Stuc

travaux sur la route de Champonger, dans l'emprise antique du sanctuaire (au niveau de la Porte du Grand Villard). 13. Eléments architecturaux. (Collection Rochechouart, N° inventaire D-126 et D-127) Eléments architecturaux en calcaire tendre ou en stuc à décor végétal (feuilles et grappes de raisin). Datation : Époque gallo-romaine. Provenance : Chassenon, villa de Bacchus. 14. Stucs. (Collection Rochechouart, N° inventaire D-154) Fragments de stucs décorés, certains sont peints. Datation : Époque

imaginaire. Le décor mural joue également un rôle important dans la maison romaine, comme le jardin, il complète l'architecture, ouvre les pièce sur un monde différent ou les referme visuellement. Il est principalement peint, bien que parfois réalisé en stuc. La particularité de ce décor est que les parois peintes des pièces forment un tout, qui contrairement au peinture sur bois doivent être considéré dans leurs ensemble. La peinture Pompéienne se divise en quatre périodes correspondante a quatre phases;

la dernière période de la Contre-Réforme. Dans une église comme Sant'Andrea al Quirinale, le Bernin fait un emploi systématique de la ligne courbe et ajoute à la lumière la couleur des matériaux, le contraste des marbres polychromes, du bronze, du stuc. La féerie se précise, toujours dans une note grandiose, et cette féerie est parfaitement organisée, savamment orchestrée. Tous les arts interviennent, non pas chacun à sa place et selon ses propres lois, mais intégrés dans une synthèse où tous se

falaises d’Ajanta abritent en effet un monumental site bouddhique de vingt-huit monastères et sanctuaires, la plupart excavés aux ve-vie siècles par les Vakataka (dynastie locale apparentée aux Gupta). Leur décor riche et raffiné de peintures murales sur stuc illustre avec magnificence des épisodes des vies antérieures du Bouddha (jataka). A la suite de la chute des Gupta (milieu du vie siècle) se crée une multitude de petits États et principautés aux frontières mouvantes, dont les rivalités entraînent

pour fermer le spectacle, un énorme orage éclata sur la Thaïlande. Le lendemain, une des personnes de la pagode fut venue voir si le bouddha n’avait rien, il aperçut après l’avoir lavé de toutes traces de boues lié aux intempéries, une fissure dans le stuc, qui laissa place à un métal brillant. Après quelques recherches, ils se sont aperçus que la statue était enfaite en or massif. Certaines personnes penseraient que le bouddha viendrait de la ville d’Ayutthaya, mais on en sait pas plus. Finalement,

Olmèques érigeaient déjà des montagnes artificielles. Les Mayas ont innové en ajoutant à la pyramide et au temple des façades taillées et peintes qui exprimaient des messages politiques et religieux. En fait, ils recouvraient toute la pyramide de plâtre (stuc), puis ils peignaient tout en rouge ou d’une autre couleur vive. La naissance des pyramides de Méso-Amérique n'a donc rien à voir avec les pyramides d'Égypte. À l'argument géographique (plus de 13 000 kilomètres) s'ajoute l'argument temporel

La chapelle basse laisse voir de nombreuses traces de peintures du XIIIe siècle, et, dans l'arcature, des médaillons enrichis d'incrustations de verre avec dorures d'une finesse rare, et de petites figures d'apôtres en bas-relief sculptées dans un stuc (Enduit naturel teinté dans la masse, à base de chaux). Au-dessus d'une arcature très-riche, s'ouvrent de grandes fenêtres qui occupent tout l'espace compris entre les contreforts sous les formerets des voûtes; de sorte que la construction ne paraît

les progrès techniques et les avancées en statique, les nefs s'élargissent, voire adoptent des formes rondes * recours à une ornementation « à outrance », Ex : le style Espagnole churrigueresque, * multiplient l’usage des faux marbres et du stuc, en particulier avec des marbres polychromes * les sculptures d’anges et de putti (bebe) joufflus et moqueurs, souvent dorés * les volutes : motif d'ornementation, constitué par un enroulement en forme de spirales * cartouches : ornement

il débutait dans le pays, il avait soigné les choses ; et il apporta, lui-même, au dessert, une pièce montée qui fit pousser des cris. À la base, d'abord, c'était un carré de carton bleu figurant un temple avec portiques, colonnades et statuettes de stuc tout autour, dans des niches constellées d'étoiles en papier doré ; puis se tenait au second étage un donjon en gâteau de Savoie, entouré de menues fortifications en angélique, amandes, raisins secs, quartiers d'oranges ; et enfin, sur la plate-forme

les cas, l'influence de ce palais fut immense en Italie comme en Europe. Sebastiano Serlio le qualifia de « véritable modèle de l'architecture et de la peinture de notre temps ». Les décors du palais furent par la suite complétés par des éléments de stuc ainsi que des frises par l'un des assistants et élève de Giulio Romano : Le Primatice, qui travailla à partir de 1531 pour François Ier à Fontainebleau et qui s'inspira de l'oeuvre de Giulio Romano pour nombreuses de ses réalisations en France.