Stabilité Financière

du pacte de stabilité 4.3 Pacte pour l'euro 4.4 Traitement des crises pour 2013 5 Les résultats des négociations d'octobre 2011 5.1 L'accord 5.2 La réception de l'accord et projet de référendum 6 Les débats sur les moyens utilisés pour résoudre la crise 6.1 Les débats entre les gouvernements 6.2 La position des banques 6.3 Les peuples 7 Débats plus généraux 7.1 Renouveau du débat sur la gouvernance économique 7.2 Sur l'analyse du problème 7.3 Sur les réformes financières depuis la crise

principal selon le traité de Maastricht "est de maintenir la stabilité des prix" tout en apportant son soutien "aux politiques économiques générales dans la Communauté". En d'autres termes, cet organisme supranational est chargée de réguler l'inflation et de soutenir les objectifs économiques de la zone euro pour garantir un niveau d'emploi élevé et une croissance durable. Depuis le début de la crise, le soutien de la stabilité financière de la zone euro est sa mission primordiale. En tant que banque

systèmes bancaires, déjà affectés par la tourmente financière de 2008-2009. Les Européens peinent à tirer les conclusions de l’échec du Pacte de stabilité et de croissance qui a laissé s’installer des politiques économiques divergentes. La crise des dettes de la zone euro nécessite une forte intégration des politiques budgétaires et l’accélération de la construction communautaire vers un authentique fédéralisme budgétaire ; une solidarité financière entière doit permettre de dissiper les illusions

LA CRISE FINANCIERE ET ECONIQUE IRLANDAISE La crise en Irlande L'Express 22/11/2010 Comment l'Irlande a plongé dans la crise Un jeu spéculatif effréné et généralisé Entre 1995 et 2000, le pays double ses exportations. Sur cette terre traditionnelle d'émigration, la population désormais s'accroît: c'est un retournement historique. Mais cette richesse nouvelle fait perdre toute mesure. L'argent neuf se déverse sur l'immobilier dans un jeu spéculatif effréné et quasi généralisé. En 2008

presse : Grèce : 18 milliards d’Euros pour les 4 principales banques lundi 28 mai 2012, 18:21 Les quatre principales banques grecques ont reçu lundi 18 milliards d’euros du Fonds européen de stabilité financière (FESF) en vue de leur recapitalisation, indique une source au sein du Fonds grec de stabilité financière. « L’ordre de virer les fonds a été donné et cela signifie que la procédure est achevée », indique cette source. La Banque nationale de Grèce (BNG), numéro un du pays, a reçu 7,43 milliards

ont tenté de répondre les ministres des Finances de l'Union européenne, réunis dimanche à Bruxelles pour finaliser le plan de sauvetage irlandais. Officiellement, 85 milliards d'euros ont été débloqués pour sauver l'île d'émeraude de la débâcle financière. Une somme conséquente sur le papier, mais qui n'engage que très peu la solidarité des autres pays de la zone euro.  L'Irlande devra, en effet, financer elle-même une grande partie de ce montant. Au terme de l'accord, elle va devoir puiser pas

banques ibériques sont gorgées de titres publics, les doutes sur la solvabilité de l'Etat contamineront les banques. Inextricable... Pour casser ce cercle vicieux, il faudrait un sauvetage direct des banques espagnoles par le Mécanisme européen de stabilité (MES), ce que ses statuts ne permettent pas aujourd'hui. En outre, pour rassurer les déposants, qui commencent à vider leurs comptes (dans une mesure cependant moins alarmante qu'en Grèce), une garantie des dépôts au niveau européen serait nécessaire

ou Réseau ferré de France (RFF), tous notés AAA, verraient sans doute, comme toutes les agences publiques garanties par l'Etat, leur note de qualité de crédit abaissée. Cela renchérirait leurs coûts de financement, au détriment de leur situation financière. Ce serait aussi le cas de La Poste ou de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), puissant soutien financier des politiques publiques (logement, rénovation urbaine, etc.) et, dans le contexte de crise, pivot pour des opérations de sauvetage

La zone euro lance un plan d'aide de 158 milliards d'euros pour la Grèce Par L.D., le 21 juillet 2011 à 21h36 , mis à jour le 21 juillet 2011 à 23h07 Dossier : Crise financière Les dirigeants de la zone euro se sont mis d'accord jeudi soir pour mettre en place un deuxième plan d'aide à la Grèce d'un montant total de 158 milliards d'euros. Y participeront les membres de la zone euro et les créanciers privés. 29 Commentaires Article suivant dans Economie : Défaut de paiement grec : pourquoi la

L’Europe a d’abord cru que la crise financière qui avait commencé en 2007 aux États-Unis ne la toucherait que modérément. Pourtant, sa propagation a été rapide et elle s’est vite transformée en crise économique (diminution de la croissance, voire récession), en crise sociale (chômage croissant) et en crise budgétaire (accroissement des déficits et explosion la dette). La première crise grecque en 2009-2010 Le premier pays européen touché par cette problématique de l’endettement a été la Grèce,