Stendhal Le Rouge Et Le Noir L Ennui

élégante, maîtrisant les codes du dandysme que Musset avait décryptés : habit marron, landau, Tortoni, lorgnon, cravate haute et expressions anglaises. Beau Brummel est évoqué. Cette séduction est vernie de ce commun cynisme dissimulant timidité et ennui : «Ne vous étonnez donc aucunement, bon père Que le plus bel oiseau que nous ayons sur terre, La femme, chante faux.» Il est de surcroît cultivé et, mélancolique, fréquente les prophètes littéraires de l'ennui : Dante, Byron, le Hamlet de Shakespeare

Images stéréotypées des Chinois en France ..............................................14 1-2. Départ de la Petite Tailleuse chinoise............................................................19 1-2-1. Écriture fondée sur l’amertume de la Chine rouge ...................................19 1-2-2. Définition de "la littérature franco-chinoise" ............................................23 1-2-3. Tous les chemins mènent à la Chine .........................................................25 1-3. Balzac

Décembre 2000 Armance STENDHAL AVANT-PROPOS Une femme d'esprit, qui n'a pas des idées bien arrêtées sur les mérites littéraires, m'a prisé, moi indigne, de corriger le style de ce roman. Je suis loin d'adopter certains sentiments politiques qui semblent mêlés à la narration; voilà ce que j'avais besoin de dire au lecteur. L'aimable auteur et moi nous pensons d'une manière opposée sur bien des choses, mais nous avons également en horreur ce qu'on appelle des applications. On fait à Londres

élégante, maîtrisant les codes du dandysme que Musset avait décryptés : habit marron, landau, Tortoni, lorgnon, cravate haute et expressions anglaises. Beau Brummel est évoqué. Cette séduction est vernie de ce commun cynisme dissimulant timidité et ennui : «Ne vous étonnez donc aucunement, bon père Que le plus bel oiseau que nous ayons sur terre, La femme, chante faux.» Il est de surcroît cultivé et, mélancolique, fréquente les

Le passage du Pont-Neuf est caractérisé par la saleté et l’obscurité. Montrez-le en vous appuyant sur le lexique et sur les différentes expressions employées. Le champ lexical de l’obscurité est très développé dans cet extrait : « sombre » (l. 3), « noir » (l. 6), « nuit » (l. 10 et 11), « obscures » (l. 12), « ombre » (l. 15), « ténèbres » (l. 18) et « noire » (l. 27). Cette obscurité a ici une valeur très négative puisqu’elle est en permanence associée à la « crasse » (l. 6) : l’expression « nuit

Mais, ne croyant à rien, il ne croit pas plus à tout ce qu’il a exprimé. Le recueil compte aussi de fines variations sentimentales sur des êtres légendaires et des personnifications de la nature. Parmi celles-ci, on peut citer ‘’Le roman du chaperon rouge’’ et ‘’Les rossignols du cimetière’’, à cause de leurs dialogues subtils et empreints de mystère. Commentaire Ces poèmes élégants et sentimentaux, consacrés aux galanteries et aux mignardises de l’amour, aux images naïves et généreuses valurent

sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse. Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et traîne misérablement dans le passage. Par les vilains jours d’hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent

sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse. Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et traîne misérablement dans le passage. Par les vilains jours d’hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent que

sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse. Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et traîne misérablement dans le passage. Par les vilains jours d’hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent que

personnages réels, description des aspects de la vie généralement masqués par la littérature, travail de documentation, narrateur omniscient. Flaubert : Madame Bovary et L’Education sentimentale ; Balzac : Le Père Goriot et Illusions perdues ; Stendhal : Le Rouge et le Noir et la Chartreuse de Parme. II. Mouvement littéraire et culturel qui succède au réalisme. Veut appliquer la méthode de l’expérimentation scientifique à la littérature, en étudiant l’influence du milieu et de l’hérédité sur ses personnages