Sublime

se cherche donc des amants et se souvient de ce bal où elle avait imaginé des amants qui l’enlèveraient à cette vie monotone. Problématique : Dans quelle mesure ce texte est-il un portrait d’Emma ? I. Un portrait humoristique : A) L’alliance du sublime et du grotesque : * «Comme les matelots en détresse elle promenait sur la solitude de sa vie des yeux désespérés, » (lignes 1 et 2) métaphore filée, hypallage, il y a une alliance de ridicule avec un style très travaillé, cela montre l’ironie de

cette révolte, par ces accents trop humains. L'auteur répondait que " la lutte de la matière et de l'esprit est le fond du christianisme " et rappelait qu'aux " imprécations de la chair trompée, de la nature physique blessée " succède " la placidité sublime de l'âme, quand la comtesse est confessée et qu'elle meurt en sainte ". En effet, au moment suprême, Mme de Mortsauf retrouve toute sa vertu, sa piété et même son angélique beauté ; elle meurt en paix. Dans la mélancolie d'un paysage automnal, ses

fascinant, tend vers le surnaturel). * CONSTRUCTION LARGE (contre la symétrie, le parallélisme…), effet recherché = COLLER AU REEL, ce n’est plus VRAISEMBLANCE mais REEL BRUT. V.HUGO Préface de Cromwell théorisation du drame romantique : le SUBLIME est un fait du BAS, non plus du haut (mot très romantique ; d’étymologie : élevé = élévation – de l’âme – donc souvent esthétique et métaphysique, de l’âme vers Dieu) = renversement : * sur la nature : l’abime, le monstre, le gouffre, le difforme

mais si elle correspond à des critères clairement définis tels que l’harmonie, la convenance ou la perfection par exemple. Ces critères varient selon les époques. La beauté relève du domaine artistique, c’est donc quelque chose de culturel, mais le sublime, la grandeur de la nature ne relèvent-ils pas de la beauté, eux aussi ? Peut-on dire qu’un coucher de soleil ou qu’une cascade est beau comme on le dirait d’une œuvre ? La beauté est-elle ce qui est représenté par l’artiste, à savoir la nature,

rythme crée un effet d’amplification. *pt de vue de l’interlocuteur : pt de vue méliorative (des courtisans). Dans le reste du Txt. L’énonciateur attire l’intention sur un aspect criminelle. - L 5 le métier de courtisans est designer comme un art sublime. -Le locuteur veut tenter de persuader le lecteur de la difficulté du métier de courtisans. * investissement du lecteur dans le Txt à travers des expressions exclamatives. *inclusion du lecteur 1ere personne du pluriel *convocation du lecteur

mouvement littéraire qui prône de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. | MargueriteYourcenar (1903-1987) Comment Wang-Fô fut sauvé des eaux Archives du Nord Alexis ou le traité

mélancolie, désespoir, angoisse et peur de la mort, dégoût généralisé de la vie / Idéal = état de plénitude, ailleurs spirituel, ce vers quoi le poète tend : l’Infini, la Beauté). Volonté de dire le laid (la charogne) mais de l’élever. Rôle du poète de sublimer la réalité. B) Etude du texte Le recueil Les Fleurs du Mal, de Charles Baudelaire, est publié en 1857. Le poète subit un procès pour outrage aux bonnes règles de la morale et de la pudeur, et certaines pièces sont censurées. Le recueil

l’italienne. Cette chambre est louable au prix de 237 euros Les suites La suite « la SUBLIME » est une suite élégante. La Sublime" est un subtil accord de douceur et de volupté qui enchantera chaque moment de du séjour dans la ville si romantique qu'est Paris. Il y a des Pampilles en cristal, meubles aux courbes douces et arrondies, lit rond et moelleux... L'élégance de la suite "La Sublime" pourra nous transporter dans un havre de beauté et de volupté. Chaque détail est pensé pour nous

génétique théâtrale : Corneille à l’œuvre, 1996 Tragédie et sublime Selon le pseudo-Longin : « Le sublime est (…) ce qui forme l’excellence et la souveraine perfection du discours. Il ne persuade pas proprement mais il ravit, transporte (…) ce qui est tout autre chose que de plaire seulement ou de persuader. Il donne au discours une vigueur noble. Quand le sublime vient à paraître, il renverse tout comme un foudre. » 5 sources principales du sublime : certaine élévation de l’esprit qui fait penser heureusement

grande pièce avec des carreaux de couleur blanc comme neige , d'un papier peint représentant les sublimes déesse de la mythologie grec chaque image à une histoire . Il y avait une cheminée en marbre carrare avec deux vases de chaque coter remplie de Lin bleu au dessus ce trouve un tableau représentant le maître de maison . Cette première pièce exhale une odeur de fruits rouge .Magnifique , sublime , elle respire la joie de vivre . Elle ne sent ni le renfermer , ni le moisi , ni le rance comme