Sultan

s'allient aux Espagnols pour faire face à la menace turque ! Le bouquet final a lieu le 4 août 1578, près de Ksar el-Kébir (ou Alcazar Quivir), au nord du pays, quand Sébastien (24 ans), roi du Portugal, se porte avec 20.000 hommes à la rencontre du sultan saâdien Abd el-Malik, lui-même à la tête de 50.000 hommes. Sébastien a un allié en la personne d'un ancien souverain du Maroc, El Motaouakil. La bataille tourne au désastre pour le Portugais et son allié. Leurs armées sont battues et eux-mêmes se

politique marocaine avec le roi Mohammed VI ? Première partie : Le roi Mohammed V : Le père de l’indépendance : 1- Le roi Mohammed V : [pic] Mohammed V ben Youssef né le 10 août 1909 à Fès et mort le 26 février 1961 à Rabat, a été sultan (1927-1953), puis roi (1957-1961) du Maroc après l'indépendance en 1956. Ce dynaste alaouite soutint dès 1944 l'Istiqlal, principal mouvement indépendantiste marocain et s'opposa à la poursuite de la domination française. En conséquence, il fut déposé

exceptionnelles collections qu’ils abritent et la singularité de certains de leurs objets, ces musées méritent le détour :   Musées archéologiques - Le Musée Archéologique de Larache : Il a été inauguré en 1973, dans un borj construit par le sultan mérinide Youssouf Ben Abdelhaq (1231-1253). Le musée est consacré aux trouvailles mises au jour essentiellement dans le site de Lixus. Les pièces présentées remontent aux époques phénicienne, Carthaginoise, mauritanienne, romaine puis islamique. 

démographique et va devenir le centre musulman de l’Espagne (Al Andalus). Le premier roi Muhammed ben Yusef ben Nasr va en 1238 la dynastie des émirs nasrides de Grenade. Le royaume comprend une superficie de 30 000 km². Puis dans les années 1250, le sultan va demander la protection du roi de Castille en l’échange d’un tribut. Muhammed II va chercher à s’allier avec les Génois et les Mérites qui sont à Fès. Cependant de nombreuses révolutions au palais vont stopper cette période prospère. De plus le

pour des neiges plus désertes Poème d’Armand ROBIN (1912-1961) issu de Sagesse du Désert de Benoit DESOMBRES Awhach marocain. Cette peinture sur toile fait penser au farrachs que l’on peut trouver dans ce poème. « Quand le sultan est sorti de sa tente, les ferrachs du trépas viennent la détruire pour la redresser à une autre étape » Omar Khayyam est un écrivain savant perse. Il a passé son enfance dans la ville de Balhi et a étudier et

Expose sur les croisades Les sociétés des XIIe et XIIIe siècles sont caractérisés par leur aptitude à se mobiliser à l’appel de l’Église pour défendre les grandes causes de la foi : - La reconquête de l’Espagne - La lutte pour reprendre les lieux saints occupés par les musulmans 1 - Les causes des croisades : Les croisades sont des pèlerinages armés. Leurs origines des proviennent de la conquête du moyen orient par les Arabes au VIIe siècle et l’occupation des lieux saints par les musulmans et des

son gouvernement (monarque dans le cas présent), le Maroc connaît la création d’un mouvement, l’Istiqlal (soutenu par le sultan Muhammad V) qui à partir de 1944 réclame l’indépendance - Le sultan refuse de signer les traités français, ce qui provoque la colère des derniers nommés - En 1953, le sultan est envoyé en prison en Corse, il est déposé et remplacé par le sultan Ben Arafa - Mais le peuple marocain, qui considère son chef comme un chef à la fois politique mais surtout spirituel,

croisade dans le cadre de politique purement interne. Au 13e se dev les ordres mendiants et une meilleure connaissance du monde arabe. Se dev alors l’idée que c’est sur la conversion et non le combat que l’effort doit se porter. Saint François devant le sultan d’Egypte. Echec de la prédication. Pourtant les critiques adressées à la violence fragilise la croisade et il devient difficile de mobiliser les hommes et les ressources. De plus plus le terrain est éloigné plus il est difficile de mobiliser les hommes

Sassoun (village) et sa région se bâtirent contre les Kurdes qui étaient encore venus les rançonner. Suite à cela, le sultan Abdul Hamid regroupa plusieurs troupes (52'000 hommes environ) afin d'attaquer les Arméniens, ce qui eut pour but d'observer la réaction des européens. Ce fût un véritable massacre qui dura environ deux semaines. Mais les européens ne réagirent que verbalement. Le sultan profita donc de la situation pour mettre au point son plan d'extermination à grande échelle. Le clairon sonné

déclin entraîna la perte de son statut de capitale au profit de sa grande rivale, Fès. Au début du XVIe siècle, Marrakech redevient la capitale du royaume, atteint rapidement son apogée, en particulier grâce au sultan Saadien, Mohammed El Mahdi. De part la fortune amassée par les sultans, Marrakech fut embellie, les monuments en ruine alors restaurés et de somptueux palais édifiés. Le palais bâti par les Saadiens, le Badi, est une réplique de l'Alhambra, réalisée avec les matériaux les plus précieux