Surintendant des finances

Finances publiques Leçon 1 : L’historique des finances publiques Finances = Fine, payer, donc les finances publiques s'opposent aux finances privées, notion de souveraineté de pouvoir politique. Budget = bouge, bourse, où on mettait sa monnaie, pris par les anglais badget, valise de cuir contenant les justificatifs des dépenses du royaume, le terme revenu en France a la fin de la révolution française à la fin de la période napoléonienne, document récapitulant les dépenses et les recettes

société. Les finances publiques, c’est de l’argent public régularisé dont l’emploi est régulé par des règles de droit. Nous y sommes parvenus qu’au prix d’un éternel processus, c’est de ce processus dont il s’agit ici. 1. Petite galerie de portait de financiers publiques. Cette initiation nous permet de voyager dans les origines françaises du droit des finances publiques. La poule au pot, ou Sully (1560-1641). Ce qu’il faut retenir de lui, c’est que Sully arrive au contrôle des finances en 1598

problèmes concernant le facteur 'travail'. Le financement ainsi que l'innovation des méthodes de production étaient aussi des sources d'inquiétude pour les entrepreneurs. Dans beaucoup de cas on ne possédait pas les fonds nécessaires pour fonder ou financer une entreprise. On commençait à prendre l'initiative de fonder des sociétés en commandite ce qui nécessitait un cadre juridique. Une société en commandite distingue la responsabilité de ceux qui gèrent l'entreprise de la responsabilité de ceux qui

date de janvier 1629: est une ordonnance que l'on doit à Michel de Marillac : c'est une remarquable synthèse de toute la législation accumulée jusqu'en 1629 on trouve de très nombreux sujets notamment la justice, la noblesse, les universités, les finances, la chasse, la police des routes, les offices, commerces et marine. C'est une ordonnance rendue suite aux Etats généraux de 1614. Seulement par la suite un complot eu lieu contre Richelieu dans lequel était mêlé le frère de Michel de Marillac et

en 1679. De toute façon ces gratifications demeurent aléatoires, aucun écrivain n’en touche de façon régulière durant toute sa carrière, et Louis XIV cesse d’en verser à partir du début de la guerre de la ligue d’Augsbourg qui coute très cher aux finances de l’Etat. Les relations entre le prince et l’artiste Le prince et l’artiste entretiennent parfois des relations étroites, faites d’estime et d’amitié. Certains princes s’intéressent à l’art et aux artistes. François Ier comble de faveurs

affaires étrangères, de la marine et de la colonie, et la guerre. * Le contrôleur des finances Le ministre des finances s’appellent le contrôleur général des finances. Deux périodes à distinguer : * Avant 1661, il y avait un surintendant des finances, doté de pouvoirs très large qui fait de lui un personnage important. * A partir de 1661, seul le roi est ordonnateur, le surintendant des finances n’a plus qu’un rôle symbolique 2- Le conseil du roi Organe ancien car il date de l’époque

française florissante. En Italie, l'architecture ecclésiastique a été au cœur de l'évolution stylistique au 17ème siècle, mais en France l'architecture civile et la planification urbaine viennent au premier plan.En 1657, Nicolas Fouquet, les finances Surintendante des, commandé Louis Le Vau pour construire un majestueux château de Vaux-le-Vicomte qui, avec les jardins classiques conçus être Le Nôtre, représente la plus grandiose exemple de l'architecture résidentielle, à l'exception française du Palais

Honorius III. A la tête de l’Eglise catholique de 1216 à 1227, il en est le 177è pape. Homme d’église dévoué, il a précédemment été clerc de l’Eglise Sainte-Marie-Majeure à Rome puis chambellan du Pape Clément III en 1188, c’est à dire surintendant de ses finances, avant d’être cardinal-diacre de Santa Lucia in Silice, une des anciennes diaconies de Rome, mais aussi, et enfin, trésorier de l’Eglise catholique sous Clément III et Célestin III. Il est finalement élu papa en 1216, et prend la succession

enfants en contrepartie de leurs privilèges (droit d’épave = en droit féodal, s’approprie toute chose trouvée dont le propriétaire est inconnu) Souvent ceux-ci se déchargent de leur obligation en confiant les enfants à des ordres religieux contre finances. On voit bien , dans le domaine de l’enfance aussi, les mesures et initiatives osciller entre charité et préservation de l’ordre public. La société distingue l’orphelin et l’enfant trouvé. Celui-ci est peu considéré : comme un bâtard, un enfant

656-2624 www.cirrelt.ca Gestion des risques: histoire, définition et critique Georges Dionne* Centre Interuniversitaire de Recherche sur les Réseaux d’Entreprise, la Logistique et le Transport (CIRRELT) et Service de l’enseignement de la finance, HEC Montréal, 3000, Côte-SainteCatherine, Montréal, Canada H3T 2A7 Résumé. L’étude de la gestion des risques a débuté après la Deuxième Guerre mondiale. La gestion des risques a pendant longtemps été associée à l’utilisation de l’assurance de