Style De Marivaux

d'accorder plus d'importance au texte ainsi qu'au style de la pièce, ce qui n'est pas obtenu lors d'une representation du fait que le spectateur focalise plus sont attention sur les mouvements des acteurs.Dans un premier temps, lors de la lecture, le lecteur est invité a se plonger dans la beauté de la langue utilisée en essayant de cerner le message implicite que l'auteur a voulu dissimuler dans son ecriture, c'est a dire dans ces figures de style ou ses expressions. La lecture peut etre facilité

Les Egarements du Coeur et de l’Esprit de Crébillon et bien d’autres encore. SE DEMARQUER D’UN GENRE « MINEUR » Le roman au XVIII° exprime la volonté d'abandonner les aventures galantes et souvent peu vraisemblables de héros prestigieux, le style "manuel de belles manières" que l'on trouve dans Le grand Cyrus, L'Astrée par exemple Dès le XVII° quelques romans d'analyse psychologique, comme La Princesse de Clèves, tentent d'exprimer la vie intérieure des individus en se dégageant des péripéties

n'apparaît vraiment que dans la dernière phrase). Un portrait sévère, parce qu'il montre qu'Euphrosine n'a souci que de l'apparence (se donner en spectacle) ou du regard qu'autrui porte sur elle : futilité d'un tel comportement ; comportement et style hyperbolique ("huit jours que je n'ai pas fermé l'oeil" ; "Madame ne verra personne") ; les maîtres sont oisifs ("qu'on m'habille"), mais vivent comme s'ils menaient de véritables batailles : décalage entre l'inanité de l'évocation et les efforts qui

l’absurde, majoritairement représentée par le théâtre de l’absurde, est née après la Seconde Guerre mondiale. Symbolisée par de virulents dramaturges tels que Eugène Ionesco, Samuel Beckett ou encore Fernando Arrabal. Le théâtre de l’absurde est un style de théâtre apparu dans les années cinquante (1950), se caractérisant par une rupture totale par rapport aux genres plus classiques, tels que le drame ou la comédie. C'est un genre traitant fréquemment de l’absurdité de l’Homme et de la vie en général

saisir le sens du texte ? intro : Le théâtre I) La Lecture I) ouvre un espace de liberté, imagination, propre représentation citation « le théâtre est comme un texte à trou » Anne Ubersfeld? II) mieux saisir le style d'écriture de l'auteur, figure de style fameuse et délicieuse à lire ex : Cirano de Berjerac III) le plaisir de lire, lecteurs passionnés pouvoir revenir en arrière tranquillité contrôle total de son plaisir II) La représentation théâtrale I) la mise en scène

des apparences sont les « grand principes » de ce mouvement artistique. Corneille, D’Urfé ont illustrés le mouvement, l’instabilité, les métamorphoses des sentiments la mort par la poésie lyrique, le roman précieux ainsi que de nombreuses figures de style. Classicisme Le classicisme est représenté par l’idéal esthétique et humain grâce aux écrivains des générations de 1660 à 1680. Avec l’arrivée du règne de Louis XIV, qui renforce la monarchie absolue et la construction de Versailles, les grands principes

pourra donc définir l’ironie comme une forme d’expression qui présente un écart entre le signifiant et son signifié. Elle est principalement employée pour se moquer d’une personne, d’une situation, voire meme une idée. L’ironie étant une figure de style qui consiste à dire autre chose que l’on pense, et qui nécessite de ce fait une interprétation, n’est-elle pas susceptible d’induire le lecteur en erreur ? N’est-elle pas un procédé qui cache la réalité, et présente ainsi les faits dans un contexte

texte en détail. Antithèse: -La première lecture est une lecture naïve. La relecture permet donc au lecteur de mieux cerner la signification que peut apporter un texte et de l'analyser. Par exemple: • Dans les Fausses confidences, Marivaux joue avec les sous-entendus, double- sens ,les tournures de phrase et les didascalies. Ces personnages font du marivaudage qui est l'action de dire des choses vrais dans leurs contenus mais pas dans le motif/ l'intention. Sans une relecture le

La comédie s'oriente vers la critique plus virulente, ou bien vers l'attendrissement (par exemple la peinture de l'amour) : le théâtre est par certains aspects associé aux modifications de la société de l'époque. Les deux dramaturges majeurs sont Marivaux et Beaumarchais La tragédie,Il y a également Racine (1639-1699), qui a écrit Alexandre, Andromaque,. genre à l'honneur au XVIIème va perdre son importance et se transformer : elle est notamment représentée par Crébillon père et Voltaire. Le premier

en plus. Enfin en 1630, le théâtre est reconnu comme un art officiel par Richelieu. Les « unités », reconnues au XVIIe comme essentielles pour la vraisemblance, apparaissent peu à peu comme des carcans et les auteurs cherchent à s’en défaire. Chez Marivaux, les personnages ne sont plus des types comiques ou des héros tragiques, mais des individus aux prises avec un questionnement sur leur identité. Ainsi, dans plusieurs comédies, les personnages cachent leur identité à leurs promis(e), en prenant le