Surpêche

grande masse d’eau non salée comme celle contenue au Groënland pourrait provoquer l’arrêt du Golf Stream (courant chaud), ce qui amènerait une ère glaciaire sur l’Europe. Mais l’homme n’influence pas ce milieu que par la pollution. Le phénomène de surpêche (la pêche de thon rouge a été interdite en Europe en 2007 ; aujourd’hui elle est permise mais sérieusement contrôlée) est aussi un problème bien réel. 75% des pêcheries du monde seraient déjà surexploitées. Nous prélevons de la mer 100 millions de

des perturbations dans les équilibres écologiques, du fait de la surexploitation des ressources naturelles : émissions de gaz à effet de serre (énergies fossiles), surpompage (eau), surlabourage (terres arables), surpâturage (ressources végétales), surpêche (ressources halieutiques). Augmenter la production de biens matériels ou le transport (pour répondre à l’accroissement démographique par exemple) peut aggraver ces perturbations. Ces effets sont particulièrement visibles depuis les années 2000 dans

130 fois la quantité de rejet de la population (source Conseil Américain pour la Protection des Ressources Naturelles). De même l’aquaculture et la pisciculture sont des activités très polluantes. La croissance de ce secteur est en partie due à la surpêche et donc à l’effondrement de populations sauvages (cabillaud, flétan, turbot...). En France, quasiment 100% du saumon consommé provient d’élevages. Or, en 1998, selon le recensement de la salmoniculture française (source Ministère de l’agriculture)

la piraterie somalienne s’appuie sur l’absence d’État, celui-ci ne pouvant lutter contre la criminalité s’exerçant sur son territoire. * Une deuxième lecture économique considère de son côté que la piraterie en Somalie aurait pour origine la surpêche étrangère de laquelle découlerait la pauvreté des populations locales. * Une troisième lecture géographique montre que la piraterie somalienne existe car elle bénéficie d’une route commerciale maritime facilement accessible. * Une quatrième

profondes au large des côtes) qui génèrent une activité économique importante autour de la pêche aux crevettes, langoustes et thon rouge. Néanmoins, ces activités sont menacées, notamment par l'épuisement de certaines ressources du fait de la « surpêche » (morue, thon rouge), mais aussi par des problèmes environnementaux. C. Un littoral partiellement exposé à un certain nombre de risques 1) Les menaces environnementales liées à l'industrie pétrolière et aux rejets agricoles. - L'exploitation

Etude de cas : L’Arctique : fragilité et attractivité. 3H Points communs et différences entre les programmes de 2011 et 2019 : BOEN 2011 – 7 à 8h BOEN 2019 – 1 à 2H « Mondes arctiques » : pour mettre l’accent sur les sociétés qui y vivent, les développent et les convoitent. A distinguer tout de même : les populations autochtones, peu nombreuses, qui pratiquent le territoire vs les pays

largages d'hydrocarbures (ex : Amoco Cadiz, Erika). La chasse, la pêche et la cueillette menacent la faune et la flore lorsqu’elles sont pratiquées de façon abusive et intensive. Plus de 70 % des pêcheries de poissons marins font l’objet d’une surpêche ou d’une pêche à la limite de leurs capacités de renouvellement. Cette surexploitation détruit les écosystèmes et on observe un véritable gaspillage : dans le domaine de la pêche, les prises dites « accessoires », qui constituent pourtant 30 % du

de désengagement de l’État - providence, glissement du gouvernement vers la gouvernance, et de l’intérêt général vers celui des particuliers) ou des écueils et autres dégradations des conditions de vie qui peuvent lui faire obstacle (pollutions, surpêche, déforestation, dérèglement climatique) ou encore de la prolifération des catégories conceptuelles susceptibles de la galvauder : gouvernance fonctionnelle, politique, publique, privée, locale, urbaine, territoriale, européenne, onusienne, gouvernance

avec des pays tiers des accords de partenariat dans le domaine de la pêche et négocie au sein d'organisations de pêche régionales et internationales afin de garantir une gestion réglementée, transparente et durable des mers du globe et d'éviter la surpêche. Ces accords permettent également aux navires européens de pêcher dans des eaux lointaines et de contribuer à approvisionner le marché de l'UE, moyennant le versement d'une contribution financière. Les pays partenaires non européens, parmi lesquels

l’agriculture). Les forêts primaires ne se reconstruisent pas, il y une destruction définitive des forêts primaires or ce sont celles-ci qui produisent le plus d’oxygène * Diminution de la biodiversité * Apparition de nouvelles maladies * La surpêche entraîne l’appauvrissement des océans * Diminue les capacités à terme de nourrir la population * Destruction des moyens pour guérir traiter maladies * Développement durable :Rapport de Brundtland * Agenda 21 * Croissance et