Stanley Donen

Devoir SemestrielLe cinéma indien et l’Occident Labiadh Maya Faculté des Sciences Historiques Licence 3 Semestre 1 Enseignant responsable: Séverine Antigone Marin Université de Strasbourg 2021-2022 1Sommaire Introduction 3 I. L’ambivalence : L’histoire du cinéma indien entre indépendance et dépendance 4 A. Les origines : du théâtre antique à l’arrivée du cinématographe 4 B. L’après-guerre ou l’éveil de l’industrie du cinéma indien 7 C. Du nouveau cinéma indien des années 50 à aujourd’hui 9 II. L’affirmation

ses © Groupe Eyrolles 33 ÉCRIRE UN SCÉNARIO POUR LE CINÉMA goûts musicaux. Dans Annie Hall, plusieurs scènes se déroulent dans un cabaret où Diane Keaton chante devant un public assez indifférent. De même, dans Orange Mécanique de Stanley Kubrick, des voyous massacrent un clochard en sifflotant Singin’ in the Rain. Un des exemples marquant d’utilisation de musique diégétique est la fameuse scène de l’attaque du village vietnamien dans Apocalypse Now de Francis Ford Coppola. Un sergent

découvrir au fil des semaines : Rome ville ouverte de Roberto Rossellini, Les 400 Coups de François Truffaut, Citizen Kane d’Orson Welles, Zéro de conduite de Jean Vigo, Où est la maison de mon ami ? d’Abbas Kiarostami, Chantons sous la pluie de Stanley Donen et Gene Kelly, Le Cuirassé Potemkine de Serguei Eisenstein (etc.) Jean-Michel FRODON, journaliste, critique, écrivain Né à Paris en 1953. Enseignant, journaliste et critique de cinéma au quotidien Le Monde. Ancien directeur des Cahiers du cinéma

les films musicaux, quelque peu délaissés pendant les années 1940, amorcent leur grand retour, et, grâce à la création d'une sorte d'atelier indépendant, imaginé par Arthur Freed, plusieurs artistes se mettent à l'œuvre. Ainsi, Gene Kelly et Stanley Donen réalisent Un jour à New-York, dont le décor est une armada de marins qui exécute une chorégraphie en chantant. Dans Tous en scène, de Vincente Minnelli, c'est Fred Astaire et Cyd Charisse qui interprètent une danse lorsque les allées d'un parc

commandements de Cecil B de Mille en 1956 placent la barre encore plus haut. Les comédies musicales mettent en scène l'optimisme foncier d'une société où tout finit par un happy end dans un univers conventionnel repeint en technicolor; Donen, avec génie, dans Un jour à New York tourne un scénario très classique: un trio de marins US en permission dans The big Apple va rencontrer la femme de sa vie; le premier, une apprentie danseuse, a priori de moeurs faciles, mais qui

tension dramatique. L'écart entre l'image et le son peut aussi donner lieu à une véritable rupture, ils entrent alors dans des rapports d'opposition. L'effet comique est presque incontournable. Il est très efficace dans « Singin' in the rain » (Stanley Donen, Gene Kelly, 1952) : une superbe actrice du muet trahit, lorsque s'impose le parlant, une voix de crécelle insupportable... L'essentiel L'apparition du parlant n'a pas fait disparaître les spécificités de l'art cinématographique, mais elle en a

qui s’approchent de plus en plus des ordinateurs de bureau fera en sorte que le trafic issu des appareils mobiles surpassera celui issu des ordinateurs classiques. Le cabinet de recherche ComScore, en se basant sur des données fournies par Morgan Stanley, estime que les utilisateurs des appareils mobiles au niveau mondial dépasseront les utilisateurs des ordinateurs de bureau en 2014. Une note de recherche du cabinet Bernstein affirme pour sa part que les requêtes venant des Smartphones dépasseront

d’Audrey Hepburn, à l’instar de celle de Greta Garbo, d’Ava Gardner ou de Marlene Dietrich a laissé une empreinte inaltérable dans l’iconographie du XXème siècle. Les beaux rôles qu’elle a interprétés dans les brillantes comédies de Billy Wilder, Stanley Donen, Blake Edwards ou George Cukor ont forgé pour partie la légende. Mais son élégance naturelle et sa générosité ont aussi laissé une trace indélébile dans la psyché du public. Son influence sur la mode des années 60 jusqu’à nos jours est encore vivace

hongkongais et à Johnny To, mais aussi à Olivier Assayas, Leos Carax et le regretté Raoul Ruiz. Incontournables aussi, le ciné-karaoké géant, la Brocante, et les nombreuses avant-premières réparties un peu partout dans la ville… Drôle de frimousse de Stanley Donen au Forum des Images. La ville lumière n’a jamais cessé d’inspirer les cinéastes d’Hollywood. Jusqu’au 29 juillet, le Forum des Images présente un panorama des plus beaux hommages cinématographiques rendus à Paris, de Lubistch à Woody Allen, en

Muslims). Piece by piece, an image is being assembled of modern India as a historical nightmare that continues to haunt Jasmine in her new homeland. Chapter 7 depicts her childhood, including her first introduction to American culture, the 1954 Stanley Donen musical Seven Brides for Seven Brothers, misremembered by her under the much more Indian-sounding title Seven Village Girls Find Seven Boys to Marry. This exactly inverts the plot of the original, in which the seven Pontipee brothers, desperate