Sublimer Sa Souffrance

des sentiments, notamment celui de l'amour et champ lexical de la souffrance - Ponctuation expressive : exclamatives nombreuses, fausses interrogatives à valeur exclamative notamment dans les répliques de la reine : « Qu'avez-vous fait ? » - Invocation à Dieu « ô mon Dieu ! » - « vivant par son amour, mourant par sa pitié » : parallélisme de construction / effet proche du chiasme * Présence également du pathétique (souffrances de Ruy Blas). -> Lien interne : fiche sur les registres 3)

l’esprit vers tous les êtres que nous aimons, qui sont absents et qui souffrent, vers tous ceux qui sont privés de quelque chose d’irretrouvable ». - Situation de l’extrait à commenter (II) - Questions possibles à l’oral : En quoi ce poème sublime-t-il la mélancolie du poète ? Comment s’exprime la mélancolie du poète ? Ce poème permet-il de comprendre pourquoi Baudelaire a été nommé « poète de la modernité » ? En quoi ce tableau urbain se charge-t-il d’une

fait-il?" -Lyrisme : exaltation du sentiment amoureux "je t'aime" -Pathétique : souffrance de RB. Familiarrité de certaines répliques : "Dis?"; "Je m'apelle RB" => tragique + humain. Amour impossible et fatal : -Thème romantique par excellence. -la mort => dénouement de cet amour impossible. (ex: On ne badine pas avec l'amour) -amour sublimé par la souffrance => idée très romantique (ex: "Lac" de lamartine) Une mort sublime et symbolique : -dimensionchristique de la mort de RB => lexique religieux;

Contrairement au théâtre classique qui prône la séparation des genres et des registres, Victor Hugo, comme il l’énonce dans la préface de Cromwell, prône une diversité du genre dans une même pièce, pouvant passer « de la tragédie à la comédie, du sublime au grotesque ». Ce mélange de registres se remarque également dans cette scène : Une scène tragique : Ruys Blas est un héros tragique, c’est la fatalité, il n’est pas maître de ses sentiments qui le pousse à des actions irrévocables. Le héros ne

La première partie du dix-neuvième siècle est notamment connue comme le siècle du mouvement littéraire romantique, mouvement qui n’accepte plus aucune règle du classique et qui veut montrer la réalité se basant sur la souffrance et le mal de vivre. Cette souffrance et se mal de vivre sont exprimés par Victor Hugo après la mort de sa fille dans de nombreux poèmes, les Contemplations. Mais Victor Hugo n’est pas qu’un poète, il est aussi dramaturge connu pour Hernani, une pièce qui fait controverse

beauté du laid. Ensuite, Baudelaire va comparer cette charogne à la femme au destin similaire mais ici, c'est pour souligner que l'art du poète est de reconstituer «  l'essence sublime » c'est à dire de sublimer le réel par l'écriture poètique, puique le temps détruit le réel, c'est au poète de le recomposer et de le sublimer par son écrit. Ainsi, en évoquant des éléments laids, une charogne, un amour qui s'évapore, Baudelaire parvient à leur conférer de la beauté. Il montre alors que l'art poétique

frustration n'est pas mortelle sont en revanche simplement naturels, ou non nécessaires. On peut vivre sans les satisfaire, comme la sexualité, ou l'amour de l'art. Le but du philosophe établissant cette classification des désirs est de montrer que la souffrance des hommes vient de leur méconnaissance de la vraie nature du plaisir, plutôt que d'une prétendue insatisfaction. La plupart prennent en effet le plaisir pour un état, une grandeur qualifiable, extensive, susceptible d'augmenter ou de diminuer,

échappé de sa cage et désorienté, ne sachant où aller. ''Comme les exilés'', il se trouve dans un monde qui ne lui convient pas. ''ridicule et sublime'', c'est ici un oxymore. ''ridicule'', car le cygne se trouve au milieu de la ville, il n'est pas à sa place, ne va pas avec ce décor, et ''sublime'' car le cygne est un animal impérial et noble, il est sublime par sa blancheur. Comme tous les exilés, le cygne cherche quelque chose de perdu, lui cherche l'eau du lac ''et rongé d'un désir sans trêve 

Ruy Blas est condamné, les sentiments qui domine sont tristes (« ayer pitié de moi, mon dieu ! Mon cœur se rompt »). C’est aussi une scène lyrique par la présence du champ lexical des sentiments, notamment celui de l'amour et champ lexical de la souffrance mais aussi par la ponctuation expressive, exclamatives nombreuses, fausses interrogatives à valeur exclamative notamment dans les répliques de la reine : « Qu'avez-vous fait ? ». Il y a aussi l’invocation à Dieu « ô mon Dieu ! » Afin de répondre

Liste des sujets : SUJET 1 : Dans son essai poétique Rester vivant (1991), l’écrivain Michel Houellebecq explique aux poètes : « La première démarche poétique consiste à remonter à l’origine. À savoir : la souffrance. » Dans quelle mesure le recueil des Fleurs du mal de Baudelaire vous semble-t-il illustrer cette affirmation ? SUJET 2 : Dans son essai poétique Rester vivant (1991), l’écrivain