Stance

ravages du temps, dans Sonnets pour Helene, en l’avertissant dans ces vers « cueillez des aujourd’hui les roses de la vie », et du caractère fugace de la beauté, opposé à la poésie, instrument d’immortalité. Mais il fut immité par Corneille dans Stances a Marquise, par Beaudelaire dans Remords posthume, et enfin par Desnos, de facon moins pessimiste, dans « Non l’amour n’est pas mort ». En effet, tous ces poemes formulent une invitation à l’amour envers leurs muses, et recherchent à perpetrer leur

mouvement et s’oppose au traditionnellement Classicisme. Lorsque les textes délivrent un message politique voir religieux, on parle d’un baroque de persuasion ( Guillaume De Bartas « La première Semaine ou La Création Du Monde », Jean De Sponde « Stances à la mort »). Lorsque l’écriture est ludique on parle d’un baroque de déception ( M-A Girard de Saint Amand « Moise sauvé », Cyrano de Bergerac, Théophile de Viau). Le style utilise : * la richesse et l’abondance : procédés d’amplification(

amours (ou plutôt prête sa plume à des grands dont il chante, sous son nom, les amours): il compose ainsi «les Amours de Diane», puis «les Amours d’Hippolyte» (adressées à Marguerite de Valois, femme d’Henri de Navarre), ensembles de sonnets, de stances, de chansons qu’il réunit en 1573 dans un recueil intitulé Premières Oeuvres (dédié au duc d’Anjou) et auxquels il joint des Élégies, des Meslanges (en particulier des «Bergeries»), ainsi que des Imitations de l’Arioste qui étaient déjà parues dans

l'Espagne du Sud, était en outre occupée par les Arabes (Les “Maures”). Les personnages principaux sontChimène, Don Rodrigue, Don Diègue (père de Rodrigue), Don Gomez (père de Chimène), Don Sanché et le roi (Don Fernand). 2.4 Lecture/Analyse: Stance: Ensemble de strophes qui ont la même structure identique. Dilemme Cornélien: Choix quasiment impossible, souvent ce choix oppose une option amoureuse et l'honneur, la morale, la religion. 2.5 Quelques citations célèbres issues de la pièce pour

Mais d'Aubigné n’est pas l’auteur d’une seule œuvre. Le printemps est un recueil de sonnets, de stances et d’odes qui reprend la lyrique pétrarquiste sur les tons opposés de la rage du désespoir et d'une fantaisie plus légère. À la fin de sa vie, les Petites oeuvres meslees associent Méditations sur les Psaumes et poésies religieuses. L’essentiel de son œuvre est polémique. D'Aubigné, engagé dans les combats de son époque, cherche ainsi à discréditer les vanités de la cour royale et la religion

sanglant, ou phénomènes naturels de grande ampleur, qui en général se déroulent en coulisse ou sont rapportés par des récits. Enfin certaines conventions étaient à l’œuvre concernant la représentation scénique qui devait comprendre aparté, monologue, stance et récit

de soi. On observe une révolution de la parole autour de la trahison. L’expression de la douleur, le désir de vengeance et un registre proche de la tragédie. Le vers 1311 rappel le cid de corneille, au début de la scène 6 de l’Acte I, la première stance (=strophe) de Rodrigue. Enfin, la versification renforce l’aspect rhétorique de la tirade. Conclusion : Le langage des mots donne des informations sur les manières de jouer la scène (on a parlé de didascalies internes). On peu jouer un

monde, en nous faisant comprendre que tout est éphémère, que le changement est naturel. * Écrivains représentatifs : Théophile de Viau, Saint-Amant, Tristan L'Hermite, Madeleine de Scudéry. * Quelques œuvres : L'Illusion comique de Corneille, Stances et sonnets de la mort de Jean de Sponde. Classicisme : (1660-1715) Le classicisme apparaît en partie en réponse à l'exagération baroque, mais surtout en conséquence de la réglementation et de la codification de la culture initiée par le pouvoir

ciel bénisse le cours D’un sort aussi doux que le vôtre ! Martel, l’automne de vos jours Vaut mieux que le printemps d’une autre A Madame de Fontaine-Martel est un poème de Voltaire né en 1694 et mort en 1778 . Ce poème vient du recueil Epître, stances et odes. A une passante Place de la Concorde, Robert Doisneau. A une passante est un poème de Charles Baudelaire né en 1821 et mort en 1867. Ce poème vient du recueil Les Fleurs du Mal. Beauté des

laisses, en tirades d'inégale longueur, dont l'apparente improvisation renvoie à la technique orale des jongleurs, introduit dans cette architecture toutes les nuances de l'émotion. Nous n'avons pas affaire à un pur récit, mais à une narration mêlée de stances lyriques. Et, comme il convient au genre épique, dont le type d'énonciation est mixte, d'importants dialogues traduisent l'affrontement des personnages et des idées.    Le substrat rhétorique et philosophique est très solide. Dans le détail même