie en effet 4000 personnes pour la production de puces électroniques, et ce nombre de salariés ne représente que l’embauche d’une seule entreprise présente sur le lieu du pôle. Par ses actions et ses politiques l’aire urbaine grenobloise

siècle. Document 8 : la photographie montre ici un pay- sage périurbain avec au premier plan des lotisse- ments et un habitat individuel. Au centre de l'image se trouve le centre de recherche et déve- loppement des groupes Philips, Motorola et STMicroelectronics, en charge du développement des technologies de circuits intégrés. Le pôle pré- voit d'employer plus d'un millier de personnes et accroîtra l'importance de ce secteur des hautes technologies dans l'agglomération grenobloise après leur vaste

Michelin avance de 3,03 % à 71,10 euros alors que les contrats futures sur le caoutchouc reculaient pour la deuxième séance d’affilée à Tokyo ce matin sur fond de craintes d’une augmentation des stocks en Chine, premier consommateur mondial. STMicroelectronics engrange 2,05 % à 6,357 euros. Le taïwanais TSMC, le premier sous-traitant mondial pour l’industrie des semi-conducteurs, a annoncé une progression de 37% sur un an de ses ventes en janvier. A contrario, Renault recule de 1,18 %, à 43,60 euros

pays asiatiques ne sont que les signes les plus notoires du rôle du taux de change dans une perspective globale. Ce travail a pour objectif de cerner le rôle du risque de change à un niveau beaucoup plus restreint, celui de l’entreprise : le STMicroelectronics multinational installé au Maroc et dont l’activité principale et l’assemblage des composants électroniques destinés 100% à l’exportation ; son importance n’en est cependant pas moindre ; au niveau de l’entreprise, les taux de change représentent

leader mondial du silicium sur isolant, il dépose quelque 180 brevets par an et gère un portefeuille de 1 000 inventions protégées par des brevets avec le commissariat à l’énergie atomique (CEA) et l’un des leaders mondiaux des semi-conducteurs (STMicroelectronics). A ce groupe c’est joint de petites et moyennes entreprises qui fabriquent des équipements pour mener à bien les recherches des chercheurs et ingénieurs. Sans oublier que ces scientifiques sont à l’origine des « start-up ». Bien sur l’Etat

|Jean-Pascal Tricoire |Président du directoire | |Société Générale |Frédéric Oudéa |Directeur général | |STMicroelectronics |Carlo Bozotti |PDG | |Suez Environnement |Jean-Louis Chaussade |Directeur général

initié par son PDG, Christian Streiff. Face à ces océans de profits, les trois entreprises déficitaires font mauvais genre, mais ne représentent pas grand-chose. Deux sont dans le secteur des équipementiers en électronique (Alcatel-Lucent et STMicroelectronics). Quant à EADS, sa perte doit être relativisée : les comptes du groupe sont affectés par son plan de restructuration et la baisse du dollar, tandis que ses commandes battent tous les records. (...) « Les actionnaires se frottent déjà les mains