Suie

fêtaient le carnaval avec du vin et de la luxure. On dansait dans l'église, les riches se transformaient en pauvres, les enfants en adultes, les garçons et filles intervertissaient leurs rôles... Certains garçons se noircissaient même le visage avec de la suie ou bien le cachaient sous un morceau de tissu et arpentaient les villages des alentours toute la nuit ! Les cours royales organisaient également de belles fêtes de carnaval : à la cour de Versailles, peintres et architectes étaient invités

temps à leur toilette, leur coiffure et leur maquillage.

 La Rome antique :

Leur maquillage est lourd et chargé. le teint est clair avec une crème qui est un mélange de craies et de vinaigre les sourcils sont épilés et accentués avec de la suie noire les joues colorées avec des colorants végétaux et animaux rouges les lèvre sont colorées en rouge La Grèce Antique :
 ( la beauté donnée par la nature ) 
En Grèce la beauté est une recherche d ‘équilibre et de simplicité naturelle

enfant d Israël V- la peste dieu envoya la peste qui frappa l Égypte pharaon demande a moise de priée dieu et il les laissera sortir d Égypte mais son cœur s endurcit VI- Les ulcères dieu dit à Moïse et à Aaron : « Prenez plein vos mains de suie de fourneau et que Moïse la lance en l’air, sous les yeux de Pharaon. Elle se changera en fine poussière sur tout le pays d'Égypte et provoquera, sur les gens et sur les bêtes, des ulcères bourgeonnant en pustules, dans toute l'Égypte. VII- La

part dans la Campagne des Ardennes. Il marchait déjà depuis plus d’une heure à travers les champs, la pluie fouettait son joli visage si juvénile, ses yeux bleus illuminaient son regard et ses cheveux étaient noirs et lisses faisaient penser à de la suie. Il arpentait les collines avec une grimace de douleur car ses souliers crottés et troués lui faisaient mal. Alexandre décida de faire une halte en sortant de la garenne près du cimetière de Walmon. Les arbres au dessus de lui semblaient menaçants

recouvrant cette plaine retournée par les éclats d'obus. La terre volait dans tout les sens empêchant leur avancée, leurs pas s'enfonçaient lentement sous cette boue, cette cendre qui n'étaient que désastres. Leur corps, leur visages étaient recouverts de suie, de terre. Leurs vêtements étaient déchirés sales, ils empestaient la pluie, la boue, la mort. Elles étaient méconnaissables. Elles avaient retrouvés l'espoir, la joie quand leurs regards s'étaient croisées. Malheureusement, il leur restait une tâche

représent ainsi le ciel suprême et illimité. Cette perception inconnue et profonde de l'univers a formé les pensées de Tianxuan.Le caractère pour le noir 黑 hēi provient du processus de production de la suie qui était ensuite transformée en encre. Le caractère représente une fenêtre noircie recueillant de la suie au-dessus d'une flamme.Il existe une variété d'autres caractères qui font référence au noir dans des contextes spécifiques : 玄 xuán sombre, mystérieux ; 黎 lí cheveux noirs ; 缁 zī soie noire et 黛

n'avais jamais été très fort en géographie, mais je me doutais que les grandes forêts, celles aux arbres gorgés de miel et aux rivières comme des viviers, ne se trouvaient pas à côté de la porte. Bien des kilomètres plus tard, Pittsburgh et son ciel de suie était oubliés. Une nuit au Sioux Motel, deux allers simples pour Chicago et trois cents hamburgers avaient eu raison de mes économies. Mais peu m'importait. J'étais heureux de faire ce voyage avec Oregon. Moi qui, enfant, n'avait pas eu d'ours

1. Dès les 2 premiers mots, la présence monstrueuse voire allégorique des usines est marquée : on a un verbe d’action lié aux sens => personnification magistrale + pronom réfléchi qui indique la forte présence des usines. Elles se regardent parce qu’elles sont l’une face à l’autre. Dans un système poétique on aurait pu imaginer les mêmes verbes pour topos amoureux comme la rencontre. Il n’en est rien. Dès les deux premiers mots les usines prennent la place de l’homme tant sur leur

le poème dans un mouvement cyclique et qu'ainsi on mesure à quel point le poète est prisonnier de cet état psychologique. Enfin l'on note que les objets et paysages autour du poète sont ternes et ceci traduit le manque d'entrain de Laforgue (gris, suie, terni ), ces trois termes riment entre eux et avec le mot ennui. Ce qui prolonge et accentue ce sentiment. Ainsi dans ce deuxième poème l'image prédominante est celle de l'ennui. Le troisième poème représente le mal-être par la transcription d'un

l'autre est laissé à l'état sauvage. Le poète oppose les deux enfants en utilisant un lexique mélioratif pour l'enfant riche « un enfant beau et frais » et un lexique péjoratif pour l'enfant pauvre « un enfant sale, chétif, fuligineux, couvert de suie ». On peut aussi observer que l'enfant riche est plus longuement montré tandis que l'accumulation d'adjectifs permet de dresser un portrait court et marquant du pauvre. Ces deux descriptions insistent sur l'injustice sociale. Face à la propreté « frais »