Stalinisme

d'une fraction à la tête du parti et prend les rênes de l'institution partisane à la faveur d'une nouvelle crise de direction en 1930-1931. Des organisations communistes dissidentes, d'extrême gauche, se créent pour défendre un communisme opposé au stalinisme : le Cercle communiste démocratique, la Ligue communiste, L'Union communiste, entre autres. III - L’antifascisme, Le Front populaire et la guerre d’Espagne Après la prise du pouvoir par Hitler et les événements de 1934 en France, l’Internationale

comportements et menace les cultures nationales. Certains dénoncent une « américanisation rampante », sans toujours convaincre, comme le montre la fascination du monde communiste pour la société de consommation. III – Le modèle soviétique à l’apogée du stalinisme (1945 – 1953) 1) Un prestige incontestable en 1945 • Les épreuves de la guerre ont renforcé la cohésion de la société : le réflexe patriotique a réuni la nation autour de son chef, d’autant plus que le régime a accordé à la population

du peuple russe et de son dirigeant. I. Une description de la Russie et de Staline. Ce chapitre est l’occasion pour de Gaulle de reconnaître le redressement russe. Il souligne aussi l’atmosphère constamment oppressante. L’efficacité du Stalinisme repose sur la répression des libertés. 1. Description de la Russie. Dans ce chapitre alternent l’admiration et au contraire la critique. De Gaulle est admiratif devant l’élan du peuple qui se rattache au pays, et il rend hommage à Staline

redoublés pour la construction du moulin (c'est à dire la reconstruction d'après-guerre). Les cochons se réservent la totalité de l'orge produite par la ferme. Multiplication des défilés militaires à la gloire de Napoléon (Nationalisme exacerbé du stalinisme victorieux). Napoléon est élu président de la République : il était le seul candidat. Moïse, le corbeau, revient prêcher la foi en un paradis intitulé "La Montagne de Sucrecandi" (retours de la religion orthodoxe sur les décombres des espoirs socialistes)

une opposition de plus en plus nette de la société civile et des réformes souvent limitées, il faut attendre 1989 pour que ces pays retrouvent leur complète indépendance et se tournent à nouveau vers l’Europe occidentale. I/ L’installation du stalinisme en Europe de l’est 1/ La prise du pouvoir par les communistes Elle découle de : 2 une situation géopolitique particulière : la libération de ces pays par l’armée rouge et son maintien après la guerre ainsi que l’impossibilité pour

déstalinisation (= remise en cause des méthodes de Staline par les communistes eux-mêmes). Il propose une politique appelée coexistence pacifique. Les réalités de la coexistence pacifique : a) La révolte hongroise (1956) La dénonciation du stalinisme fait croire aux citoyens des démocraties populaires que l’heure est venue de se libérer du fardeau soviétique, des voix s’élèvent, même en URSS, pour plus de liberté, libération des innocents, En Hongrie, étudiants et intellectuels, veulent que

staliniens fidèles =Période des « Grandes Purges »/ « Grands Procès » truqués avec comme acte d’accusation : - Trotskysme -Cosmopolitisme (S’ouvrir à l’étranger) -Sionisme (Contre Israël) -Titisme (Tito = Marxiste traditionnel ≠léninisme/ stalinisme) C. Le schisme de la Yougoslavie Tito a une immense popularité : Aucune intervention de l’Armée Rouge et du PCUS pour libérer le pays 1945 : 96% des suffrages PB : Rapidement fort esprit d’indépendance avec une volonté d’aucune intervention

totalitarisme. * L’image du marxisme sera entachée par le communisme russe, dont le symbole reste le goulag. C) Echec de la tentative de rénovation de Gorbatchev * XX° congrès PCUS en 1956, Khrouchtchev avait voulu rompre avec le stalinisme (déstalinisation) et faire une coexistence pacifique avec le monde capitaliste. * Gorbatchev arrive au pouvoir en 1985, hérite d’un système complètement sclérosé. * Entreprend de réformer grâce à la perestroïka et la glasnost. * Ne

pacte germano-soviétique, puis il est étudié par les historiens et les théoriciens politiques. L’une des premières réflexions globales est celle d’Hannah Arendt dans Les origines du totalitarisme, en 1951. Elle met sur le même plan le nazisme et le stalinisme et s’emploie à théoriser ce qui distingue les régimes totalitaires des autres régimes autoritaires – dictatures, etc. De nombreux autres chercheurs ont travaillé sur ce concept, qui continue de faire débat. La genèse du totalitarisme fait également

politique ». Il est intéressant d’associer chacun de ces « flots » décrits par Soljenitsyne aux différentes étapes de constitution des régimes totalitaires, telles que les a énoncées Hannah Arendt. Le débat sur la continuité du léninisme et du stalinisme s’éclaire au fur et à mesure de ces étapes. La destruction des organisations politiques rivales est la première étape de ce processus. Soljenitsyne parle d’abord du flot des Cadets (le parti constitutionnel démocrate, celui si l’on veut de la