Sur Une Barricade Hugo

M. Conclusion Même s' ils ont été libertins, ils meurent comme des héros de l’amour. On peut faire un parallèle avec les Misérables, texte romantique écrit par Victor Hugo en 1862. Dans les deux romans, il y a un thème commun : aimer quelqu’un jusque dans la mort. En effet, Eponine s’interpose pendant des combats sur une barricade. Elle reçoit une balle destinée à Marius et lui sauve la vie. Elle lui demande en échange un baiser. Dans les 2 cas, l’amour permet l’abnégation. Eponine se sacrifie et

Hugo réaffirme ses dires exposés dans la Préface de Cromwell : il faut briser les règles du théâtre classique et réaffirmer l’ambition esthétique de la nouvelle génération, le romantisme. Il demande aussi, et surtout, la mise en valeur du public, le public vrai, le peuple, car c’est lui qui rend les œuvres immortelles, et que « la poésie ait la même devise que la politique : TOLÉRANCE ET LIBERTÉ » L’action principale se situe en Espagne en 1519 (de février à août). Acte I : Le roi (Saragosse, une

HERNANI Une des plus célèbres pièces de théâtre dramatique de Victor Hugo qui pendant la représentation déclencha la bataille d’Hernani. Acte I : Le roi d'Espagne, Don Carlos s’introduit durant la nuit dans la chambre de Dona Sol dont il est amoureux. Il se cache derrière une armoire, et assiste à la rencontre entre Dona Sol et Hernani, un banni. Hernani est le fils d’un homme qui a été décapité sur les ordres du père de Don Carlos. Il s’est donc promis de venger son père. Dona Sol aime

aussi Balzac lorsque l'auteur de La Comédie humaine est sottement attaqué et caricaturé pour sa passion des chiffres2 ou pour sa perversité présumée3. En 1848, il participe aux barricades, mais souhaite surtout, dit-on, exhorter les insurgés à fusiller Aupick. Plus tard, il partage la haine de Gustave Flaubert et de Victor Hugo pour Napoléon III, mais sans s'engager outre mesure dans son œuvre (« L'Émeute, tempêtant vainement à ma vitre / Ne fera pas lever mon front de mon pupitre » - Paysage dans Tableaux

passion des chiffres ou pour sa perversité présumée. Grâce à son ami Louis Ménard, Baudelaire découvre en 1843 les « paradis artificiels » .Croyant y trouver un adjuvant créatif, il en décrira les enchantements et tortures. En 1848, il participe aux barricades. La révolution de février instituant la liberté de la presse, Baudelaire fonde l'éphémère gazette Le Salut Public (d'obédience résolument républicaine), qui ne va pas au-delà du deuxième numéro. Le 15 juillet 1848, paraît dans La Liberté de penser

Le tableau représente une des barricades caractéristiques de ces journées révolutionnaires, on pouvait en compter plus de 4000, prise d’assaut au milieu des cadavres et des blessés par un groupe d’hommes d’origines sociales diverses reconnaissables à l’allure et aux vêtements. Ils sont menés par une jeune femme, allégorie de la Liberté, buste dénudé, drapeau tricolore et fusil à baïonnette en mains, encadrée d’un Gavroche, gamin des faubourgs décrit par Victor Hugo dans les Misérables et d’un bourgeois

a été proclamée devant la Colonne de Juillet. Quant au drapeau rouge évoqué, il s'agit du symbole des mouvements ouvriers. Le 23 juin 1848, les premières barricades sont dressées dans ces quartiers, les parisiens ont l'expérience des barricades, ils savent que pour tenir, elles doivent être doublées voire triplées, Thumeloup parle des barricades à la quatrième ligne « attaquant et barricadant des rues de mon quartier ». Thumeloup évoque aussi à la 3ème ligne « quelques gardes nationaux mêlés aux

3eme. Arrive en seconde il obtient le 2 eme prix de vers latins au concours général, il se passionne alors pour la poésie romantique (Hugo, Gautier…) .Mais en avril 1839 il est alors renvoyé de ce lycée a cause d’un caractère juger de plus en plus bizarre. Baudelaire est reçu de justesse au baccalauréat.des lors il s’inscrit a l’école de droit ,mais il écrit a Victor Hugo , rencontre Balzac et mène une vie libre insouciante, gaie sans s’apercevoir des nombreuses dettes qu’il contracte . son beau père

Les courants littéraires du 19ème siècle : le romantisme : courant littéraire qui privilégie le sentiment à la raison et explore des thèmes comme le rêve, le fantastique, le mystère ou encore la mort. Roman romantique : « Ruy Blas » 1838, Victor Hugo. le réalisme : né du besoin de réagir contre le romantisme, il est caractérisé par une attitude de l'artiste face au réel, qui vise à représenter le plus fidèlement possible la réalité telle qu'elle est. Roman réaliste : «  Germinal » 1885,

de romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place considérable parmi les poètes français pour un recueil certes bref au regard de l'œuvre de son contemporain Hugo (Baudelaire s'ouvrit à son éditeur de sa crainte que son volume ne ressemblât trop à une plaquette…), mais qu'il aura façonné sa vie durant : Les Fleurs du Mal. Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache