Suis Je Responsable De Mon Inconscient

conscience? On est à la recherche de la part de nous même qui nous échappe. Tout se passe comme si « je » était un autre. Comment comprendre que je sois moi et pas moi? Il y a des choses dont je n’ai pas conscience et qui sont des entraves. Inconscient: ce qui empêche la conscience d’être elle-même, pleine, d’exercer son pouvoir Non-conscient: ce que notre conscience ignore sans que cela ait des conséquences dans son fonctionnement. Ex: nous n’avons pas conscience de

fondamentale de l’être humain. Notre conscience de liberté et de nos responsabilités entraîne l’angoisse. Finalement , pour Laborit , l’être humain se caractérise par le déterminisme . L’influence culturelle détermine l’humain à faire des choix inconscients pour satisfaire sa recherche de gratification et de domination . Comme Camus , Laborit met l’emphase sur la culture , tous deux affirment que la culture joue un rôle majeur dans le développement de l’être humain . Par contre, Camus croit que

psychanalyse qui est la doctrine qui va nous intéresser ici car elle affirme que toutes les productions de la conscience sont signifiante, c'est à dire qu'elles n'ont pas de sens en elle même et qu'elle doivent être interpellé afin de révéler leur sens inconscient. C'est donc la qu'intervient le scientifique qui au cours d'une psychanalyse va interprété mes propos de manière conceptuel afin de me livrer des informations objectives à propos de mon moi profond et de mes « refoulements », qui sont des représentations

efficace dans tous les registres de communication, de la négociation, et cetera. Par la suite, vient Philippe TURCHET avec son terme de synergologie, dans les années 90 comme une discipline basée surtout sur le décryptage des mouvements et des gestes inconscients. Sans omettre la discipline de Jacques COSNIER, intitulée la posturo-mimo-gestuelle qui s’inscrit dans la pragmatique ; en considérant que les énoncés sont produits par interactivité et énonçables également par la multicanalité, et cette discipline

droits, et notamment leur liberté. Mais en quelle mesure sommes nous libre ? C’est effectivement intéressant de se poser cette question, car s’il on parvenait a démontrer que nous ne sommes pas libre, on pourrait en déduire que nous ne sommes pas responsable de nos actes. Et vu que le principe de la justice est de punir les hommes en fonction des actes commis, il s’avèrerait que la justice soit trompée et faussée. C’est d’ailleurs déjà un problème qu’elle rencontre de nos jours avec certaines personnes

relève d’une tendance intérieure inconsciente et, pour cette raison, incontrôlée. Cette tendance consiste à chasser hors du champ de la conscience ce que pourtant l’on connaît mais qui, tel le désir œdipien (le désir pour le parent du sexe opposé) par exemple, représente une pensée incompatible avec les aspirations morales de l’individu et l’image de lui-même qu’il a intériorisée dès l’enfance. C’est à proprement parler ce que Freud appelle “ refoulement ”. L’inconscient psychique en serait la cause

psychisme est dépendant de sa partie enfouie où affluent nos pulsions et s'enfouissent nos refoulements: c’est l’inconscient. Il est formé des désirs et d’idées qui ont été refoulé par la censure. Dans les conflits qu’il existe entre conscient et inconscient, il perçut l'origine d'un certain nombre de troubles psychiques médicalement inexplicables. Faire émerger ces conflits pouvait permettre de les dénouer. C’est ainsi que fut créée la psychanalyse. Elle fondée sur l'écoute des souvenirs, des rêves

l'apparition de la constitution du monde, il faut donc renoncer à la substance profonde des choses. C'est pour cela que l'on peut dire que la conscience exprime la liberté du sujet dont la nature ne peut se confondre avec celle des «choses», l'homme est responsable de ces actes. Le «je» n'est pas une chose pensante, elle est au contraire une relation car «toutes consciences sont conscientes de quelques choses» (Husserl), on ne peut pas isoler la conscience car elle est toujours en relation avec un «objet»

Annexe : texte de Freud et corrigé-type d’une explication Développement : « On nous conteste de tous côtés le droit d’admettre un psychique inconscient et de travailler scientifiquement avec cette hypothèse. Nous pouvons répondre à cela que l’hypothèse de l’inconscient est nécessaire et légitime, et que nous possédons de multiples preuves de l’existence de l’inconscient. Elle est nécessaire parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires ; aussi bien chez l’homme sain que chez

celles qui sont claires et celles qui sont obscures. Et ces dernières peuvent être de plus en plus obscures, jusqu’au point où, étant à peine senties, on peut se demander même si elles parviennent à la conscience, si elles ne sont pas entièrement inconscientes. D’où la question : l’inconscient n'est-il qu'une conscience obscurcie, c'est-à-dire une moindre conscience (ce qui, par exemple, dans notre vie psychique est inaperçu faute d'attention) ou bien l'inconscient est-il une instance spécifique distincte