Stade Mohammed-V

Le Wydad Athletic Club a un très grand nombre de supporters au Maroc et ailleurs. Ces supporters sont classifiés selon deux catégories: les associations des supporters et les Ultras. Ces supporters occupent la partie nord du complexe Mohammed 5 à Casablanca connue sous le nom « Frimija ». Rouge et Blanc Rouge et Blanc1, deux couleurs qui donnent le nom à l'association d'un groupe de supporters créée en mai 2000. Très rapidement l'Association s'est accaparée la place de leader des associations

Parallèlement à la mise à niveau des infrastructures de transport, le plan d’urgence de la ville blanche prévoit la mobilisation de 245 MDH pour le réaménagement du parc de la Ligue arabe, l’aménagement d’espaces verts, la modernisation du complexe Mohammed V et la réhabilitation du zoo d’Aïn Sebaâ . Pour ce dernier, le Conseil de la ville compte mobiliser la société gestionnaire du parc de Rabat afin de créer une certaine synergie entre les deux zoos.   Les délégataires des services de propreté

de sa puissance alors qu'en 1954 l'istiqlal était un parti plutot urbain, bourgeois et lié notament à la bourgeoisie de Fes et comptait 100 000 adhérants. Il a réussi à fédherer 1 million de militant en 1957 et c'est devenu un parti national à ce stade là, qui s'est implanté même dans les milieux ruraux du Maroc. Parti qui acquiert une envergure considérable. Co-dirigé par Allal al-Fassi (réformiste musulman et contraint à l'exil) avec Ahmed Balafrej mais l'homme qui va s'imposer sur la scène po

El Fida CASABLANCA 022-28-10-00/80 022-28-17-88 F.D.T. : Fédération Démocratique du Travail 06/04/2003 12, rue Mohamed Diouri sidi belyoute Casablanca U.N.T.M. : Union Nationale du Travail au Maroc. 15/06/1976 352, avenue Mohamed V immeuble Saâda RABAT 037-79-31-96 / 061-22-64-65 037-73-99-74 U.S.T.L. : Union des Syndicats des Travailleurs Libres. U.T.M. : Union des Travailleurs Marocains. 23/03/1963 11 Rue Mécanicien Jean port de Casa 24, avenue Moulay Abderrahmane

Mais grâce à la reconnaissance de l autonomie interne de la Tunisie, par Pierre Mendès France le 31 juillet 1954, cette situation fut apaisée. Au Maroc nous pouvons voir que les choses se sont passées environ de la même façon. En 1943 le sultan Mohammed Ben Youssef prononce le discours de Tanger, réclamant l'indépendance du pays. Le 20 août 1953 il fut exilé et un autre sultan pris sa place. Cette décision a engendré des émeutes populaires à Casablanca durement réprimées : C est le déclenchement

du Chrâa sur toute autre législation. Or en cette années 1930, la situation au Maroc avait changé. Le 17 novembre 1927, le Sultan Moulay Youssef était décédé, et il avait été remplacé sur le trône Alaouite par son troisième fils, Sidi Mohammed, le futur Mohammed V, un jeune homme de 18 ans. Il était donc normal de penser que, vu son inexpérience, il serait plus malléable, et qu’il scellerait - enfin - le dahir officialisant les djemââs judiciaires. C’est dans ce contexte et dans cet esprit qu’un

la même façon que celle de la Tunisie. C'est en 1955 que le sultan Mohammed Ben Youssef, soutenant le parti de l'Istiqlal, fut déposé par les autorités françaises. Or, il y eu de nombreuses contestations si bien qu'en 1955 le gouvernement à décidé de faire revenir le sultan et de négocier. Ben Youssef devient le souverain de l'Etat et la dépendance du Maroc fut donc acquise en Mars 1956 avec Ben Youssef qui prend le nom de Mohammed V. Pour voir un dernier pays, la Côte d'Ivoire déclare son indépendance

manifestations nationalistes. Des nationalismes se développent ainsi au Maroc, dont la création du parti de l’Istiqlal, inspiré par le sultan Mohammed Ben Youssef. Suite à La seconde guerre mondiale déclenchée en 1939, la France connait une défaite en 1940 face aux Allemands et perd son autorité (présence des Américains en 1942). Le 10 avril 1947 : Le Sultan Mohammed Ben Youssef prononce le discours de Tanger, réclamant l’indépendance du pays et son intégrité territoriale. Le 13 mai 1947 : Désignation

des confiscations et à des spoliations. Mohammed V s’oppose aux lois racistes de Vichy, les juifs du Maroc auraient subi le même sort que leurs frères d’Europe. Car, le roi du Maroc opposa fermement son refus à ces méthodes et, non sans vision, dit simplement aux autorités coloniales : « Les juifs marocains sont mes sujets, des citoyens comme tous les autres, ils sont sous ma protection ». L’historien Bin-Nun Yigal insiste sur le fait que le sultan Mohammed Ben Youssef a du signer sous pression

qui la mission confiée à Pétain apparaît comme un désaveu, donne sa démission et rejoint la France. [pic] 1926: Reddition d’Abd el-Krim. [pic] 1927 : Mort de Moulay Youssef. Son troisième fils, Sidi Mohammed ben Youssef, âgé de dix-huit ans, lui succède sur le trône sous le nom de Mohammed V. [pic] 1930 : Des manifestations éclatent contre le projet français de séparer, sur le plan juridique, Arabes et Berbères, ce qui porterait un coup fatal à l’unité nationale marocaine. Devant l’hostilité