Introduction:

La plupart du temps les gens ne sont pas vraiment attentifs à leur lecture. Pour une bonne compréhension du texte, il ne suffit pas de lire juste une seule et unique fois mais bien plus afin de pouvoir mieux cerner le contenu et comprendre le sens des mots, des phrases et ceux que l'auteur du texte a voulu nous transmettre. La relecture nous permet d'analyser le texte, de lire entre les lignes et ainsi de redécouvrir un nouveau texte voir apprendre de nouvelles choses et donc de rendre le texte plus intéressant. Comme l'affirme le critique littéraire et sémiologue français, Roland Barthes «Seule la relecture sauve le texte de la répétition (ceux qui négligent de relire s'oblige à lire partout la même histoire)» A ce sujet, la problématique suivante nous permet de l'illustrer. Un texte nécessite- t- il réellement d'être sauvé ? La relecture est-elle un procédé efficace?

Thèse: -Quelque fois le lecteur relit un livre parce que l'histoire lui a plu, l'a amusé. Mais il ne cherche pas forcément à l'intellectualiser. Ex: Un enfant qui a le droit à la même histoire chaque soir avant de s'endormir. - Il aura toujours droit au même conte mais ne cherchera pas à comprendre le sens du texte en détail.

Antithèse:
-La première lecture est une lecture naïve. La relecture permet donc au lecteur de mieux cerner la signification que peut apporter un texte et de l'analyser.
Par exemple:
• Dans les Fausses confidences, Marivaux joue avec les sous-entendus, double- sens ,les tournures de phrase et les didascalies. Ces personnages font du marivaudage qui est l'action de dire des choses vrais dans leurs contenus mais pas dans le motif/ l'intention. Sans une relecture le lecteur a du mal à discerner la vrai signification des dialogues et de éléments du livre deviennent incompréhensible.
• Certains personnages sont difficile à cerner mais quand on apprend la fin de l' histoire, on a une nouvelle vision