Stéphane Mallarmé

Beaudelaire (1842) Au seul souci de voyager … de Stéphane Mallarmé (1842-1898) En bateau de Paul Verlaine (1869) La prose du transsibérien de Blaise Cendrars (1913) Ondes- Voyage d’Apolinnaire (1918) Paquebot in Débarcadères de Jules Supervielle (1922) Moravagine de Blaise Cendrars (1926) Orientales de Francis Etienne Sicard (1995) Au seul souci de voyager… est un poème écrit de 1842 à 1898 par Stéphane Mallarmé. Ce poète est un artiste du 19eme siècle. Il est né

grâce à l'école romane qui regroupe également les partisans du décadentisme et ainsi, ces idées ont réussi à prendre un essor d'autant plus grâce à la presse ( l'enquête littéraire de 1881 par Jules Hurret qui interview 64 écrivains/poètes dont Stéphane Mallarmé ). Le symbolisme est avant tout une réforme de la poésie par son idéalisme. Le symbolisme possède une grande richesse grâce aux influences ( anglaises, russes et allemandes notamment ) et s'est propagée dans le monde entier. Le symbolisme

œuvres les plus importantes de la poésie moderne, empreinte d’une nouvelle esthétique où la beauté et le sublime surgissent, grâce au langage poétique, de la réalité la plus triviale. L'œuvre exerça une influence considérable sur Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé ou encore Arthur Rimbaud. Tu mettrais l'univers entier dans ta ruelle Tu mettrais l'univers entier dans ta ruelle, Femme impure! L'ennui rend ton âme cruelle. Pour exercer tes dents à ce jeu singulier, Il te faut chaque jour un coeur au

Fleurs du Mal, Révolte, Le Vin, La Mort). Elle empreinte d’une nouvelle esthétique où la beauté et le sublime surgissent, grâce au langage poétique, de la réalité la plus triviale. L'œuvre exerça une influence considérable sur Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé ou encore Arthur Rimbaud. L'édition de 1861 des Fleurs du mal est la seconde et la dernière édition publiée du vivant de l'auteur. Analyse : Ce poème La destruction qui est écrit par Charles Baudelaire parle d'une personne apparament incité

traditionnel alexandrin Le maître incontesté du symbolisme reste Mallarmé. Reprenant la théorie des correspondances développée par Baudelaire et rejetant le réalisme qui triomphe dans le roman, Mallarmé veut suggérer le monde et non le décrire, il veut saisir l'essence des choses, peindre « non la chose mais l'effet qu'elle produit ». Pour cela, la langue poétique doit être radicalement différente du langage parlé quotidiennement. Mallarmé pratique donc une poésie épurée, particulièrement exigeante,

nouvelle et raffinée, donnant accès « à l'Idée » par le symbole et la suggestion ; dans ce texte d'une portée théorique limitée, Moréas, comme bien d'autres poètes de sa génération, se montrait disciple des conceptions poétiques exigentes de Stéphane Mallarmé, alors considéré comme un maître par toute une génération de jeunes poètes. En 1886, le texte de Moréas présentait ainsi l'intérêt de cristalliser des préoccupations communes, tout comme le Symboliste, revue éphémère qu'il fonde la même année

qu'il entend préciser et règlementer, tout en y apposant une appellation plus pertinente. Le Traité du Verbe de René Ghil constitue le deuxième texte fondateur. Charles Baudelaire est qualifié par Moréas de « véritable précurseur » du mouvement. Stéphane Mallarmé, avec les mardis de son salon littéraire, fera figure de chef d'école du symbolisme. L'école symboliste est également identifiée au « vers-librisme », nouveau mode d'expression poétique (en vers libres) fondé par Gustave Khan. Renié par ses

puis, en 1866, collabore au premier Parnasse contemporain (voir Parnasse) et publie les Poèmes saturniens. On y sent l'influence de Charles Baudelaire, cependant que s'y annonce déjà l'« effort vers l'Expression, vers la Sensation rendue » (Lettre à Mallarmé du 22 novembre 1866) qui caractérise sa meilleure poésie. En 1869, les Fêtes galantes, des fantaisies évoquant le dix-huitième siècle de Watteau, confirment cette orientation. En 1870, il épouse Mathilde Mauté, pour qui il vient de publier La Bonne

littéraires ou comment passer de la gloire à la déchéance. Brise Marine Les thèmes général de ce poème est le voyage, et le manque d’inspiration. Stéphane Mallarmé parle là du voyage comme une aide pour vaincre la page blanche. En effet c’est bien connu voyager permet de vivre des aventures qui vont inspirer l’auteur et le sortir du manque de créativité. Mallarmé clame son désir de partir car il s’ennui et manque de joie où il est. Il rêve d’un voyage riche qui va lui donner de l’inspiration.

Résumé - Les Fleurs du Mal Les Fleurs du mal est un recueil de poèmes publié par Charles Baudelaire en 1857. Il constitue une des oeuvres les plus importantes de la poésie moderne et exerça une influence énorme sur Arthur Rimbaud et sur Stéphane Mallarmé. Le recueil aurait dû s'appeler Les Limbes ou encore Les Lesbiennes ; Baudelaire, sur le conseil d'un ami, y renonce. Le titre définitif repose sur le paradoxe que Charles Baudelaire a tenu à entretenir durant toute sa vie littéraire. En effet