Surexploitation

que l'industrie manufacturière. Un autre aspect de ces atteintes à l'environnement est l'augmentation de la pollution de l'air, notamment en zones urbaines, et la dégradation de la qualité de l'eau (pollution chimique et bactériologique). La surexploitation des ressources naturelles constitue une autre source d'inquiétude pour l'avenir : épuisement des gisements énergétiques et des réserves de minerai, ressources non renouvelables, mais aussi prélèvements excessifs sur les ressources renouvelables

vu économiques cela va permettre de développer l’agriculture grâce à des méthodes de recyclage de l'eau, par exemple récupération des eaux de pluie, donc à une diminution du coût (doc. 7). Et d’un point de vue environnemental cela limitera la surexploitation des nappes phréatiques fossiles comme c'est le cas dans le désert de Libye et d'Arabie saoudite (doc. 7) mais aussi en limitant la pollution des ressources naturelles. 5. Les facteurs et les attitudes qui pourraient contribuer à un scénario

l’effet de la désertification et le processus ne fait que s’accélérer aujourd’hui, il menace plus de 20% de la surface terrestre soit 80 millions d’êtres humains. 1-2 LES CAUSES DE LA DÉGRADATION DES SOLS Les défrichements, les incendies, la surexploitation des terres, le surpâturage, le déboisement, les méfaits de la lutte biologique, les pluies acides sont à l’origine de destruction du couvert végétal. La demande de bois de feu est l’une des principales causes du déboisement, en particulier dans

centrale thermique par semaine. - L’appauvrissement de la diversité biologique : plus de 11 000 espèces sont menacés d’extension. En-dessous d’un seuil critique, la ressource de certaines espèces ne parvient plus à se relever. Exemple : la surexploitation des ressources halieutiques[2] est un bon exemple de ce que les économistes appellent la tragédie des biens communs. - Le problème de l’eau (stress hydrique) : la planète Terre ne manque pas d’eau, mais la ressource en eau potable est limitée

atteintes que doit supporter le milieu naturel méditerranéen. Ceci est à travers nos modes de vie et notre développement (présent et passé) sont à l’origine de nombreuses tensions sur l’environnement : la littoralisation/urbanisation participe à la surexploitation des ressources naturelles, à la destruction de zones naturelles et à l’émergence de zones sensibles. Cette urbanisation fragilise aussi nombre d’espaces. La forte poussée urbaine crée de nouveaux besoins en équipements, en infrastructures, en

stress hydrique, la forte dépendance énergétique et ses effets négatifs sur les équilibres extérieurs et sur les finances publiques, la pression sur la biodiversité, due à des facteurs socioéconomiques, tels la déforestation, l’urbanisation et la surexploitation des ressources biologiques ainsi que le retard accumulé par le Maroc, en matière de gestion des déchets solides et liquides qui génère des problèmes de salubrité publique et entrave le développement des activités économiques.

de 1,8 hectares, il y a déjà ici même un problème, la moyenne pour un Africain est de 1,1 hectare alors que pour un américain (du nord) elle est de 9,4 hectares (selon une étude de Living Planet Report de 2008). Que nous réserve l’avenir si la surexploitation des ressources persiste et s’accroît encore ? Partant de l'hypothèse d'une croissance économique mondiale rapide, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) projette que les émissions annuelles de carbone vont plus

l'industrie manufacturière. Un autre aspect de ces atteintes à l'environnement est l'augmentation de la pollution de l'air, notamment en zones urbaines, et la dégradation de la qualité de l'eau (pollution chimique et bactériologique). • La ​ surexploitation des ressources naturelles constitue une autre source d'inquiétude pour l'avenir : épuisement des gisements énergétiques et des réserves de minerai, ressources non renouvelables, mais aussi prélèvements excessifs sur les ressources renouvelables

biodiversité connaît également de graves dangers au Maroc en dépit de sa diversité et de sa richesse. Le Maroc renferme une flore d’environ 7 000 espèces et une faune de plus de 24 000 espèces. Cette biodiversité fait l’objet de multiples pressions : surexploitation des ressources, notamment de la pêche ; la perte d’habitat et de zones humides en raison de la déforestation et de l’urbanisation accélérée ; la pollution des milieux de vie de cette flore et de cette faune. Ainsi, plusieurs espèces sont menacées

alimentaire, industrie du bois, du papier et autres) et d'utilisation énergétique de la biomasse De plus, de nombreux acteurs économiques défendent les intérêts les plus divergents, ce qui peut conduire à la longue à des conflits d'utilisation et à une surexploitation des ressources naturelles Le potentiel indigène de production, transformation et utilisation durables de la biomasse est considérable et pas encore épuisé, mais il est cependant limité2 C'est pourquoi dans de nombreux domaines on importe de la