Su Song

nous sommes :Plutôt souffrir que mourir,C'est la devise des hommes. Jean de La Fontaine La mort et le bûcheron, peint par Léon Lhermitte. 1893 La mort et le mourant. La mort ne surprend point le sage ;Il est toujours prêt à partir,S'étant su lui-même avertirDu temps où l'on se doit résoudre à ce passage.Ce temps, hélas ! embrasse tous les temps :Qu'on le partage en jours, en heures, en moments,Il n'en est point qu'il ne comprenneDans le fatal tribut ; tous sont de son domaine;Et le premier

quelques lignes, donc de résumer et de sélectionner. (…) La peur est toutefois bien présente et beaucoup savent évoquer, à côté des souffrances physiques, l’angoisse, la détresse morale qui leur fait parfois souhaiter la mort et songer au suicide. D’un autre côté, certains ont su noter la grande importance des petites joies du poilu. (…) Et les sentiments de révolte ? Capacités d’adaptation et culture profonde de l’obéissance en ont limité les manifestations extérieures et peut-être même les mentions

2. La guerre de Corée (1950-1952) (doc 3 p72) La guerre de Corée donne une dimension mdiale à la guerre froide. 1910 : envahit par le Japon 1948 : Corée divisée en 2 * Nord : « république démocratique populaire » avec le dictateur KIM IL SONG reconnu par l’URSS * Sud : dictature conservatrice avec SYNGMAN, soutenu par les USA pour éviter le communisme. 25 juin 1950 : le Nord envahit le Sud avec l’accord de Staline, victoire du Nord Octobre 1950 : Truman riposte par l’envoi d’un corps

Préparatifs de la fête. Les préparatifs de la fête vont bon train au Msid. Les enfants constituent des équipes. Les murs sont blanchis à la chaux et le sol frotté à grande eau. L’enfant accompagne sa mère à la Kissaria. La fête approchait et il fallait songer à ses habits pour l’occasion. Il portera un gilet, une chemise et des babouches neuves. De retour à la maison, Rahma insiste pour voir les achats fait à la Kissaria.Le narrateur est fasciné par son récit des mésaventures de Si Othman, un voisin âgé

ligne de mire Il est quelque peu fascinant de songer qu’à l’époque des Essais, les "lieux communs" circulaient sous forme de recueils où tout lettré puisait le prêt-à-penser de la culture partagée[5]. L’expression n’était certes pas péjorative. Alors qu’éreinter un lieu commun est aujourd’hui... un lieu commun des introductions de dissertations ! Pour Montaigne, s’en prendre au sens commun, c’est s’attaquer à ce que personne ne devrait songer à contester. Ceci peut expliquer la prudence avec

pièces, mais triomphant ». Il dit même « ( 50ans après le pseudo vol du peigne), Je déclare à la face du Ciel que j’en étais innocent, que je n’avais ni cassé, ni touché le peigne, que je n’avais pas approché de la plaque et que je n’y avait même pas songer » On remarque ici l’accumulation (si) et l’emploi de phrase négatives. Le noyer : « O vous lecteurs curieux de la grande histoire du noyer de la terrasse, écoutez-en l’horrible tragédie et vous abstenez de frémir si vous pouvez ! » Rousseau va planter

rue » * Esprit tribu « rive droite » * Stratégie de Scream Marketing (publicité omniprésente) Zadig & Voltaire * Concept de messages * (Zadig Rocks !) * Celebrity Marketing * Esprit tribu « rive gauche » * Stratégie de Song Marketing (publicité présente mais discrète) Tribu rive gauche | Tribu rive droit | * Bourgeois/Aristocrate * Classique-chic * « BCBG » * Intellectuel (quartier latin) * « huppé » * calme, tranquille, discret * Etudiant (Sorbonne)

cours de ma vie s’est partagé entre ces deux amours de si divers natures, et je les ai même éprouvés tous deux à la fois » p39 « J’étais tout entier […] à chacune de ces deux personnes, et si parfaitement, qu’avec aucune des deux il ne m’arrivait de songer à l’autre. P40 Différence entre ces deux amours « J’abordais Mlle de Vulson avec un plaisir très vif, mais sans trouble ; au lieu qu’en voyant seulement Mlle Goton, je ne voyais plus rien ; tous mes sens étaient bouleversés. » apprentissage du

Préparatifs de la fête. Les préparatifs de la fête vont bon train au Msid. Les enfants constituent des équipes. Les murs sont blanchis à la chaux et le sol frotté à grande eau. L’enfant accompagne sa mère à la Kissaria. La fête approchait et il fallait songer à ses habits pour l’occasion. Il portera un gilet, une chemise et des babouches neuves. De retour à la maison, Rahma insiste pour voir les achats fait à la Kissaria.Le narrateur est fasciné par son récit des mésaventures de Si Othman, un voisin âgé

œuvre, scène de genre inspirées de la Régence anglaise 1 et peintures d’histoire mettant en scène un Moyen Âge onirique et romantique, est marquée par l'influence du préraphaélisme. La peinture de Tristan et Iseult : elle se nomme « The End of The Song ». C'est une huile sur toile fait en 2 1902, les dimensions 128,5 x147,3 cm. Plan américain : Cadrage particulier consistant à filmer ou à peindre des personnages ou un seul de trois-3 quarts, c'est-à-dire à partir des cuisses. Gaston Bussière