Stendhal Le Rouge Et Le Noir L Ennui

conduit au Panthéon, la jeune Troisième République profitant de cet évènement[59] pour retransformer l'église Sainte-Geneviève en Panthéon. Avant son transfert, son cercueil est exposé une nuit sous l'Arc de triomphe voilé obliquement par un crêpe noir ; des cuirassiers à cheval veillent toute la nuit le catafalque surmonté des initiales VH, selon l'ordonnancement de Charles Garnier[60]. On considère que plus d'un million de personnes et 2 000 délégations se sont déplacées pour lui rendre un dernier

| | | |discours comme en (2) | RAIMOND imagine lui quatre types de « points de vue »: 1)Façon « Stendhal », point de vue relativiste qui prend en compte le point d'origine de la vision envisageant la réalité donnée. 2)Façon « Flaubert », ou champ réduit, pour laquelle l'attention se porte sur des parties précises du corps, inserts, focales minimales

2e Bac Pro © Belin 2009 1. Les principales caractéristiques physiques du comte Dracula, exprimés à l’aide de nombreux adjectifs, sont : – une allure et des traits majestueux : « un grand vieillard », « une longue moustache blanche », « vêtu de noir, des pieds à la tête », « ainsi qu’une statue au geste d’invite éternellement figé dans la pierre », « son nez fin mais aquilin », « un front haut et bombé » ; – une température, une absence de couleur et une odeur inhabituelles, dignes d’un mort :

le lecteur. L’ironie peut se manifester par une évidence qui fait ressortir l’impropriété de la déclaration. Ex. : « On ne peut se mettre dans l’esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. » (Montesquieu, L’Esprit des lois.) L’ironie peut également naître de la juxtaposition des deux sens (implicite et explicite), comme dans cette célèbre description de la guerre par Voltaire dans Candide : « Rien n’était si beau, si leste, si brillant

songes – il peint ou il peigne – il remet – je lis – je peux – tu rejoins – il essuie. 4- Correction des exercices : a) Je dis – vous anéantissez – il fait – nous peignons – vous faites – ils croient – tu espères – vous feignez – vous peignez – elle ennuie – je supplie – tu résous – elles prévoient – vous gelez – il halète – tu balayes ou tu balaies – nous prenons – vous vendez – je fonce – tu déranges – nous aménageons – nous commençons. b) Vous sentez – ils franchissent – nous savons – elles dédient

dingue. b. C’est merveilleux, formidable, superbe, je suis ravi. c. C’est saisissant, prodigieux, je suis aux anges, cela me comble. La tristesse a. J’ai le bourdon, le cafard ; je déprime. b. Je suis triste ; j’ai de la peine, du chagrin, des idées noires. c. Je suis peiné, attristé, chagriné, affligé. La peur a. J’ai les jetons, la trouille, la pétoche. b. J’ai peur ; je suis inquiet, angoissé, affolé. c. Je suis effrayé, alarmé ; j’éprouve une grande crainte, de la frayeur ; j’appréhende ; je redoute

dingue. b. C’est merveilleux, formidable, superbe, je suis ravi. c. C’est saisissant, prodigieux, je suis aux anges, cela me comble. La tristesse a. J’ai le bourdon, le cafard ; je déprime. b. Je suis triste ; j’ai de la peine, du chagrin, des idées noires. c. Je suis peiné, attristé, chagriné, affligé. La peur a. J’ai les jetons, la trouille, la pétoche. b. J’ai peur ; je suis inquiet, angoissé, affolé. c. Je suis effrayé, alarmé ; j’éprouve une grande crainte, de la frayeur ; j’appréhende ; je redoute

établissement. — L’hôtel est à vous? demanda Jean Monnier. — Non, Monsieur, l’hôtel appartient à une Société Anonyme, mais c’est moi qui en ai eu l’idée et qui en suis directeur à vie. — Et comment n’avez-vous pas les plus graves ennuis avec les autorités locales? — Des ennuis? dit Mr. Boerstecher, surpris et choqué. Mais nous ne faisons rien, Monsieur, qui soit contraire à nos devoirs d’hôteliers. Nous donnons à nos clients ce qu’ils désirent, tout ce qu’ils désirent, rien de plus… D’ailleurs, Monsieur

négativement : « une ville ordinaire et rien de plus qu’une préfecture française de la côte algérienne » (l. 4-5), « laide », « tranquille » (l. 6). Le quotidien des habitants est frappé d’une dimension conventionnelle, que soulignent les mentions « on s’y ennuie » (l. 24), « la 4 vie n’est pas très passionnante » (l. 75-76), et les trois occurrences du substantif « habitudes » (l. 24, l. 73, l. 74). C’est ainsi « l’aspect banal de la ville et de la vie » (l. 72) que le narrateur cherche à mettre en

Expériences de l'extase, Payot, 1984, p. 134, qui cite le Poimandrès d'Hermès Trismégiste -et sur la possible, mais douteuse lecture par Baudelaire de ce traité de l'époque alexandrine, voir P., p. 831 et 832). 141. Texte de 1857: "Derrière les ennuis et les sombres chagrins". 142. Cf. Lucrèce, De Rerum natura, 1. II, v. 8 (R. Vivier, 1926, p. 155, n. 1). 143. Possible allusion aux nombreux ouvrages sur le langage symbolique des fleurs (Leakey, 1969, p. 195, n. 1); cf. une lettre à Poulet-Malassis