Studio 89 Productions

Meuse - 57 Moselle 67 Bas Rhin - 68 Haut Rhin - 70 Haute Saône - 88 Vosges - 90 Territoire de Belfort Bassin Parisien Est : 02 Aisne - 08 Ardennes - 10 Aube - 21 Côte d’Or - 51 Marne 52 Haute Marne - 58 Nièvre - 60 Oise - 71 Saône et Loire -80 Somme - 89 Yonne Bassin Parisien Ouest : 14 Calvados - 18 Cher - 27 Eure - 28 Eure et Loir - 36 Indre 37 Indre et Loire - 41 Loir et Cher - 45 Loiret - 50 Manche - 61 Orne - 76 Seine Maritime Ouest : 16 Charente - 17 Charente Maritime - 22 Côtes d’Armor - 29 Finistère

...................................................................................................... 77 3.5.3.2. Nécropoles et peinture....................................................................................... 80 3.5.3.3. Autres productions ............................................................................................ 82 3.5.4. La période étrusque classique (480-400 av. J.-C.) ................................................... 83 3.5.5. L'Étrurie après 400 av. J.-C.

---------------------------- 77 2. Des coups de couteau dans la toile ------------------------------------ 84 2.1 L’indicible du coeur -------------------------------------------- 85 2.2 Une construction proliférante --------------------------------- 89 2.3 Le surcroît de théâtralité ------------------------------------- 93 Partie II La perte du temps ? -------------------------------------------------101 Chapitre 1. Le temps perdu ------------------------------------------------- 102 1. La durée

........................................... 88 2.3 Modèles de simulation des principaux composants du système SIMFOGE .................................................... 89 2.3.1 Modèle des pieux énergétiques : TRNVDSTP ......................................................................................................... 89 2.3.2 Modèle de sondes verticales : Type 557 ........................................................................................................................ 90 2

... 89  . III.4. DOMAINE DES AUTRES ACTIONS SOCIALES : .................................................................................................................... 90  III.4.1. Service d’Accueil, d’Assistance et d’Évaluation des Programmes (SAAEP) ........................................ 90  III.4.2. Division du Pèlerinage et des Affaires Sociales (DPAS) ...................................................................... 90  III.4.3. Service Autonome des Unités de Production de l’Administration Pénitentiaire (SAUPAP) 

et nonuniversitaires, publiques et privées et séparent parfois même les champs d’une même discipline. 85 Tableau construit à l’aide de données extraites du tableau « Erasmus student mobility 2004/2005: Subject areas » de la commission européenne. 89 être expliquées par la façon dont sont classées les différentes filières au sein des nomenclatures, suivant les pays. Tableau 14 : Répartition des étudiants Erasmus sortants par discipline, en 2004-2005 (effectif et pourcentage) FRANCE U.K. ITALIE

contrôle) parce que :  Les administrateurs des entreprises ont commencé à rechercher les moyens de mieux servir les besoins de leurs clients et d‘améliorer l‘efficacité de leurs employés.  Les grandes usines mécanisées ont commencé à remplacer la production à petite échelle des artisans.  Les problèmes sociaux sont apparus dans les grands groupes d‘ouvriers des industries. Philippe Fattal USJ/ Institut de gestion des entreprises 15 Historique du Management 31  Période Classique 1880-1930

chacun des co-titulaires de toute concession d'exploitation des gisements d'hydrocarbures bénéficie d'une exonération totale de l'impôt sur les sociétés pendant une période de dix (10) années consécutives courant à compter de la date de mise en production régulière de toute concession d'exploitation. 3°- Les sociétés exploitant les centres de gestion de comptabilité agréés régis par la loi n°57-90 promulguée par le dahir n°1-91-228 du 13 joumada I 1413 (9 novembre 1992), sont exonérées de l'impôt

Transport, engagé activement dans une démarche de développement durable, nous mettons tous nos moyens en œuvre pour réduire l’impact de nos activités sur l’environnement. Aujourd’hui, 94,5 % de notre parc de véhicules est aux normes Euro IV et Euro V (89 % en 2011) et nous avons intégré les premiers véhicules hybrides diesel-électriques. Résultat, nous avons atteint en 2012 un taux d’émission de 65,99 g de CO2 /tonne.km, en diminution de 3 % par rapport à 2011. Sur le volet de la sécurité routière

question, s’il faut rapprocher des éléments d’informations distants dans le texte, s’il faut découvrir des informations implicites à partir d’éléments dispersés ou encore réaliser une inférence, les élèves se trouvent en difficulté. Chaque fois qu’une production personnelle, que l’expression d’un raisonnement par écrit est demandée aux élèves, ceux-ci sont en difficulté, ce qui se traduit, dans de nombreux cas, par une augmentation des omissions. A cela s’ajoute le fait que les élèves ne retournent pas