Structure Du Horla

pâle, Victor Hugo Le rouge et le noir, Stendhal  Julien Sorel Les misérables, Victor Hugo  Jean Valjean Eugénie Grandet, Balzac Vous les entendez ?, Nathalie Sarraute Stupeurs et tremblements, Amélie Nothomb Bel Ami, Maupassant  George Duroy Le Horla, Maupassant Tous les matins du monde, Pascal Quignard Les diaboliques, Barbey d’Aurevilly La confession d’un enfant du siècle, Alfred de Musset Si par une nuit d’hiver un voyageur, Italo Calvino « On ne fait pas de bonne littérature avec de bons

appartement situé au deuxième étage d’un immeuble. La demeure des Roland est sur deux étages et l’appartement que convoitent les deux frères et que possèdera Jean donne sur deux rues et a deux salons. Une omniprésence, une répétition, au service de la structure du roman. Cette notion de double atteint son paroxysme lors de la description du salon de Mme Rosémilly. Cette scène est un exemple de mise en abyme qui mérite un intérêt particulier. Rappelons que la mise en abyme est une scène qui raconte de manière

auteurs inscrivent-ils leur récit dans le registre fantastique? Vous répondrez à cette question dans un développement structuré et illustré par des exemples précis et commentés. 2. Travail d'écriture: choix entre deux sujets: a) Ajouter une journée dans Le Horla (version finale de 1887) en respectant l'énonciation, le style et en ajoutant un objet révélant la présence du Horla. Tout anachronisme sera évité. Cette journée doit s'intégrer logiquement dans la nouvelle. (longueur: 2 à 3 pages) b)

DM Lecture Cursive - Le Horla (première version) - Guy de Maupassant I) Structure et cadre du récit : 1) La première partie du texte est prise en charge par un narrateur inconnu, extérieur à l’histoire. Cette partie se situe de la ligne 1 ( «  Le docteur Marrande… ») à la ligne 15 (« il dit : »). Puis, la deuxième partie du texte, à partir de la ligne 15, jusqu’à la ligne 355 (« Je n’ai plus rien à ajouter, messieurs. »), le narrateur cède la place au patient du docteur Marrande. Enfin

on compte notamment Boule de Suif (1880), Une vie (1883) ou encore Le Horla (1887). Atteint de troubles nerveux, il meurt en 1893. Principaux ouvrages : Boule de suif (1880), Mademoiselle Fifi (1881), La maison Tellier (recueil, 1881), Une vie (roman, 1883), Contes de la Bécasse (recueil, 1883), Toine (1885), Contes du jour et de la nuit (recueil, 1885), Bel-Ami (roman, 1885), La Petite Roque (1886), Le Horla (1887), Pierre et Jean (roman, 1888), Notre Cœur (roman, 1890). Contexte

Commentaire organisé Maupassant, incipit du Horla Cet extrait de l’incipit du Horla se situe au tout début du Horla de Maupassant (l’incipit vient d’une formule latine « l’incipit liber » qui signifie : le livre commence) Il existe deux versions de cette nouvelle, la première datant de 1885 et la seconde de 1887. C’est une nouvelle fantastique de Guy De Maupassant, présentée sous la forme d’un journal intime : les dates ici 8 mai et 12 mai ancrent le récit dans le réel et la première

appartement situé au deuxième étage d’un immeuble. La demeure des Roland est sur deux étages et l’appartement que convoitent les deux frères et que possèdera Jean donne sur deux rues et a deux salons. Une omniprésence, une répétition, au service de la structure du roman. Cette notion de double atteint son paroxysme lors de la description du salon de Mme Rosémilly. Cette scène est un exemple de mise en abyme qui mérite un intérêt particulier. Rappelons que la mise en abyme est une scène qui raconte de

Maupassant, qui aime changer tout le temps d’endroit, fait voyager ses personnages jusqu’à obliger le lecteur à penser à la dromomanie. Les deux auteurs usent de l’onomastique pour souligner l’effet que produira le climat fantastique : dans Le Horla, par exemple, la cousine du héros s’appelle Mme Sablé, nom qui éveille en nous le souvenir du sable, c’est-à-dire de la mer, de l’eau douce, mais aussi celui du désert dans La Peur. Le ton de Maupassant joue sur toute la gamme en passant de l’inquiétude

traditionnelles (comme l’amour) ; sa philosophie est une méditation sur la mort. Lecture 119 Cned – Académie en ligne (1884), Yvette (1884), Monsieur Parent (1885), Contes du jour et de la nuit (1885), Toine (1886), La Petite Roque (1886), Le Horla (1886-1887), Le Rosier de Mme Husson (1888), La Main gauche (1889), L’Inutile Beauté (1890)… ; – six romans : Une Vie (1883), Bel-Ami (1885), Mont Oriol (1887), Pierre et Jean (1888), Fort comme la Mort (1889), Notre Cœur (1890) ; – des récits de voyage

« conte » (Zola, Contes à Ninon ; Flaubert, Trois Contes), les écrivains choisissent une double direction qui caractérise le genre : la veine fantastique et la veine réaliste. Le Chef-d’œuvre inconnu (1831) de Balzac, La Vénus d’Ille (1837) de Mérimée, Le Horla (1887) de Maupassant témoignent de l’engouement pour la nouvelle fantastique au XIXe siècle. • La nouvelle, genre bref, bénéficie d’une large diffusion grâce à la presse qui publie de nombreux récits courts. C’est ainsi que Musset (Nouvelles,