Suis Je Une Chose Qui Pense

D- La morale par provision de Descartes (Discours de la méthode, Troisième partie)DEUXIÈME MÉDITATIONIntroduction : résumé des Méditations dans le Discours de la méthode, 4e partie : le cogitoI- COMMENTAIRE DE LA DEUXIÈME MÉDITATION.A- Je suis une chose qui penseB- Le morceau de cire (§10 à 18)II- LA NATURE DE LA CONSCIENCE CHEZ DESCARTESIII- RESUME DES MEDITATIONS METAPHYSIQUES (3 et 6)CONCLUSIONEXERCICE : COMMENTAIRE D'UN TEXTE DE DESCARTES | Introduction : l'œuvre et le projet cartésiens  

........15 12. D’où vient que tout le monde ne la connaît pas en cette façon. ........................................................15 13. En quel sens on peut dire que si on ignore Dieu, on ne peut avoir de connaissance certaine d’aucune autre chose........................................................................................................................................15 14. Qu’on peut démontrer qu’il y a un Dieu de cela seul que la nécessité d’être ou d’exister est comprise en la

s'exprimer, de dévoiler ce à quoi il pense : le langage est le moyen semble-t-il le plus intéressant pour s'ouvrir aux autres. Or, parfois, l'Homme cherche le mot qui convient, le terme qui lui permet de préciser au mieux sa pensée ; on pourrait alors inférer que le langage manque de précision. Aussi, le langage trahit-il la pensée ? Le langage que l'Homme acquiert dès l'enfance semble être fidèle à la pensée, car ne serait-ce pas par le langage que l'Homme pense ? Seulement, l'individu en lui-même

humaine D’ou viennent les premiers hommes ? La différence entre la conscience animale et humaine : • La pensée animale : est subjective, relier aux sens, cette conscience est de premier niveau • La pensée humaine : est objective. Elle peut se prendre comme objet (réflexive) à un regard sur elle-même. Cela nous permet de créer le langage. La pensée à la capacité de créer des idées, elles sont d’ailleurs concrète (faite de matière) 3 déclencheurs de l’activité philosophique :

affirmer que l’homme a une conscience. Être conscient c’est dire que l’homme est avant tout un individu, il est unique. L’homme est un sujet libre qui peut se détacher du monde, voire s’y opposer. Il ne se réduit pas à ce qu’il est pour le monde, il se pense indépendamment du monde extérieur - les artistes montrent ces idées avant tout le monde : → Montaigne : l’individu devient une réalité évidente ; l’homme devient intéressant → le roman a été inventé avec la conscience (individualité) ; valorisation

Analyse du Cogito. Cogito : Je pense donc je suis. 1ère certitude → 1er fondement, 1er savoir pour si possible en déduire le reste. Homme = un animal raisonnable. Notion savante, mot dont on apprend le sens petit à petit. Un mot n'a de sens que si on sait le définir. Animal : Genre prochain → être-vivant sensible : Réaction + vivant Raisonnable : (différence spécifique?) raison = faculté qui... Ce qui compte le plus est l'homme → Philosophie humaniste. Pour Descartes ce n'est pas le

d’aucune autre chose. 16 14. Qu’on peut démontrer qu’il y a un Dieu de cela seul que la nécessité d’être ou d’exister est comprise en la notion que nous avons de lui. 17 15. Que la nécessité d’être n’est pas ainsi comprise en la notion que nous avons des autres choses, mais seulement le pouvoir d’être. 17 16. Que les préjugés empêchent que plusieurs ne connaissent clairement cette nécessité d’être qui est en Dieu. 17 17. Que, d’autant que nous concevons plus de perfection en une chose, d’autant

première certitude le « Je pense ». Mais Descartes était pressé de fonder la science de son temps, et s'il découvrait le dualisme, il faisait de la conscience une chose qui pense. Descartes établissait une sorte de parallèle entre la « chose étendue », le corps, et la « chose qui pense », la conscience. Husserl reste attentif à une propriété remarquable de la conscience : « Toute conscience est conscience de quelque chose ». Chaque fois que je pense, je pense bien à quelque chose. Cela veut dire que

de l'édifice de la connaissance peut commencer à être bâti. 2 - Le "Je pense" n'est pas un postulat : c'est une expérience réflexive (je m'aperçois moi-même en train de douter, de raisonner, d'objecter, etc.). Je sais que, même en doutant des sens, de la validité des raisonnements (ce pourquoi le "donc" est également maladroit !), de l'existence même du monde hors de moi ... je saisis réflexivement que, si je doute, je pense, et donc j'existe (cette vérité là est indubitable et peut servir de socle

soi-même ? I)1) La pensée, c’est l’ensemble des idées d’un individu, ou d’un groupe d’individu. C’est aussi la manière dont l’esprit s’exprime. C’est cette faculté de penser qui distingue l’homme de l’animal. On peut dire que penser, c’est organiser nos idées. Ainsi, une pensée serait le résultat de préjugés, d’idées non vérifiée, d’opinion autrement dit, d’idées reçues. 2) On peut donc distinguer deux sortes de pensées : La pensée spontanée et la pensée réfléchie. Une pensée spontanée, ou intuitive