Suessions

Gaulois), les Aquitains et les Belges. César croyait que les peuples belges étaient issus des Germains. Il a même fait une énumération de ces Belges qui, sous le nom de Germani («qui uno nomine Germani appellantur»), sont énumérés ainsi : Suessiones (Suessions), Nervii (Nerviens), Atrabates (Abrates), Ambiani (Ambiens), Morini (Morines), Menapii (Ménapiens), Caletes (Calètes), Veliocasses (Véliocasses), Viromandui (Viromanduens), Aduatici (Aduaticiens), Condrusi, (Condrusiens), Ebuones (Éburons)

allait jusqu’au Rhin. C’est ce fleuve qui servait de frontière entre les Celtes et les Germains. On trouvait les Véliocasses (Rotomagus), les Calètes, les Ambiens et les Morins. La Champagne était occupée par les Rèmes, et les Soissonnais par les Suessions. Les Leuques étaient implantés dans la partie méridionale de la Lorraine actuelle. La vie quotidienne peu avant la Conquête Ils étaient un peuple actif, travailleur et inventif. Ils produisaient de la viande et des laitages. Ils aimaient la bière

et de terre de 10 à 40 m de long, d'une architecture simple mais efficace. Antiquité Dès le IIIe siècle avant notre ère, l'actuel territoire de la Somme est partagé entre plusieurs peuples celtiques de la Gaule Belgique (Ambiens, Bellovaques et Suessions). On attribue à ces celtes belges l'aménagement du trophée et du sanctuaire de Ribemont-sur-Ancre où s'entassent des milliers d'ossements humains. Suite à la colonisation romaine, et aux ambitions expansionnistes de l'empereur Caligula en Grande-Bretagne

territoire e la Gaule quand les Celtes s’y sont installés. L’installation des Celtes sur notre territoire correspond à la civilisation du premier âge de fer. César distingue trois groupes : -les Belges, qui pour César sont les Bellovaques, les Suessiones et les Rêmes, et qu’il estime être les plus braves. -les Aquitains, qui comprennent les Convènes et les Tarbelles, leur langue se rapproche des dialectes ibériques. -les Celtes ou Gaulois, qui sont notamment les Avernes, les Eduens, les Bituriges

raisons font qu'on ne peut être sur qu'il s'agisse réellement d'une attestation de commerce entre les Parisii et d'autres peuples. Ainsi on à retrouvés 20 pièces de Sénons, des monnaies séquanes (tribut à l'est de la Gaule), Une douzaine de pièces des Suessions (un peu au nord est de Paris), on retrouva 6 ou 7 : pièces des Meldes (peuple qui se situait en île de France aussi), des Rèmes (qui se situe à Reims à gauche de Paris !). Ainsi que quelques pièces de peuples plus éloignés comme les Carnutes, les

53 av. JC, César et ses légions s'installent sur les régions périphériques : encerclement de la Gaule. 57 av. JC : soumission des peuples Belges. Les Rèmes (Reims) se ralient à Rome ; autres peuples battus sur les rives de l'Aisne. Réddition des Suessions (Soissons), Bellovaques (Beauvais), Ambiens (Amiens). Plus au nord, César se heurte aux autres peuples, est en difficultés, mais réussit à s'imposer. Crassus, envoyé en Armorique, ne rencontre pas de résistance. 56 av. JC : Les Vénètes Vannes se

quittent leurs terres pour migrer vers l'ouest et, pours'interdire toute possibilité de retour, détruisent leur habitat, soit tous leurs oppida, au nombrede 12, leurs vici, au nombre de 400, et les aedficia privés restants (César, BG, I, 5) ; Les Suessions comptent également une douzaine d'oppida (Kruta 1980, p. 206, d'aprèsCésar, BG, II, 4) ; En 52 av. J.-C., après un conseil présidé par Vercingétorix, les Gaulois coalisés décidentde brûler leurs agglomérations, urbes, précise César : les Bituriges

ser frppé de caducité si l chose ne parvient jamais à exister Il ya une exception a la rége de l'autorisation de la vente de chose futur c'est la'interdiction de vendre des biens provenants dde succession future c'est l'interiction de pacte sur suession future, il est aps possibe de vendre aujourd'hui un bien des parents meême si je suis certain de l'hériter car on peut aps cpnure sur un bien dont on deviendra propriétaireIl n'est pas sure que ce soit une véritable ecepion à la possibiité de conclure

lui fournir des vivres et toute espèce de secours ; que tous les autres Belges étaient en armes ; que les Germains, qui habitent en deçà du Rhin, s’étaient joints à eux ; et que l’animosité générale était telle qu’eux-mêmes, frères et alliés des Suessions, unis avec eux par la conformité des lois et du gouvernement, soumis au même chef de guerre et au même magistrat, n’ont pu les détourner de prendre part au mouvement ». IV. — César demanda à ces députés quels étaient les peuples en armes, leur nombre

blé et autres prestations ; ils ajoutent que le reste de la Belgique est en armes, que les Germains établis sur la rive gauche du Rhin se sont alliés aux Belges, qu'enfin il y a chez ceux-ci un tel déchaînement de passion, et si général, que les Suessions même, qui sont leurs frères de race, qui vivent sous les mêmes lois, qui ont même chef de guerre, même magistrat, ils n'ont pu les empêcher de prendre part au mouvements. 4. César leur demanda quelles étaient les cités qui avaient pris les armes