Stigmatisation Personnes âgées

FEVRIER 2005 1 ! " # Monsieur Oumar DIOP, Président de l’Association Handicap FormEduC et Coordinateur du Centre de Ressources pour la Promotion des Personnes Handicapées Tél. (221) 867 17 05 / 695 19 19 Email : oumardiophfe@yahoo.fr / oumardiophfe@sentoo.sn Monsieur Amadou CISSE, Chargé de programmes à l’ONG Forut Sénégal Tél. (221) 821 07 71 / 687 42 35 Email : amadou@forut-senegal.org Monsieur Djibril SOW, Chargé de programmes au Bureau de l’IAR de Dakar Tél. (221) 822 25 28 / Email

Pourquoi la reconnaissance est-elle importante pour qu’un individu se sente lié aux autres ?En l’absence d’une reconnaissance effective de la part des autres membres d’un groupe, l’individu aura le sentiment de ne pas « compter pour » les autres personnes. L’individu ne se sentira évidemment pas lié à ceux qui ne se préoccupent pas de son sort, de sa vie personnelle, de sa trajectoire professionnelle.4. Quel est le lien entre les formes de protection et de reconnaissance et le lien social d’autre

suivantes, qui se veulent les plus proches possible de la réalité. Estimation du marché de la consommation -Par pays et par types de drogues Cannabis : La popularité croissante du cannabis, qui a été consommé par plus de 166 millions de personnes en 2004, soit 10 millions de plus que l'année précédente, selon ce rapport 2005 du Bureau des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC) est la drogue la plus consommée dans le monde. La consommation du cannabis s’est nettement étendue au

s'y sont prêtés : Ariès > vie privée, Koffman > vie quotidienne, Schwartz > monde privé, les démographes parlent d'unités de vie quotidienne. On ne peut pas limité la famille aux parents et aux enfants, il y a aussi les oncles, tantes etc. et une personne vivant seule est inclus en sociologie. Les relations familiales sont des échanges non direct (mail, courrier...), ce sont des contacts non visuel. I. Famille sociale et famille biologique La famille est pensée comme étant quasiment naturelle et biologique

économique et social Plan régional de développement intégré Programme de Renforcement de la Nutrition Programme des services agricoles et organisations des producteurs Partenaire technique et financier Personnes vulnérables porteuses du VIH Retour vers l’agriculture Réseau national des Personnes vivant avec le VIH Sénégalais de l’eau Stratégie nationale de développement économique et sociale Stratégie Nationale de Protection Sociale Système des Nations Unis Santé de la reproduction Schéma

prise en compte du dossier. Fait à Paris, le 28/07/2008 Signature : Clara TICHET REMERCIEMENTS J’adresse mes remerciements : Aux personnes qui m’ont aidée dans l’élaboration de ce travail : - M. Philippe CHEREL, Directeur de l’Agence MS&L - Mme Muriel DOUCET, Directrice du pôle Health Esteem de l’Agence MS&L Au Docteur Jean TICHET, Médecin Directeur de l’Institut inter Régional

proximité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 . . . . . . . . . . . 36 Familles, enfance : accompagner les jeunes parents et les jeunes majeurs en difficulté Inclusion bancaire et lutte contre le surendettement : accompagner les personnes et les familles en situation de fragilité financière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37 03 Coordonner l’action sociale et valoriser ses acteurs Renforcer l’interministérialité des politiques de solidarité . . . . . . . . . .

considérable dans ces sociétés. Sa nécessité se sent à trois niveaux: -d’abord, la valeur première de la femme. La femme se valorise ainsi grâce à sa capacité de procréer ; -ensuite, une nécessité économique, car dans ces sociétés, la richesse d’une personne se mesure par rapport à sa progéniture ; donc plus on a des enfants, plus on a de bras pour cultiver et pour s’occuper du bétail ; -enfin, une nécessité ontologique, car l’homme n’a pas seulement besoin d’assistance à sa vieillesse uniquement, mais

La loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées définit pour la première fois le terme de handicap comme « toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d'une altération substantielle, durable ou définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d'un polyhandicap ou d'un trouble

serait un peu vite dégager les différents acteurs (responsables politiques, personnel, travailleurs sociaux, population) de la responsabilité politique qui leur incombe de tout mettre en œuvre "pour que cela marche". Dans un contexte de stigmatisation sociale et de responsabilisation individuelle forcenée, à l'heure ou d'aucuns remettent en cause la légitimité d'une telle institution, il semble bon de se demander si, bien plus que d'imaginer que cette loi est dépassée ou désuète, il ne faut