Sultan

1) De l'empire byzantin à l'empire ottoman En 1453, les Turcs ottomans, commandés par le sultan Mehmed II, s'emparent de Constantinople, la capitale de l'empire byzantin, héritier lointain de l'empire romain d'Orient. Fondée au IVe siècle par l'empereur Constantin 1er, dont elle a pris le nom, la ville est située à un emplacement stratégique, car elle contrôle le détroit du Bosphore qui permet d'accès à la mer Noire. Elle est extrêmement prestigieuse grâce à ses monuments comme la basilique Sainte-Sophie

Sa vie fut marquée par la mort de sa fille Leopoldine. Il connut l’exil, c’était un écrivain engagé. Lecture du texte Clair de lune La lune était sereine et jouait sur les flots. - La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise, La sultane regarde, et la mer qui se brise, Là-bas, d'un flot d'argent brode les noirs îlots. De ses doigts en vibrant s'échappe la guitare. Elle écoute... Un bruit sourd frappe les sourds échos. Est-ce un lourd vaisseau turc qui vient des eaux de Cos,

douleur du pacha La sultane favorite Le Derviche Marche turque Adieux de l’hôtesse arabe D’autre part, en observant ces titres, on peut faire d’autres regroupements. Pour moi il y a par exemple huit titres qui évoquent la guerre : Navarin Cri de guerre du mufti La captive Le château-fort Par la suite, selon moi, il y a aussi un groupe de huit titres à relever car ces titres sont soit le nom ou la description de personnages : La captive La sultane favorite Le Derviche

s'émousse au granit de sa peau.Elle rit à la mort et nargue la Débauche,Ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche,Dans ses jeux destructeurs a pourtant respectéDe ce corps ferme et droit la rude majesté.Elle marche en déesse et repose en sultane ;Elle a dans le plaisir la foi mahométane,Et dans ses bras ouverts, que remplissent ses seins,Elle appelle des yeux la race des humains.Elle croit, elle sait, cette vierge infécondeEt pourtant nécessaire à la marche du monde,Que la beauté du corps

que d'une littérature plus « populaire ». Trame générale Le sultan Shâriyâr, déçu par l'infidélité de son épouse, la fait mettre à mort, et afin d'éviter d'être à nouveau bafoué, il décide d'assassiner chaque matin la femme qu'il aura épousée la veille. Shéhérazade, la fille du grand vizir, se porte alors volontaire pour épouser le sultan et, par le fait même, faire cesser le massacre : habile conteuse, chaque nuit, elle raconte au sultan un fragment d'histoire dont la suite est reportée au lendemain

maritimes qui conduisent les voyageurs vers les Indes occidentales et orientales. En France, le contexte politique pousse François 1er à conclure des traités de paix et de commerce avec le représentant d’une puissance conquérante en Méditerranée, le sultan Soliman I le Législateur, nommé le Magnifique en Occident (1520-1566). A cette époque, des Français de plus en plus hal-00567429, version 1 - 21 Feb 2011 nombreux redécouvrent l’Orient, partis au service des princes, ambassadeurs ou légats, et laissent

musulman qui ne sont pas eux même musulmans. Ce statut de dominant ne fait pas des turcs un groupes ethnique fermé, ils sont avant tout les serviteurs de la maison du sultan et aux turcs d’origine s’ajoutent sous ce titre les esclaves soldats recrutés à travers l’empire et dont les descendant restent pour une part attaché à la cause du Sultan à Constantinople ou ailleurs dans l’empire. Ce groupe « turcs» à la fois supérieur politiquement mais aussi religieusement dans le cadre de l’empire et de la capitale

Regnault et le chef politique et religieux du Maroc, le Sultan Moulay Hafid, sous la pression néanmoins de cinq mille soldats français qui campaient aux portes du palais du Sultan. Ledit traité installe au Maroc un nouveau régime juridique, par lequel la France, l’Etat «protecteur » prend sous sa tutelle le territoire marocain, l’article 1er de cette convention dispose ainsi «  le Gouvernement de la république Française et sa majesté le Sultan, sont d’accord pour instituer au Maroc, un nouveau régime

Sire, un sultan, l’un des prédécesseurs de Votre Majesté, qui occupait paisiblement le trône des Indes depuis plusieurs années, avait dans sa vieillesse la satisfaction de voir que trois princes ses fils, dignes imitateurs de ses vertus, avec une princesse sa nièce, faisaient l’ornement de sa cour. L’aîné des princes se nommait Houssain, le second Ali, le plus jeune Ahmed, et la princesse sa nièce Nourounnihar. La princesse Nourounnihar était fille d’un prince, cadet du sultan, que le sultan avait partagé

progresse aux dépens de la Chrétienté. Les Turcs ottomans représentent la plus grande menace et finalement, en 1453, finissent par s’emparer de cette capitale prestigieuse. Constantinople devient alors Istanbul, nouvelle capitale de l’Islam dirigée par le sultan Mehmed II. En quoi peut-on dire que Constantinople/Istanbul est un lieu de contact entre différentes religions et cultures aux 15e et 16e siècles ? Constantinople est une ville cosmopolite qui a subit de nombreux bouleversements sous l’occupation