Surexploitation

Comment est née la notion du développement durable ? Historique : En 1971, le Club de Rome lance un vrai pavé dans la marre en publiant Halte à la croissance. Face à la surexploitation des ressources naturelles liée à la croissance économique et démographique, cette association privée internationale créée en 1968, prône la croissance zéro. En clair, le développement économique est alors présenté comme incompatible avec la protection de la planète à long terme. Mais plus le temps passe, plus la

l’avenir dans diverses régions du monde. La désertification n’est pas du à l'expansion des déserts existants. Elle se produit car les écosystèmes des terres sèches, qui couvrent un tiers des terres au monde, sont extrêmement vulnérables à la surexploitation et à l'usage inapproprié de la terre. La pauvreté, l'instabilité politique, la déforestation, le surpâturage, et les mauvaises pratiques d'irrigation peuvent tous attaquer la fertilité du sol. Plus de 250 millions de personnes sont directement

définit alors ce terme comme l’ « ensemble des éléments constitutifs du milieu où vit l’homme ». Cette relation conflictuelle entre croissance économique et état de l’environnement résulte donc de la prise de conscience de la destruction et surexploitation des ressources renouvelables ou non par l’activité économique de l’homme, leur épuisement dans le second cas et une production considérable de déchets. Ainsi, dès les années 1920, Pigou, de l’école de Cambridge, ouvre la voie de l’analyse des

procédures à suivre. Risques technologiques : PPRT définissent zones de construction + organisent secours en cas d’accidents industriels (environ 1100 sites classés Seveso en France). III-3) Un territoire surexploité A) Les conséquences de la surexploitation Anthropique : désigne la transformation et la dégradation des milieux par les activités humaines (urbanisation, activités industrielles et commerciales, transports, activités agricoles, aménagements touristiques…) littoraux + milieux périurbains

Le début du réchauffement climatique coïncide avec le développement industriel et le rejet de plus en plus important de CO2 dans l'atmosphère. L'environnement fait face à un autre problème qui concerne la surexploitation des ressources naturelles. Cela se constate par l'épuisement des gisements énergétiques et des réserves de minerais, ressources non renouvelables, mais aussi des prélèvements excessifs sur les ressources renouvelables, par exemple la déforestation

métropole et en outre-mer.(voir diapo: ce doc est un planisphère avec des animaux en dangers dessus). Les causes de l'impact de l'Homme sur la biodiversité sont multiples : La déforestation des forêts La pollution Le réchauffement climatique, La surexploitation des ressources vivantes, comme la pêche intensive en sont les principales. De plus en plus, l'homme prend conscience de l'impact de ses activités sur la biodiversité et cherche à la préserver. La déforestation Les principales causes et solutions

accentuer les effets de cette longue sécheresse. Avec, la déforestation, pour répondre aux besoins des populations rurales, mais aussi urbaines (sous forme de charbon de bois, encore plus destructeur du couvert végétal), le surpâturage par la surexploitation de terres déjà très appauvries pas la sécheresse et épargnées jusque-là à cause de la mobilité des troupeaux, et l'utilisation de sols fragiles, pour pallier la diminution des ressources habituelles. Ces actions, intervenant sur des milieux déjà

incorporant beaucoup de main-d’oeuvre, tandis que les pays industrialisés leur fourniraient de la technologie et des biens incorporant beaucoup de capital. En réalité, il n'y a d'avantage comparatif et de spécialisation des pays du sud dans la surexploitation de leurs ressources que parce que celles-ci sont complètement sous-évaluées, cette sous-évaluation étant elle-même la conséquence d'une différence de droits de propriété entre les pays. II - L'environnement comme bien public : Pour la plupart

groupe de chercheurs du Massachusetts qui met en évidence l’incompatibilité d’un système basé sur la croissance éternelle et les limites d’un monde fini, notre planète. Ce rapport prône un ralentissement de la croissance économique face à la surexploitation des ressources naturelles. On a donc la création de la théorie de « croissance zéro », théorie selon laquelle toutes activités économiques devraient tendre a un état d’équilibre, de stabilité. La même année se déroule à Stockholm le sommet des

options faisables ; (iii) une réduction substantielle des activités de pêche est indispensable à la reconstitution des stocks de poissons; (iv) les «gagnants» de la réforme sectorielle incontournable, à savoir les pêcheurs industriels et La surexploitation des ressources nationales en espèces démersales est la cause d’une chute de près de 40% des prises entre 1999 et 2000. 1 vi artisanaux autorisés à poursuivre leurs activités, auront à compenser les «perdants», à savoir ceux que la