Surexploitation

FAÇON ALARMANTE Aujourd’hui, on assiste à la raréfaction et à la disparition d'un nombre très élevé d’espèces à travers le monde : la biodiversité diminue. Cette situation est due, de façon directe ou indirecte, aux activités humaines : la surexploitation des ressources naturelles, la déforestation, l’extension des terres cultivées, l’expansion des villes et des industries, la pollution, la chasse, etc. La biodiversité diminue en particulier de façon dramatique dans les forêts tropicales, victimes

à l'eau potable dans le monde, et les maladies liées au manque ou à la mauvaise qualité de l'eau tuent environ 5 millions de personnes chaque année. Les réserves d'eau s'amenuisent de façon inquiétante partout dans le monde en raison de la surexploitation des ressources aquifères par l'homme. Des économies d'eau doivent impérativement être réalisées pour préserver cette ressource vitale. L'agriculture consomme les 3/4 du volume d'eau mondial pour l'irrigation des cultures. Les agriculteurs

coût social de l’activité productrice. 2) Notion de bien commun Il existe des biens dit communaux ou encore des biens dits de clubs. Les communaux ou encore appelés biens en commun sont des biens pour lesquelles il existe un risque de surexploitation des ressources qui, comme les externalités négatives, reporte les conséquences, les coûts pour la collectivité sur des catégories d’agents qui ne sont pas immédiatement identifiables. Exemple d’agent pas immédiatement identifiable : les générations

entraîne aussi un épuisement des ressources non renouvelables tel que le gaz, le pétrole qui dans une vingtaine d’années ne sera plus bon marché et cela risque d’entraîner un ralentissement de la croissance et des conflits mondiaux. Il y a aussi une surexploitation des ressources renouvelables tel que la pêche industrielle qui entraîne la disparition de certaines espèces où la déforestation soit pour la matière première bois (chauffer, constructions, faire du mobilier) ou soit pour faire de la place.

Les 4 principales causes de perte de biodiversité : 1- Destruction des habitats et modification des milieux (en France, la surface couverte par les aménagements routiers est supérieure à celle des espaces protégés). 2- Prélèvement excessif et surexploitation des ressources (trafic d'animaux et de plantes menacés, poissons surexploités par une pêche non sélective, etc). 3- Introduction d'espèces exotiques invasives (tortue de Floride, jacinthe d'eau, grenouille taureau, ragondin, etc.) qui se développent

de la croissance sur le développement durable. ¤ Pollution, 16 villes chinoises figurent sur les 50 plus polluées du monde ¤Les déforestations, la dégradation de la qualité de l’eau, la désertification sont les conséquences directes de la surexploitation des ressources naturelles. Ce qui n’envisage rien de mieux pour l’avenir. Comme tous les pays voulant s’industrialiser, elle a payé le prix fort en sacrifiant l’environnement de ses habitants (Masques utilisés, etc ..) ¤Coût humain à cette pollution

cependant, posés des problèmes environnementaux dont Les principales menaces sont: • Milieux et écosystèmes naturels : Le potentiel en eau est très inégalement reparti et demeurent très limités par rapport aux besoins, ce qui entraine leur surexploitation de manière irrationnelle et brise ainsi l’équilibre naturel. 1 La déforestation, qui contribue au réchauffement climatique, appauvrit la biodiversité et accroît le risque de catastrophes naturelles telles que les inondations. Ce déboisement

nombreux morts et blessés, les conflits entraînent ou encouragent corruption, trafics, viols et autres exactions, recrutement forcés d’adultes et d’enfants, etc. Les conséquences écologiques sont la dégradation ou la destruction des habitats, la surexploitation des ressources et la pollution. Pendant la première guerre du Golfe, l’incendie des puits de pétrole a pollué l’air et les sols, le déversement intentionnel de millions de litres de pétrole dans le golfe persique a tué des dizaines de milliers

intensément exploitées, souvent d’une manière qui excède les capacités naturelles de renouvellement. Ces formes d’utilisation entraînent d’importants problèmes de pollution et de perturbation du cycle de l’eau. Aussi, malgré son abondance, la surexploitation et le gaspillage de l’eau douce ont pour conséquence d’en faire une ressource en cours de raréfaction, plaçant une partie de l’humanité ainsi que de nombreux écosystèmes en situation de pénurie ou de péril. Face à ces défis majeurs, de nouvelles

naturelles sont composées essentiellement des matières premières brut ou transformées, utilisées dans le processus productif. La majeur partie des ressources naturelles sont épuisables. Aujourd'hui tous les économistes alerte les Hommes de la surexploitation des ressources naturelles et prônent le respect du développement durable.