Style Journalistique

opposition entre les deux quatrains (le bonheur de Baïf) et les deux tercets (le malheur de Du Bellay). Le poème présente donc un registre élégiaque, soulignant le contraste entre l’heureux Baïf et le chetif Du Bellay par de nombreuses figures de style : Le bonheur de Baïf est souligné par une hyperbole (Qu'heureux tu es (Baif) heureux et plus qu'heureux…) et un isolexisme1 (languir ton coeur doulcement langoureux). Les accumulations opposent l’excès de bonheur de Baïf (belle, courtoise, et gentile

Les figures de style (1) : les figures de rapprochement : La comparaison, la métaphore, la personnification et l’allégorie sont des figures de rapprochement. On les appelle ainsi car elles consistent à rapprocher entre deux éléments. 1. la comparaison : Rapprocher entre deux éléments à l’aide d’un outil de comparaison pour souligner les ressemblances ou les différences.  Exemple : « Son sourire est pareil à un éclat du soleil.»  Ses composantes : Comparé Outil de comparaison (comparatif)

« N’écris pas » Au début et fin de chaque strophes , 3 syllabes. (Anaphore) - Défense d’écrire. « N’écris pas ! » Fin des strophes (Modalités exclamatives) - Supplication - Ton plaintif. Vers 2 ; 8-9 ; 13 Métaphores Vide, manque, souffrance de l’absence et la séparation. Tirets après « N’écris pas » dans les 3 premières strophes puis disparition du tiret dans la dernière strophe. L’absence du tiret dans la dernière strophe marque le relâchement, l’adoucissement. Vers 1. - « - » tiret

Fiche figures de rhétorique Comparaison Figure de style qui consiste à rapprocher un comparé et un comparant, par l'intermédiaire d'un outil comparatif. Procédé établissant un parallèle entre deux réalités. Voir la métaphore. Produit un effet poétique ou didactique. Métaphore Figure qui consiste à instituer une analogie entre un comparé et un comparant, sans comparatif (contrairement à une comparaison). Parfois, le comparé est lui aussi absent. La métaphore peut dans ce cas précis se transformer

être interrompu ou inachevé le très long texte recelait de vraies possibilités et qu'il suffisait suffirait eût suffi de s'y remettre et la machine reprendrait du galon non là cette image-là ne va pas je mélange les formules croise les figures de style et donc je pensais qu'il me faudrait toutes proportions gardées envisager ces carnets comme Paul Valéry travaillant régulièrement et sans espoir d'en finir jamais chaque matin à ses Cahiers désormais regroupés en deux tomes en Pléiade et que j'ai dévorés

peuvent se tromper comme les autres hommes. LA FORME Il est classique : il se fait en cinq actes et en scènes. La pièce comme toute tragédie, est écrite dans la langue noble et en vers, des alexandrins. Corneille emploie une variété de figure de style qui s’écarte de l’usage ordinaire de la langue et donne une expressivité particulière au propos. Anaphore consiste à répéter un même mot en début de phrase, d’un vers ou d’un groupe de mots. « J'attire en me vengeant sa haine et sa colère; J'attire

différé, ses charmes sans pouvoir ? » (vers 124). Certains passages de pièces de théâtre peuvent être particulièrement travaillés comme Le Cid de Corneille et ses stances. Les rimes changent et les figures de style sont utilisées. Dans Horace de Corneille par exemple il y a une figure de style, une anaphore de Rome dans la réplique de Camille dans l'acte VI scène 5. La qualitée de la langue est un signe de noblesse qui est un caractéristique de la Tragédie. De plus, la tragédie montre sa noblesse

26 vers, d’un seul tenant, un poème daté du « Jour des Morts » 1946, soit environ 3 ans après la mort de Léopoldine, la fille de Hugo. Il n’y a pas de titre, les vers sont des rimes suivies, on a des alexandrins. Le texte est spontané, simple, le style est facile a comprendre. Le ton est léger jusqu’au vers 23 car Hugo évoque le passé, heureux quotidien familial. Puis au vers 23, le ton est plus grave, le lyrisme est ici élégiaque. La structure du texte est simple. Des vers 1 à 7, le poète évoque

sens se substituer à lui». Meursault à une sensation d’impuissance, il a aussi l’impression que sa vie lui échappe comme il le dit «j’ai été assailli des souvenirs d’une vie qui ne m’appartenait plus», mais encore Meursault fait appel à une figure de style : la métaphore « j’ai eu l’impression que tout devenait comme une eau incolore où je trouvais le vertige » cela laisserait paraître que tout est devenu trouble et qu’il a fait un malaise.

poèmes sont provocateurs. Nous justifierons notre réponse à l’aide d’éléments précis pris dans les différents textes. Nous commençons par le poème de Victor Hugo où il parle de l’araignée et l’ortie. Ce texte, composé de différentes figures de style comme l’antithèse des les 2 premières strophes « j’aime » « on les hait ». En disant qu’il aime l’araignée et l’ortie il présente également une antithèse l’araignée étant un animal et l’ortie un végétal et provoque les humains qui ne diront pas la