Stagflation

son époque. c) Une conjoncture économique défavorable vers 1970 Une crise économique est survenue en France après la fin des Trente Glorieuses et après le choc pétrolier de 1973. Le pays était entré en période de récession, avec la stagflation, la croissance économique ralentissait et le taux de croissance devient nul par deux fois, en 1975 et 1982, à la suite des chocs pétroliers. Cette conjoncture économique a eu des répercutions sur l’entreprises Gruber, dans les années suivantes,

pétrole sont les trois quarts de l'energie) en 1975 chute de 10% de l'activité industrielle. L'inflation galopante. Dépréciation du franc, hausse brutale du pétrole et dérèglementation. Ralentissement de la croissance autour de 2.8%/an : Stagflation. Crise conjoncturelle ou structurelle ? La part des prestations sociales, syndicats et hausse contractuelle des salaires cause l'inflation. La montée du chômage et de la crise sociale. Chômage en hausse. 500.000 chomeurs (1974) à 2 millions

il n'y a pas d'effondrement des bourses, ni du commerce international. Les Etats cherchent à éviter la déflation. Dans le même temps, les politiques keynésiennes montrent leurs limites : la croissance est faible, l'inflation présente, c'est la stagflation. Les relances keynésiennes ne profitent qu'aux produits importés et la situation de déficit demeure, la croissance reste au point mort. Aussi est-il nécessaire de restructurer l'économie et de mener une autre politique économique. C'est l'échec

Tableau des différents paradigmes : Libéralisme : * 1968 : STAGFLATION = stagnation économique, montée du chômage et inflation. C’est le début de la fragilisation des idées de Keynes : ils ne savent pas expliquer la situation, qui est le résultat de 30 ans de Keynésianisme. * FRIEDMAN est le fondateur du monétarisme ($ as good as gold) * 1972 : NEC (Nouvelle École Classique) qui introduit la notion de cycle. Socialisme : * 1840 : PROUDHON, chef de file des anarchistes.

rigueur est mise en place pour ralentir l’inflation : « Stop & Go » Durant les années 70, cette pratique est maintenue, mais le contexte éco est diffèrent : la coexistence d’une croissance faible avec un niveau d’inflation élevé se nomme « stagflation » Quelques soit la politique menée, les résultats sont toujours décevants, par conséquent les hommes pol commencent à être sensible aux idées. Les gouvernements de la plupart des pays occidentaux se mettent à changer de la pol conjoncturelle à

(prix Nobel d’économie en 1976) à partir d’une critique libérale de l’interventionnisme keynésien. Les thèses de cette école ont trouvé un écho croissant dès lors que, dans un contexte de crise du système monétaire international (1971) et de stagflation (1974), les politiques keynésiennes se révélaient le plus souvent incapables de restaurer tout à la fois le plein emploi, la stabilité des prix et l’équilibre extérieur. Comme son nom l’indique, l’originalité de cette école tient en grande partie

les innovations.  B) manifestations de la dépression Tous les pays sont touchés. Cette situation est différente des caractéristiques des précédente dépressions car on a une stagnation économique et une inflation ce qui donne le terme de "stagflation". Une période de dépression ( économie déprimée mais quand même croissante, même si moins forte qu'avant.)  Le PIB continue d'augmenter Le chômage accentué structurel: (il fait partie du fonctionnement de l'économie) à cause des délocalisations

baisse du commerce international, forte crise dans la sidérurgie dès 1975 à cause d’une augmentation de l’Offre en provenance des N.P.I. Mais pour la première fois la crise combine le chômage et l’inflation (>10% en 1975): c’est la stagflation. La stagflation est le résultat à la fois de la baisse de l'activité économique et d'une hausse de l'inflation. Or auparavant on été persuadé que l'inflation ne pouvait se conjuguer qu'avec l'emballement économique (besoin d'augmenter la masse monétaire)

causerait des pertes de portefeuille à court terme sur les obligations. À ce titre, ce serait une mauvaise nouvelle. 3-Une stagflation gonflant les taux réduirait le déficit actuariel, ce qui serait une bonne nouvelle. Cependant, le piétinement économique et la montée des prix fragiliseraient de nombreuses sociétés pour une durée plus longue, si l’on se fie à la stagflation des années 1970 qui avait duré environ 80 mois. La mauvaise nouvelle proviendrait de la baisse continue des portefeuilles obligataires

jusqu'à 13,2 %, on appelle cette période les 30 piteuse de BAVAREZ. Une théorie économique est très révélatrice du moment, la courbe de Philips qui démontre que l'on ne peut ne pas lutter à la fois contre le chômage et l'inflation. Or à l'époque la stagflation existait. Ce concept, est une observation pragmatique. Quand le salaire augmente cela crée de l'inflation, alors que l'augmentation des salaires peut être mit en parallèle avec la baisse des taux de chômage. Modigliani, parle de NAIRU (non accelerating