Surmortalité

envisagées par l’Afssa pour expliquer une surmortalité chez les abeilles sont diverses: généralisation de la monoculture, maladies, parasites (varroa), conditions climatiques, manque de pollen ou de nectar, mauvaises pratiques apicoles ou agricoles... Par ailleurs, les résultats de l’enquête conduite par l’Afssa, publiés en 2008, sur 120 colonies d’abeilles domestiques, dans 24 ruchers répartis en France, montre que : • « Les évènements supposés de surmortalités massives des colonies d’abeilles déclarées

le pronostic auprès du public, le cancer a de nombreux synonymes employés par les médecins : tumeur maligne, néoplasie, néoplasme, polymitose, carcinome, etc. Certains termes sont plus répandus dans la langue populaire : tumeur, crabe, etc. surmortalité localisation du cancer < 2 % tumeurs germinales du testicule (0,03 %), corps de l'utérus (0,28 %), leucémies aiguës lymphoïdes (0,33 %), thyroïde (0,49 %), côlon (0,91 %), mélanomes cutanés (0,91 %), maladie de Hodgkin (1,03 %) col de

LE MOIS D'AOÛT 2003 COMPARÉ AU RELEVÉ DES TEMPÉRATURES EXTÉRIEURES Source : rapport d'étape « Surmortalité liée à la canicule d'août 2003 » de M. Denis Hémon et de M. Eric Jougla – Inserm Commentaire: Ce graphique montre que cette crise de la canicule s'est développée sur une période de temps très courte, 19 jours, on voit cinq phases distinctes: une élévation significative de la surmortalité marquant le début de la crise le 4 août, un accroissement régulier et rapide jusqu'au pic atteint le

terme, ni les tendances saisonnières, ne seraient les facteurs principaux ayant affecté la mortalité pendant cette canicule, et que le déficit de décès dans les trois semaines qui ont suivi la vague de chaleur est considérablement inférieur à la surmortalité observée pendant cette vague de chaleur. uinze jours durant, entre le 4 et le 18 août 2003, les températures journalières moyennes ont dépassé 35 °C en France, se situant bien au-dessus des normes saisonnières, et le nombre de décès a considérablement

prématurée reste anormalement élevée puisque qu’un tiers des habitants de cette région meurent avant 65 ans (un quart au niveau national). Les indices standardisés de mortalité montrent une surmortalité de 40% pour les maladies cardio-vasculaires chez les hommes, de 60% chez les femmes. Pour les cancers la surmortalité est de 28% chez les hommes et de 13% chez les femmes. PLAN REGIONAL DE LUTTE CONTRE LES CANCERS Le Nord-Pas de Calais occupe la première place des régions françaises touchés par le

Ashkan DADASHI Groupe 3 Devoir maison de Climatologie Dans ce sujet, il y a 9 documents qui ont été publiés entre 2003 et 2012, ce sont des articles de presse, des courbes météorologiques, des cartes météorologiques (surmortalité et nombre de jour maximal supérieur à 35°C), des rapports du sénat. Les sources sont multiples, Bien que la majeure partie des publications proviennent des sources comme «Le Monde » et « Météo-France », on peut trouver d’autres publications plus infimes comme

mortalité le plus bas des quatre départements bretons (7,4 ‰) et les Côtes-d'Armor le plus élevé (11,5 ‰). Seul, le département d’Ille-et-Vilaine présente un taux de mortalité inférieur à la moyenne nationale. La région se caractérise donc par une surmortalité par rapport à la moyenne nationale (égale à 8,4 décès pour 1000 habitants). Taux de mortalité en ‰ Sources : Insee, état civil (données domiciliées), Estimations de population. Côtes-d'Armor Finistère Ille-et-Vilaine Morbihan Bretagne

puis en 1848 », Document 1). Cet incident provoque la mort d’un million d’irlandais et plonge la population dans la misère. La faiblesse des habitants due à la famine permet une prolifération des maladies encore plus importante et accentue cette surmortalité. Ensuite, les irlandais étant sous domination anglaise, attendent leur aide. Mais le Royaume-Uni décide de s’abstenir, et même d’expulser des exploitants de leurs terres, provoquant la colère de la population (« De petits exploitants expulsés

et une mortalité élevée et aussi par une extrême sensibilité conjoncturelle. Le contexte politique ou climatique influençait considérablement la vie des gens. Une mauvaise moisson du à un mauvais temps déclenchait une crise de subsistance et une surmortalité de la population. C’est ainsi que la France avait une croissance très irrégulière en raison de ses crises de mortalité. A partir de 1750, on constate à la fois une croissance de la population plus régulière et plus forte. Il y a des catastrophes

rôle des facteurs sociaux dans la mort mais on lui reproche ses explications : pour lui, la mortalité excessive des pauvres est due à leur mode de vie malsain : débauche, mœurs dissolus, alcoolisme… S’intéresse à la mortalité des enfants : la surmortalité des enfants pauvres provient certes du mode de soin (dus à l’économie) mais également à la mauvaise constitution de ces enfants qui sont « le fruit de la débauche », mauvais mode de vie. Reflète le regard que les élites portent sur les classes