Surexploitation

engagement de chacun à la participation (protection de l'environnement...) - principe de précaution 3) Cette notion est évoquée lorsqu'au cours du dernier tiers du 20ème siècle, un groupe de penseurs et d'économistes se sont apperçu de la surexploitation des ressources naturelles et de l'influence que cela avait sur l'environnement (social, écologique et économique). Afin d'éviter (ou plutôt de limiter) les conséquences de cette surexplotation (réchaufemment climantique, consommation des ménages

conquérir sans cesse des terres agricoles parc des laurentides, colombie britannique, gaspésie gaz de shistes transformer nos approches par rapport à la gestion des ressources : maintenir une durabilité des ressources en évitant la surexploitation. Gestion communautaire = nouvelle voie. gestion étatique = lourde inefficace ( interdiction d'accès sans les moyens de la faire respecter : ressource en accès libre, nombreuses transgressions) gestion privées : inégalité Rio 92 : gestion

classes moyennes et aspirer à adopter un mode de vie comparable au nôtre. Les causes de la perte de la biodiversité Les principales causes de l’érosion de la diversité biologique sont essentiellement dues à la destruction des habitats et à la surexploitation de la flore et de la faune terrestres et aquatiques liées aux activités de développement. Ces causes peuvent être d’origine directes ou profondes. Quatre principales causes sont à la base de la perte de la diversité biologique : les causes anthropiques

publics Problématique 2 logiques qui s’affrontent La logique de marché contre un phénomène hors marché : lois anti-trust versus tragédie des biens communs le cas des ressources halieutiques La tragédie des biens communs (HARDIN, 1968) Surexploitation inexorable des biens sur lesquels plusieurs individus ont un droit d’usage sans qu’il y ait de responsable identifié (et rémunéré) pour leur renouvellement Chaque pêcheur s’accapare le surplus d’un poisson pêché supplémentaire mais le coût est

3.3 Sanctions internationales : une solution ? 3.4 Pouvoir des pays signataires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 Surexploitation des pêcheries 4.1 Coûts de l’épuisement des stocks de poissons 4.2 Communauté de pêcheurs : modèle théorique 4.3 Approche non-coopérative . . . . . . . . . . 4.4 Approche coopérative . . . . . . . . . . . . . Bibliographie . . . . . . .

la planète Terre n’a jamais été aussi menacée depuis la disparition des dinosaures. Plusieurs conséquences résultant de ses activités promettent, à leur tour, l’engendrement de répercussions sur la vie humaine et les générations futures. La surexploitation des richesses naturelles, les émissions de gaz à effet de serre et l’augmentation du réchauffement planétaire sont toutes des conséquences directes des actions de l'homme sur l'environnement. Afin que les générations futures puissent profiter

Qu’est ce qui menace les espèces ? Destruction des habitats et modification des milieux (en France, la surface couverte par les aménagements routiers est supérieure à celle des espaces protégés). Prélèvement excessif et surexploitation des ressources (trafic d'animaux et de plantes menacés, poissons surexploités par une pêche non sélective, etc.). Introduction d'espèces exotiques qui se développent aux dépens des espèces locales. Réchauffement climatique

le capital productif. Maintenant, la transformation de l écosystème naturel est provoqué par la déforestation, la mise en culture, l'assèchement et l'urbanisation. Mais également l'intensification et la mécanisation des pratiques agricoles, la surexploitation des espèces animales (poisson comestible...) le changement d’environnement des espèces ( espèces exotiques) la pollution et plein d'autres encore sont autant de causes directes de la dégradation accélérée de l'environnement à cause de l'homme

sont notamment dues aux changements climatiques. L’Homme a une action forte sur la biodiversité : L’Homme est responsable d’une importance baisse de la biodiversité actuelle. La destruction des habitats (déforestation par exemple) et la surexploitation par la pêche ou la chasse sont les deux premières causes d’érosion de la biodiversité*. Cette érosion ne touche cependant pas tous les groupes d’êtres vivants de la même façon. L’Homme a aussi contribué à l’augmentation de la biodiversité génétique

politique de prévention : Partout dans le monde, les efforts se concentrent sur le traitement des déchets, mais très peu de prévention est faite, sûrement pour ne pas freiner la consommation. 3. Les conséquences : La production de déchets, la surexploitation des ressources : Plus de 6 milliards de personnes habitent sur Terre. De plus en plus de ressources naturelles sont utilisées pour répondre aux besoins en nourriture, eau, médicaments, vêtements, abris et sources d'énergie, dilapidant ainsi les