Surproduction

à diminuer… Dans cette frénésie à la production, la conception des ressources naturelles reste celle des matières premières, qui plus est disponibles et en grandes quantités illimitées. Notre modèle ne craint donc ni la surconsommation, ni la surproduction. Et non plus le sur-gaspillage ! Il en va par exemple des produits alimentaires : 30% des produits alimentaires sont jetés sans être consommés. Les chiffres sont pires encore pour la pêche : pour 1 kg de crevettes consommées, 10 kg sont pêchés

nouvelles techniques (d'irrigation, par exemple) ou à des espèces mieux sélectionnées. • En garantissant les prix, elle a longtemps encouragé l'accroissement de la production (sans que les agriculteurs aient à se préoccuper de son écoulement). 2. La surproduction• L'agriculture a été victime de son efficacité : elle produit trop. Des mesures (la réforme de la PAC, en 1992) ont été prises pour limiter la production afin que les prix de vente ne s'effondrent pas : diminution des aides, réduction de la surface

permettrait de diminuer de 3,6 millions le nombre d’enfants souffrant de malnutrition dans les pays en voie de développement.»1 Si tout le monde deviendrait du jour au lendemain végétarien, nous n’améliorions pas la situation. Puisqu’il y aurait de la surproduction dans un autre domaine que celui de la viande. On augmenterait ainsi la production de plante pour subvenir aux nouveaux besoins de notre population. De plus, si on éliminait complètement la viande, le nombre de pertes d’emploi serait interminable

besoins des habitants puis dans un 2nd temps exporter. Remarques: C'est le commissaire européen Sico Mansholt qui a le 1er alerté sur la surproduction agricole européene. Ex: Les européens ont du stocker des quantités démesurées de produits tel que le lait ou le beurre. (+500000 tonnes à réfrigérer) L'Europe agricole a aboutit également à une surproduction céréalière qui oblige à financer le stockage pour que les prix ne s'éffondrent pas (L'Europe achète aux producteurs leurs excès afin d'éviter

constitue un réel frein à la croissance. I-L’épargne : moteur de la croissance A) L’épargne favorise l’investissement Loi des débouchés de JB Say : offre crée sa propre demande ; monnaie neutre ; aucune fonction de réserve de valeur ; pas de crise de surproduction Néoclassiques : monnaie neutre, toute l’épargne est investie… Epargne -> Investissement -> hausse facteur capital -> hausse production -> hausse emploi Marché de capitaux (fonds prêtables) : offre de capitaux (épargne), demande de capitaux (Investissement)

la crise et son déclenchement. Les E-U connaissent une prospérité fragile à cause de l’abus du crédit et de l’endettement; bientôt les salaires ne suivent plus ; cela entraîne une surproduction qui touche l’industrie et l’agriculture. Les actionnaires qui avaient spéculé à la hausse (et ayant peur de cette surproduction qui pourrait entraîner une faillite des entreprises) revendent leurs actions mais ne trouvent pas d’acheteur et d’heure en heure les cours des actions s’effondrent.m Cette crise de

mais, après la guerre, ils ont continué à produire énormément. Ajoutons à cela le progrès technique, qui permettait de produire plus avec moins de main d’oeuvre. Cela a entrainé une hausse de l’offre et une baisse de la demande. Il y eut une surproduction, surtout aux États-Unis, et une baisse de prix globale. Ce fut aussi une période où le chômage permanent s’installat. L’Amérique connut une véritable croissance industrielle, et sa population investit massivement en bourse, dont les valeurs montaient

paysans? Exploitant agricole! Différence UE et USA(+extensif et intégré auxIAA et moins familial) B- les effets pervers de l'agriculture productiviste; Des déséquilibres économiques, sociaux et spatiaux. Cout de la PAC explose+ surproductions. Puis quotas et quantité maximales garanties dans les céréales. Stagnation et même baisse des revenus agricoles; Aides de la PAC très inégales selon les pays et les exploitations. 2) dégradation de l'environnement. Tassements;

profond désaccord sur le problème des débouchés à la production. Malthus est célèbre pour son principe de population (la population croit plus vite que les denrées alimentaires nécessaire) et son principe de surproduction. Ricardo au contraire pense que le problème de débouchées ou de surproduction ne se pose pas, il reprend à son compte la loi des débouchés de Jean Baptise Say selon laquelle l’offre crée sa propre demande. Dans une certaine mesure, c’est Marx qui a donné cette illusion qu’on aurait

de ce surplus. Blé = bien fondamental dans l’économie Agriculture = secteur fondamental de l’économie Selon Ernest LABROUSSE, crise d’Ancien Régime : « La sous production agricole déclenche une crise de sous consommation industrielle, de surproduction industrielle relative » = Montée prix agricoles et baisse prix artisanaux Loi de KING : la hausse du prix du blé est plus que proportionnelle à la baisse de la récolte. ( chute du pouvoir d’achat d’une grande partie de la population. Impôts