Stagflation

baisse du commerce international, forte crise dans la sidérurgie dès 1975 à cause d’une augmentation de l’Offre en provenance des N.P.I. Mais pour la première fois la crise combine le chômage et l’inflation (>10% en 1975): c’est la stagflation. La stagflation est le résultat à la fois de la baisse de l'activité économique et d'une hausse de l'inflation. Or auparavant on été persuadé que l'inflation ne pouvait se conjuguer qu'avec l'emballement économique (besoin d'augmenter la masse monétaire)

du tiers-monde ralentissent leur activité économique et connaissent une crise financière majeure. En 1982 le Brésil, le Mexique, l’Argentine et la Pologne se déclarent en cessation de paiement. Une crise insolite aux effets contrastés. La « stagflation » La crise économique provoque un arrêt brutal de l’expansion et un ralentissent durable des rythmes de la croissance. Le taux de croissance des pays de l’OCDE chute considérablement et en 1982 le chômage touche plus de 10% des actifs. Pour

1000 Milliards d’euros pour les banques européennes Inflation, déflation, stagflation, récession Guerre des monnaies Quid de la politique budgétaire ? Quelle politique monétaire ? Compétitivité Le multiplicateur budgétaire Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance, TSCG ou pacte budgétaire européen Faut-il craindre la déflation en zone euro ? Définitions Déflation Inflation Récession Stagflation Dossiers Comptes publics La Règle d’or des finances publiques Relance

transport. Les secteurs traditionnels comme la sidérurgie, le textile, la construction navale s’effondrent, avec l’automobile - En réalité, la croissance continue a un rythme plus lent, et l’inflation augmente, on parle d’une putain de stagflation. - Cette même stagflation conduit à un ralentissement des échanges. - Le ralentissement de l’activité provoque un brusque accroissement du chômage, au début des années 1980, il touche plus de 8% de la population active dans les pays de l’OCDE. S’ajoute la

interprétation a été dès l’origine l’objet de controverses, notamment de la part des monétaristes, pour lesquels le niveau des prix ne doit pas avoir d’incidences sur l’économie réelle . De plus, dans les années 70, l’apparition de la « stagflation » (qui entraîne la coexistence d’un fort chômage et d’une forte inflation) a fait disparaître la relation statistique. La théorie a donc dû évoluer, faisant notamment appel à la théorie des anticipations rationnelles. Il apparaît donc intéressant

- Une société plus urbaine. II Le tournant des années 1970-1980 ; l’essoufflement de la croissance et ses répercussions sur les sociétés. Le retournement de la conjoncture. - ralentissement de l’activité économique ; stagflation. 2. La crise provoquée par Les 2 chocs pétroliers (1973 & 1979) 3 Conséquences sociales et réactions face à la crise - Le développement d’un chômage sélectif (immigrés ; femmes ; jeunes) - Une précarisation de l’emploi

keynésiennes en prônant l'usage de la politique monétaire comme instrument d'une croissance économique stable. En effet, dans les années 1960 et 1970, l'évolution des économies a fait apparaître un chômage important, malgré la hausse des prix (stagflation), phénomène qui paraissait incompatible avec les explications keynésiennes. Un certain nombre d'économistes se sont alors rabattus sur la théorie quantitative de la monnaie, qui présente l'avantage de donner une explication simple à la hausse des

noires éclatèrent durant les années 1960. Début des travaux des Twin Towers (tours jumelles) en 1966 dans le but de revitaliser le Lower Manhattan (Initiative de David Rockfeller et Nelson Rockfeller – gouverneur de NY). Dans un contexte de stagflation aux États-Unis et de maintien en parallèle de dépenses sociales élevées à New York, les dépenses de la municipalité explosèrent, conduisant l'État fédéral à se désengager72. Par la suite, la désindustrialisation et le déclin démographique poussèrent

essayant si possible d'atteindre des objectifs de croissance, de plein emploi et d'équilibre du commerce extérieur. Les politiques monétaires de ces dernières décennies ont été mises en place dans les pays développés après la période de dite de "stagflation" du début des années 1980 qui associait une stagnation économique et une forte inflation. Dans l'Union européenne, depuis 1998, la politique monétaire est du ressort de la BCE (Banque centrale européenne) qui est une structure supranationale

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