Structure Divisionnaire

ultérieurs repose cependant sur le maintien du pouvoir d'achat de la monnaie (absence d'inflation). 2) Les formes de la monnaie La monnaie se présente aujourd'hui sous trois formes principales: → La monnaie métallique: pièces ou monnaie divisionnaire, elles sont frappées par le Trésor Public. Cette forme représente 1% des moyens de paiement. → La monnaie fiduciaire: du latin « fiducia » confiance, ce sont les billets. C'est la monnaie de papier. Elle tire sa valeur de la confiance que l'on

formes de monnaie et les moyens de paiement aujourd’hui ? A. Les différentes formes de monnaie aujourd’hui Aujourd’hui, la monnaie est essentiellement scripturale. Sinon, elle prend la forme de billets (ou monnaie papier) et de pièces (monnaie divisionnaire). La monnaie scripturale est donc constituée de la somme des avoirs inscrits sur les comptes de dépôts à vue assortis de moyens de paiement. Elle peut être convertie en billets par simple retrait au guichet de la banque qui tient le compte, ou

la monnaie pesée (en Egypte, Babylone), puis la monnaie comptée (800 avant J-C, on allie le poids et la pureté). Ensuite la monnaie frappée (Antiquité, Moyen-Âge, elles sont frappées à l’effigie du pouvoir, il y a un sceau) et enfin la monnaie divisionnaire (Toujours actuelle, il n’y a plus de valeur correspondante, la valeur de la monnaie est inscrit sur celle-ci). La monnaie papier Les tous premiers billets sont des reçus (à partir du 17ème siècle, notamment en Italie à Venise). C’était des

échanges entraînée par la forte industrialisation, le recours à de nouvelles formes de monnaie fut nécessaire (pièces métalliques, billets). B. La monnaie fiduciaire. Elle comprend les pièces fabriquées par le trésor public ou monnaie divisionnaire et les billets de banque émis par la banque de France. Ces deux types de monnaie fiduciaire représentent aujourd’hui environ 10% de la monnaie en circulation en France. La monnaie fiduciaire a un pouvoir libératoire illimité : elle donne la possibilité

par les agents économiques non financiers : les instruments de paiement et les instruments de réserve. 1- Les instruments de paiement Ces instruments sont également qualifiés de disponibilités monétaires. Ils sont constitués de la monnaie divisionnaire, de la monnaie fiduciaire et de la monnaie scripturale. 2- Les instruments de réserve Ces instruments sont également qualifiés de disponibilités quasi-monétaires. En effet, les agents économiques qui détiennent de la monnaie peuvent préférer

offrent l’avantage d’être divisibles, inaltérables et malléables. Troisièmement, la monnaie fiduciaire se présente sous forme de pièces (monnaie divisionnaire) et de billets de banque. Le terme fiduciaire signifie que la valeur de ces moyens de paiement est basée sur la confiance des agents envers l’autorité qui les émet. Concernant la monnaie divisionnaire, les pièces sont émises par le Trésor, avec un pouvoir libératoire limité. Les billets de banque sont fabriqués et mis en circulation par la

commerciales et du Trésor dans sa comptabilité. Le Trésor public Le rôle du Trésor public dans la création monétaire est moins important sans être pour autant négligeable : d'une part, le Trésor public a le privilège de la frappe de la monnaie divisionnaire ; d'autre part, il participe directement à la création monétaire par le biais des comptes courants postaux (le mécanisme est le même que celui des dépôts bancaires). 2. LES LIMITES DE LA CRÉATION MONÉTAIRE Les banques ne peuvent créer

sens courant du terme. Lorsque l'on parle de monnaie dans le langage de tout les jours, on parle en réalité de la monnaie divisionnaire. Or la monnaie divisionnaire n'est qu'un moyen de paiement parmis d'autres. Pour les économistes, la monnaie représente tout ce qui est accepté en moyen de paiement dans l'économie. Depuis quelques années, la place de la monnaie divisionnaire dans les moyens a diminué. Peut-on pour autant parler d'une dématérialisation croissante de la monnaie dans l'économie?

DOC 1 : La première fut la monnaie marchandise, elle équivalait à peu près à la valeur de la matière qu'elle contenait. Nous avons comme exemples les coquillages, les perles, les fourrures, le bétail, le métal… Ensuite, il y a eu la monnaie divisionnaire, plus communément appelée monnaie métallique. C’était les pièces métalliques dont la valeur « faciale » est souvent supérieure à la valeur du métal qui les compose. Cette monnaie permet la conservation, c’est le début de l’épargne. Puis, ce fut

métallique : rapidement la monnaie métallique (or et argent) s’est imposée par ces qualités physiques, elle est composée de pièces dont la valeur nominale correspond à la valeur du métal. Les formes actuelles de la monnaie sont : - La monnaie divisionnaire qui est composée de pièces de faible valeur nominale. - La monnaie fiduciaire : comprend l’ensemble des billets et des pièces y compris la monnaie électronique, elle correspond aux billets émis par les banques centrales, dès 2002, les billets